ESPACE POLITIQUE CONGOLAIS , UNE décongestion S’IMPOSE AUTREMENT DIT UNE décolonisation.

Lors de l’émission dimanche politique sur Ziana TV avec le journaliste Cyr Makosso.

La conscience politique Cicéron Massamba a démystifié le mythe de l’opposition traditionnelle et conventionnelle , cette mythologie qui se fonde sur des croyances crédules et naïve de l’infaillibilité des figures politiques d’antan dont il a montré la ruine voir la nudité pour avoir lamentablement échoué sur le sens du devoir au rassemblement .pour booster le combat politique et acculer le pouvoir sur la défensive. Il a indiqué de manière royale ce qu’il convenait de faire pour gagner en efficacité.

A LA fois pour fléchir le pouvoir de Brazzaville et gagner en adhésion auprès des populations lassées et fatiguées du gouvernement et dont Thierry Moungala se fait le Hérault. mettant à défi ce dernier de lui répondre. En apostrophant ainsi et le pouvoir et l’opposition la conscience politique  Cicéron Massamba à mis le nouveau programme politique de la résistance sur un piédestal.

Quoi de plus beau que d’entendre l’argumentation qu’il a déployé pour mettre en déroute l’opposition.

Il a expliqué ce que c’est l’opposition Congolaise de juxtaposition et a donné un coup dans la fourmilière sans sourciller en évoquant la naissance de cette dernière en sigle (O.C.J.) Un concept conçu,pensé ,réfléchi, médité dans l’hexagone pour sortir le peuple congolais du bourbier que l’on plongé les hégémonistes de la mouvance présidentielle et l’opposition dite traditionnelle dans son ensemble , assorti des propositions concrétés de création d’emplois pour la jeunesse .

Qui dira mieux !

Après des explications persuasives, claires et nettes de sa part , il est a relevé le remue ménage , l’inconscience de la diaspora militante consciente de son inconscience. Qui le met dans une cage dont les barreaux sont ses pensées négatives , son inorganisation, son manque de vision, son carriérisme .et son rôle de caisse de résonance d’une opposition corrompue. à la solde de Sassou -Nguesso, pour ne pas dire son rôle de cheval de Troie sur le misérabilisme du peuple.

Il est donc impérieux qu’une nouvelle offre politique s’offre à ce peuple martyrisé, appauvri, trahi par une diaspora militante pour que se levé enfin le soleil au congo.

La diaspora dite militante n’est autrement que une marre aux grenouilles qui coassent et qui veulent se faire aussi gros que le bœuf , un panier à crabes prêt à mordre dés qu’on y plonge sa main .

La sortie médiatique de la conscience politique et coordonnateur de l’O.C.J, Cicéron Massamba à mis sur la table un document mémorable , d’une réflexion approfondie défiant toutes concurrences dans les rangs de la résistance .

Si nombre d’intervention ont péchés par le brouhaha celle de la conscience politique Ciceron Massamba a gagné en profondeur et en épaisseur.

Il a démontre avec maestria comment fonctionne et se transforme négativement l’espace politique congolais dans son ensemble.

L’on ne peut point cheminer ensemble même quand l’objectif à atteindre est le même autrement dit le changement du système si l’on arrive pas définir la ligne directrice du combat cela est véritable handicap pour obtenir les résultats escomptés et surtout quand on pense que tout le monde est prêt boire le lait impur des hégémonistes.

Adieu veaux vaches, cochons.

Armand Mandziono Diaguenda Butélézi ean le Baptiste Butsindi bua butsiéléka bua vindumuna ba ngungu wa kala mu kuenda nkukirika, ngé ku andiri ku bélo tsia nga, ba kawula ba lemba ,Jamaïca wa mazulu,Korobo dia bustiéléka

Partager :

 Pour une victoire de l’opposition 

 Pour une victoire de l’opposition 

Avant-propos

Ce texte est la version actualisée d’une analyse parue en 2002, à l’occasion de l’élection présidentielle. Texte qui n’a rien perdu, ni de sa consistance, ni de sa véracité, ni de sa pertinence au regard des nombreux sujets qu’il évoque, des difficultés auxquelles demeure en butte l’opposition congolaise et la manière de les aborder.

Par son caractère prémonitoire, le texte indiquait le sort auquel était convié bon nombre de dirigeants politiques de l’opposition (exil à jamais pour certains, amnistie sélective et donc anesthésiante pour d’autres, émiettement des partis de l’opposition, paralysie complète des forces.

Le texte indique ce qui conviendrait pour redonner une âme à cette opposition qui n’en est plus une afin d’assurer sa résurrection. Il montre les voies de son unité par une approche homéopathique et concise qui permette de s’affranchir de la fâcheuse question de leadership dans la voie de son unité.

Ces analyses tirent leur source d’un document intitulé « alternative politique au Congo-Brazzaville ; éléments contributifs à la victoire de l’opposition. Appel à une convention ». Il demeure, à n’en point douter, une contribution majeure, un document de référence devant inspirer le combat politique d’aujourd’hui de l’opposition. Ce document est une contribution du conseil national de la diaspora-france.

Tout ou presque s’achemine sur une défaite annoncée de l’opposition en 2009, une débâcle pour la résistance, un statu quo politique national et donc une victoire des forces du mal. Le maintien d’un ordre politique désuet et décrié. Tout concourt à conforter les positions du pouvoir dans une réélection prochaine tant les certitudes et l’arrogance, affichées dans le camp présidentiel, sont en total contradiction à la fébrilité et le manque d’enthousiasme de l’opposition. Tout se résume dans un rapport illégal.

Il s’agit, pour le pouvoir, d’entériner une situation de fait acquise depuis les législatives de 2007 où la témérité et l’intransigeance lui ont permis de venir à bout d’une opposition affable, dispersée et donc vulnérable et rééditer l’exploit. Autrement dit, transformer l’essai des législatives en s’octroyant invariablement une victoire sur la base des fraudes organisées. La fin justifiant les moyens.

Tout présage ainsi d’une élection jouée à l’avance, où 2009 n’apparaît plus que comme une formalité, où la seule volonté du plus fort peut compter et l’opinion nationale médusée, l’opposition flouée et désabusée, devront subir les affres d’un pouvoir autoritaire et patriarcal.

Derrière la façade agissent des hommes repus à l’argent facile, versés dans la corruption, renfloués par des innombrables ressources qu’apporte la rente pétrolière dont ils tirent ostensiblement profit au détriment du plus grand nombre.

Tout se prédestine en un achat de conscience, d’avilir les populations afin de les rendre serviles. Tant une chose est vraie le régime de Sassou Nguesso a su jouer de la corde sensible : avoir affamé sa population pour la rendre corvéable à jamais et être parvenu à domestiquer une partie de l’élite politique. La démultiplication des partis politiques et associations ne sont qu’un moyen d’alimenter tristement ses réseaux de soutien. Ils sont, autrement dit, une forme d’extraversion dans la redistribution des ressources, fondée sur l’endoctrinement, le copinage.

Cette corruption s’opère par le biais des proies faciles que sont les jeunes, désœuvrés et autres couches de la population privées de tout droits économiques. Le pouvoir cherchant par ce biais à déposséder le peuple de son droit à des élections démocratiques.

Ainsi veut-il inlassablement par ailleurs jouer de la peur comme lors des précédentes présidentielles afin de rééditer une tricherie organisée dans le climat de traumatisme de guerre.

Car hormis le fléau de la corruption, cet argent facilement gagné, qui gangrène les arcanes de la politique et l’ensemble du tissus social en constituant un goulet d’étranglement dans la sphère de la production, le pouvoir use de l’intimidation pour acculer le peuple à des réactions violentes qui justifieraient le retour à la guerre civile ou le climat de guerre ce qui légitimerait le maintien de la situation actuelle.

L’opposition se doit de ne pas tomber dans le piège ; piège que ce dernier voudrait aussi tendre à la communauté internationale.

Ces propos, pour surréalistes qu’ils puissent paraître, ne discernent pas moins la triste réalité à laquelle on est conviée. On devra soit s’y résigner, soit s’exiler, soit se taire à jamais.

Plus que jamais on se doit de réagir, afin de créer un rapport de force nécessaire au changement. Le pays risquerait de sombrer davantage dans la déchéance ; état de décrépitude déjà si avancé qu’il reviendrait aux générations futures d’en payer un trop lourd tribu. C’est le sens du devoir.

Si d’aventure, Sassou Nguesso parvenait à se construire une victoire électorale sur les ruines actuelles du pays dont il clame ostensiblement ne pas devoir porter la responsabilité, nul doute qu’il ne se gênerait en rien à rafistoler un troisième mandat ou à chercher à asseoir une dynastie familiale. Nous sommes à un tournant, on se doit de l’arrêter.

L’opposition doit sortir de sa « splendide » léthargie et marquer un changement de régime. Par opposition, nous entendons la frange la plus déterminée, celle porteuse du flambeau de la lutte.

La sociologie politique nous permet aujourd’hui de distinguer deux types d’oppositions : la première dite « maîtrisée », opposition très alimentairement alignée derrière Sassou Nguesso dont la vocation essentielle est de jouer les troublions, la digression. Opposition de façade, n’aspirant qu’à une redistribution dans le partage du gâteau ; et donc de complaisance. Elle se doit d’être combattue au même titre que le pouvoir ; et une seconde, porteuse d’espoir, en phase avec les aspirations profondes des populations. Opposition digne, à laquelle nous croyons, incarnant le bien et donc le progrès social.

Cette dernière se doit de se doter d’une personnalité, rendre visible son projet politique à travers l’organisation afin d’atteindre la taille critique nécessaire et créer le rapport de force dans le pays. En cela, elle doit amorcer les fiançailles, s’adapter aux besoins de la lutte : pourfendre les mauvaises habitudes d’une lutte solitaire, récuser la langue de bois, éviter de céder au jeu de la critique stérile de l’autre propre à entretenir la discorde.

S’affirmant comme le héros de la nouvelle lutte, celle-ci doit marquer son apparition au devant de la scène autant unie dans ses composantes qu’inspirée dans son programme politique. Tant se pose la question fondamentale : comment parvenir à bout d‘une dictature par les urnes. Autrement dit, comment construire une alternance politique au Congo-Brazzaville qui consacre la victoire de l’opposition et qui se fonde sur les vertus du choix électoral des citoyens ? Peut-on de façon impétueuse se construire une victoire autrement que par les armes. Nul doute que c’est dans l’unité de l’opposition.

En cela, elle doit se réorganiser et se structurer. La recherche de l’unité doit plus que jamais faire parti d’une démarche constructive ; parce que les divisions sont de moins en moins comprises par le peuple et par les militants, et parce que seul, ensemble qu’elle peut augmenter, sans coup férir, ses chances dans la conquête du pouvoir.

Le besoin d’unité est d’autant plus pressent qu’il est perceptible à tous les niveaux, débats, discussions et consultations où se dégagent une nette majorité en sa faveur. Aurait-on oublié que ce qu’on regarde en divisions de l’opposition n’est que la pluralité des courants qui la composent dont le seul but à tous est de s’affranchir de la tyrannie dans toute sa diversité !

Comment peut-on dire qu’il s’agit des divisions insurmontables, comme d’une târe, alors même que partout dans le monde où elle a pu venir à bout des dictatures, elle a raisonné au son de l’unité et non sous les bruits assourdissants de l’invective.

Toutefois on se doit de noter que toute quête d’unité postule un dualisme entre projets individuels et projet collectif. La naissance d’une union secrète la naissance d’un projet communautaire comme elle postule à l’effacement d’ascendances personnelles, démontrant par là que le concept d’union demeure complexe car paraissant inclusif exclusif. Sa parfaite réalisation est tributaire des arbitrages entre satisfaction des utilités personnelles et la maximisation de la volonté commune, reste donc conditionnée par les engagements, suspendue à ce que chacun ressent entre réalisation du projet subjectif personnel et le bénéfice qui lui procure la foi d’une démarche objective commune.

L’union est donc duale. Sa dualité résulte de ce qu’elle est délicate et nécessaire.

  • Nécessaire ; en ce que l’union est le socle de reconquête du pouvoir, qui s’oppose à toute démarche individualiste destructive.

  • Délicate ; en ce qu’elle peut briser les ambitions personnelles souvent fort légitimes. Or force est de reconnaître que certaines de ces ambitions se sont construites au gré des rudes et héroïques batailles, de fermes convictions, qu’il ne semble pas aisé d’y renoncer.

On objectera qu’en Yougoslavie, les leaders traditionnels se sont effacés devant un illustre inconnu pour venir à bout de Milosevic. Toutefois, pour instructive qu’elle soit, l’exemplarité de l’enseignement ne saurait aisément se généraliser eu égard aux considérations psychologiques et sociologiques qui l’accompagnent et sur lesquelles elle semble s’être appuyer. Car, il faut faire montre de beaucoup d’abnégation, de renoncement ce qui est loin d’être évident et encore moins répondre à la mentalité du Congolais.

De ce qui précède l’union devra donc être pensée dans des formes qui permettent de concilier les ambitions sans les gommer afin de mieux les intégrer dans une démarche commune à des fins d’efficacité recherchée. Partant, la pluralité des expressions de l’opposition héritée de sa récente histoire ne saurait constituer un obstacle à sa plus grande cohésion.

L’opposition devra aspirer à l’union : en cela, elle doit affirmer symboliquement cette volonté au travers d’un grand rassemblement ou convention, lequel contribuera à créer un espace-débat sur les moyens qu’elle est prête à consacrer pour pérenniser son combat.

Lieu de sanctification, ces assises permettraient de reprendre les choses en mains, de faire l’inventaire des forces ; car, après tout, un état de lieu s’impose afin de savoir qui est de l’opposition, qui ne l’est plus !

Qu’importe la participation, l’effet recherché est en l’occurrence un effet d’annonce avec un impact déstabilisant pour le pouvoir.

Car, il s’agit par la symbolique, de la rencontre de créer un esprit de corps, d’enclencher une attitude offensive qui a le bénéfice de sortir l’opposition de la situation défensive dans laquelle elle se trouve. L’ensemble des militants et de la population demeureraient très attentifs et mobilisés grâce à la conclusion positive d’un tel accord.

A l’issue des assises sera adoptée une Charte à travers laquelle l’opposition devra :

  1. se reconnaître de la Constitution de 1992, en démarcation avec la Constitution actuelle. Car bien qu’elle ait connu des disfonctionnements quant à son application, la Constitution de 1992 demeure le référentiel qu’il conviendra d’amender.

  1. Décliner son engagement pour la paix à travers la mise en place d’une commission vérité et réconciliation. Nul doute que c’est par la construction d’une mémoire collective et le pardon que le travail de deuil se fera.

  1. Mettre un bémol sur la question du pétrole, question trop sensible au regard de nos partenaires. Il s’agit d’enlever à Sassou Nguesso l’argument sur lequel il s’appuie pour solliciter la confiance et le soutien de nos partenaires, partenaires dont nous avons tant besoin. La quête de solidarité internationale est une des conditionnalités à laquelle l’opposition devra se plier. Celle-ci demeure liée à l’image que ces derniers se feront d’elle.

  1. S’engager à avoir un candidat unique ; candidat de la convention. Le rôle de celui-ci est d’être un instrument de conquête du pouvoir, un fusible dont il faut user pour « plomber » le pouvoir.

  1. Scellé par un contrat moral que régit la charte, ce dernier a les pieds et mains liés pour organiser dans les cinq années qui suivent son mandat, une élection libre et transparente à laquelle il ne prend point part, mais à laquelle participe tout le monde ; même Sassou ! Tant il est vrai que l’objectif à assigner à ce pouvoir de transition est d’ancrer définitivement le Congo dans la voie de la démocratie.

De facto, il ne s’agirait nullement d’élire un monarque, loin sans faux, un homme à qui l’on donnerait carte blanche mais d’élire un candidat destiné à faire la volonté de tous, souverainement exprimé lors de ces assises.

Le pouvoir ne lui est pas exclusif mais collégial. Ce dernier se voit confier la charge morale d’appeler à gouverner avec ceux de ses cogénaires ayant contribué à cette conquête du pouvoir. Ceci, afin d’éviter des frustrations et rancœurs souvent sources de malentendus, de discordes futures.

Mission salvatrice. Mission brève certes mais très intense car il offre à celui qui l’assume le panthéon des grands hommes, la gloire de toute la nation, les égards de la communauté internationale.

Ainsi, le prestige que lui procure l’accomplissement d’une mission somme toute historique le situe t-il dans la tradition Amany Toumani Touré, ATT, qui, fasse à Moussa Traoré demeure à non point douter le bâtisseur de la démocratie au Mali, à l’égard duquel la communauté internationale demeure avide de sollicitudes (très sollicité dans les grandes conférences internationales). Par ce biais, le candidat saura à jamais être, ceux de ces hommes dont le nom demeure attaché à l’histoire et dont la simple évocation recèle d’enseignements et nourrit d’envies les jeunes générations.

La charte bride à une seule législature le mandat du candidat ; en limitant ainsi son mandat, on crée les conditions permissives d’adhésion au projet.

L’apport essentiel de la démarche est qu’elle avalise une méthode, laquelle réouvre des élections à brève échéance, et donc permet de solder les conflits en plaçant tout le monde sur le terrain électoral tant à l’intérieur de la confédération des forces de l’opposition qu’au niveau de la nation toute entière ; car ce n’est que lorsque chacun aura pris la mesure de ses chances et de ses réelles capacités sur le terrain électorale que les ambitions se tairont d’elles mêmes. C’est développer une approche pacifique des résolutions de conflits que de laisser le champ libre à l’expression diversifiée et compétitive et tordre, de ce fait le cou à une vision selon laquelle le pouvoir s’acquiert par les armes ; remettant au seul peuple souverain l’onction de la légitimité.

Pour autant, il faut se convenir du profil du candidat. Celui-ci doit être un homme-tampon, un homme de consensus, en qui se reconnaît tout le monde. Avoir le courage politique ; caractéristique éminemment déterminante.

Suffisamment batailleur, son tempérament devra le prédisposer à braver les orages, à conduire les troupes. Tant il s’agit de gagner d’une part et de savoir revendiquer sa victoire de l’autre, à l’image de Kostonica, de Laurent Gbagbo ou des batailles électorales récentes, au monde et en Afrique, face à des dictatures. Un homme donc résolu dont la forte personnalité épouse les caractéristiques du contexte politique particulier d’aujourd’hui.

Choix d’autant plus harassant qu’il faille se prémunir de candidat malencontreux peu susceptible de jouer les règles du jeu et donc de la discipline d’ensemble. Un candidat peu scrupuleux qui, grisé par le succès de la courte et éphémère mission, chercherait désespéramment à s’accrocher au pouvoir. Contrainte morale d’autant plus aisément acceptable tant pour un candidat jeune qui pourrait escompter tirer profit de ce bref passage au pouvoir pour les échéances ultérieures que pour un candidat âgé mû par simple altruisme. C’est le cas de ATT, Amani Toumani Touré.

Il revient à la charte de définir scrupuleusement les critères et modalités devant présider au choix.

Partant, l’idée d’un inconnu, devant et pouvant incarner la relève, en étant capable de fédérer les forces, ne devrait nonobstant pas être écartée mais examinée avec parcimonie.

Le Comité Directeur du

Conseil National de la Diaspora

Partager :

POURQUOI N’ YA -T- IL PAS UNE SOLIDARITÉ AUTOUR DE LA QUESTION DU POOL ?

Pour résoudre cette équation Il ne faut pas chercher loin charité bien ordonnée commence par soi-même.

Sans émotion il est impossible de transformer les ténèbres en lumière.

Le Congo est entrain de mourir à cause des manœuvres hégémonistes.

Les hégémonistes veulent imposer une nouvelle forme de domination,qui s’assimile au néocolonialisme .

C’est dire une domination par l’intermédiaire de nos propres frères qui ont fait le choix d’être asservi et de servir les intérêts obscurantistes.

Le Congo est tombée entre les mains d’une oligarchie suprématiste qui cherche à maintenir ce pays dans la servitude .

Nous devons nous désillusionnés d’attendre notre bonheur de l’extérieur .

Au contraire le bonheur d’un peuple doit se fonder sur les valeurs intrinsèques autrement dit la solidarité , le travail et la discipline.

Nul ne peut ignorer aujourd’hui que la situation que le pool continue à vivre n’est pas identique à celle d’autres départements du Congo.

Le processus de disparition de cette contrée c’est à dire le pool mis en place par le gouvernement de Sassou -Nguesso est bien en marche au vu et su de tout le monde , la création des nouveaux départements pour saucissonner le pool n’est point différent de la fausse rébellion de Ntumi qui avec cette subdivision sauvage et cynique va permettre à cet ayatollah équatorial d’obtenir des sièges dans le futur parlement ainsi que à la présidence du futur conseil départemental faisant de lui un homme politique normal mais doté des pouvoirs mystiques comme on les adore chez les LARIS , et, ça la communauté internationale y compris la France pays tutélaire du Congo , ne diront pas qu’ils ne le savaient pas ,car ils sont bien renseignés sur la problématique du pool par leur chancellerie, inutile de revenir la-dessus.

En revanche la ou le bas blesse c’est de voir l’inertie , le mutisme des autres frères pendant 27 ans, aucun sentiment de patriotisme n’émerge face aux massacres perpétués au pool , aux dégâts collatéraux de cette barbarie entretenus par lés hégémonistes qui ont vampirisé l’État congolais.

Pourquoi n’ y ’a t il toujours pas de solidarité autour de la question du pool?

En tout cas cette question est utile et mérite d’être posée pour ne pas mettre la lumière sous le boisseau , sinon nous serons tous considérés pour des collabos, des victimes-coupables comme nous sommes présentés par le bourreau pour justifier sa barbarie face à ce qui est une réalité évidente.

Chers frères et sœurs le pool est en danger permanent.

Pourquoi cet omerta même de la part de ceux qui en sont originaires

Sur le plan andogene le manque de leader politique charismatique au pool est un fait indéniable, mais cela ne justifierait pas le déficit de volontarisme pour la survie du pool ou du grand pool et par conséquent du Congo.

Filles et fils du pool éparpillés à travers le monde quelle serait votre contribution dans cette œuvre de rédemption du pool si essentielle pour notre équilibre ainsi que la perpétuation de nos cultures et traditions

sur le plan exogène le pool est devenu , un fond de commerce , une vache à lait pour les charognards de la république au point de déteindre sur la cohésion nationale.

Prenons nous en charge 27ans c’est trop.

La liberté ne se donne pas mais elle s’arrache.

Armand Mandziono Dianguenda Butélézi Butsindi bua Butsiéléka wa kala mu kuenda Nkukirika. Ba Kawula ba Lembana jean le Baptiste

Partager :

LA PÈGRE POLITIQUE DE LA DIASPORA AU SERVICE DES NERVIS DU POUVOIR.

Je commencerai mon propos par vous dire que cabri mort n’a pas peur de couteau,c’est l’homme qui fait l’homme et ensuite à ce qui est devenu le célébrissime hymne de ce monde de voleurs, d’escrocs formant une sorte de secte politique obscur dans cette diaspora,pour discréditer les bonnes voix user de la même rengaine en accusant perpétuellement les autres de leur prétendu accointance avec le pouvoir .

ces Lascars des temps modernes au service des nervis d’un pouvoir désuet qui a tant promis aux jeunes et qui se retrouve le bec dans l’eau.

Que n’a t on pas entendu dans ce bas monde où la haine de l’autre domine, et ou l’on pense que le fait d’avoir une relation personnelle est assimilable à de la politique.

Dans ce monde les relations interpersonnelles sont souvent mieux construites, au delà des intempéries que connaissent les relations communautaires.

C’est sur cette base là et seulement sur cette base que doivent être perçu et considérés mes relations avec le Général écrivain Benoit.

L’homme me tient en estime comme je le lui rend bien.

Armand Mandziono le petit du Général Benoît Moundélé Ngollo.

Je l’assume et puis quoi encore?

En quoi le général Benoit Moundélé Ngollo est -il mauvais?

Parce que il a écrit dans son livre intitulé Lettres ouvertes ou Mea Maxima culpa à la page 47 je le cite «– Et en permanence- »

«En pensant aux générations futures»

«Qui ne me pardonnerons pas»

«Et elles aurons raisons de le faire»,

«Car j‘avoue que je le mérite bien».

Ils iront pisser , déféquer et cracher sur nos tombes,Au lieu d’aller les fleurir

Avec des couronnes artificielles

Ou naturelles, peu importe.

Est ce que quand cette diaspora manifesta le désir de le rencontrer en 2013 lors de la présentation de son livre «fantasmons ensemble un instant » à la maison d’Afrique, refusa-t-il?

En ma connaissance non .et pourquoi cette rencontre n’eut plus lieu.

Poser la question à Jean claude Trilland Nsangou et à Eugène Fernand Loubélo .

«  d’Hypocrite! Enlève d’abord la poutre de ton œil; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère . »Matthieu7:5

Vous prenez tous l’argent du pouvoir pour mener une pseudo -opposition dans la diaspora bande de sorciers et pour parasiter le message des guerriers de la démocratie.

Passons maintenant au spectacle que vous offrez à la face du monde et à la frange d’hommes politiques français qui souhaitent que les choses aillent pour le mieux au Congo.

Aristide stanislas Mobebissi mis a nu par le lord de Mabombo John Binith querelle de famille, comme si cela ne suffisait pas.

Voilà Faye Monama l’homme du vivre ensemble aveugle qui sort de son bois, venir cracher son venin sur le Kongo que je suis «  je cite ses propos un vieux bakongo manipulé pour 50 euros pour faire la publicité du livre de Françoise joly écrit par cet escroc d’Aristide dont je n’ai jamais voulu exposer sur l’argent qu’il subtilisa au général Benoit Moundele Ngollo, lors d’une interview que je lui avait facilité bref…

Faye Monama ce même petit batéké qui a manipulé le vieux bakongo comme tu le dis avec assurance Aristide Stanislas Béyala  alias Mobebissi ,cousin germain de l’écrivaine Calixte Béyala  devenu congolais par le hasard de l’histoire . ce petit camerounais n’est- il pas lui, qui rapporta au vieux bakongo qu’il entendait tout quand Mapingou te pénétrait , il se trouvait dans la chambre d’ à coté alors, qui est manipulé entre toi et le vieux bakongo ?

Faye n’est-ce pas toi qui mena une campagne contre la manifestation que la défense des terres bantu avait initié le 18 juin 2022 contre l’occupation des terres du pool par le Rwanda ?

Je ne saurai terminer sans dire un mot sur le feuilleton exécrable d’Evrad Nangho, qui a fait fi de tous les conseils que je lui ai prodigué c’est triste et c ‘est une honte Bande des sorciers.

Hypocrite! Enléve d’abord la poutre de ton œil; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère .

En conclusion le temps finit toujours par faire tomber et par révéler la véritable nature et la nature profonde d’une personne et faire tomber les masques.

Nous y sommes !

Armand Mandziono le Vindumuneur

Partager :

CE QU-IL FAUT POUR UNE COHÉSION ININGINSSABLE AU POOL.

C’est des ténèbres que jaillit la lumière.

Étant convaincu que le changement au Congo viendra d’ailleurs.

Je m’adresse à vous peuple du pool afin que vous prenez vos responsabilités au lieu d’attendre une énième  hécatombe.

Méfiez- vous des illusionnistes  qui vous disent que quand nous aurions réglé la contradiction majeur qui oppose les du congolais , la situation de l’ensemble du Congo se réglé, faux c’est eux qui seront vos prochains bourreaux comme ils l’ont été dans un récent passé et le pool restera toujours ce fils honni de la république si vous ne prenez pas conscience.

Parole d’évangile.

En vérité , en vérité je vous le dis le pool sera rayé de la carte du Congo parce que vous êtes un peuple qui souffle le froid et le chaud autrement dit le clair -obscur

On ne peut se prétendre être un peuple élu de Dieu, si l’on manque de tolérance.

Aucun homme du pool n’a la puissance qui, selon certaines croyances, fixerait de façon irrévocable le cours des évènements.c’est à dire avoir le destin du christ.

A l’heure ou le colon rwandais n’attend que l’assaut final pour s’accaparer nos terres il ne sert à rien d’être imprudent dans un pays où la médiocrité est reine .

Nous devons battre au rythme du Congo n’oublions pas que les rivalités politiques ont quasiment décimé le personnel politique du pool depuis la révolution congolaise.

Un regard rétrospectif sur le pool par contre nous donne la mesure de son drame humain.

la cohésion doit prendre le dessus sur l’individualisme ambiant de la communauté qui apporte la division.

Ils faut œuvrer pour une cohésion des filles et fils du pool car l’union est une composante essentielle de la force d’un peuple(on ne profane pas les symboles d’un peuple uni).

cultiver la tolérance et le dialogue qui , seuls , réaliseront l’entente entre filles et fils du pool.

Nous devons poursuivre le chantier amorcé par les grandes personnalités du pool qui sont(Koléla,Milongo,Nkombo,Moudileno-Massengo,Ndalla,Hombessa,Mankassa,Mapouata,Mackoumbou-Nkouka,Badinga,Kakoula,Nganga…) et créer un pont intergénérationnel dans l’objectif d’optimiser son achèvement et sa pérennisation

l’égo,l’ambition , les concepts abstraits du complot et de l’intimidation, le mensonge ne doivent plus continuer à prendre le dessus sur nous.

Lorsqu’on est au fond du trou et qu’on veuille en sortir, il faut arrêter de creuser.

le peuple du pool pour aussi impondérable qu’il soit n’en est pas moins vaillant face à l’agression préméditée contre lui.

Sur ce mon cri d’alarme s’adresse à Ciceron Massamba,Tony Moudilou, Amédé Nganga,Adrien houabaloukou,Modeste Boukadia,jean Claude Mayima Mbemba,Nganga nicodème,Marcel Nguitoukoulou,Samba dia KOUMBI,Nestor Ndoudi et le patriarche Kakoula- Kadi de se concerter et de s’ouvrir à toutes les énergies de la diaspora du pool ainsi qu’au groupe de la conférence du pool initié par de Crhistian Mboumba , Beaudry Malanda Nkounkou, sans oublier Prosper Mbaloula tout en les invitant à méditer cette maxime de Socrate «  une vie sans examen ne vaut pas la peine d’être vécue » . Nous devons mettre nos égo de coté et nous départir de l’orgueil afin de parer à toutes initiatives isolationnistes pour régler la contradiction qui oppose le pool et le pouvoir de Sassou-Nguesso.

Chers parents c’est ensemble que nous gagnerons et non en excluants les autres ou en croyant Dieu fera pour nous .

A bon entendeur salut!

Armand Mandziono Butélézi Diaguenda Jean le Baptiste Butsindi bua Butsiéleka bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika,Kulu tsia bongo Mu Nzo,NGE KU HAaDINRI KU BELO SIA NGA Jamaïca a ma zulu Korobo dia butsiéleka.

Partager :

28 NOVEMBRE 1958, 28NOVEMBRE 2024: 66ans de mensonges

Pendant que le peuple congolais s’exaltait à l’idée de devenir des êtres souverains certains esprits retors avides de propositions et de projets politiques s’attisaient concocter des stratagèmes aux relents destructeurs qui impacterons à jamais la vie de ce jeune État, qui jusqu’à ce jour ne vit que de larmes, de pleurs ,de douleurs et de remords .

Cela justifient les causes qui déterminent le droit de lutter contre le système rétrograde du P.C.T.

Au regard de cette généalogie , il est temps que les bonnes questions soient poser par les citoyens sur les zones d’ombres et pages noires de notre histoire pour garantir un avenir radieux à la postérité.

Prendre le temps de réfléchir, se concentrer sur ce qui arrive au Congo, pour susciter un véritable engouement d’ éveil patriotique.

Et, enfin construire des propositions pour cohabiter , vivre ensemble bref construire un projet commun si cela est encore possible.

Prenons le courage de briser l’omerta, d’ouvrir la boite de pandore considérant que les affaires qui seront évoquées dans cet exposé sont déjà en partie connue pour dresser un bilan exhaustif que possible sur la création de la république des origines à nos jours sur la notion de l’intérêt tribal à l’intérêt national. .

66ans pour rien .

Est il encore possible de considérer la république comme quelque chose de viable ou devons nous retourner à nos chefferies respectives ?

Ce come -back certains l’assument déjà plus ou moins à l’exemple des Mbochis qui n’hésitent point à exhiber leurs danses suprématistes comme pour narguer les autres après avoir dérober le butin national tel des sauvages primitifs indiens de l’Amazonie ils ne manquent pas de bomber le torse et de souffler sur les braises On a tuer dans le pool le ciel n’est pas tomber. Ces propos byzantins décrivent le caractère d’un peuple anti-social encore rester au stade de la paléontologie.

Toutefois on ose croire que la bonne crème M’bochi encore consciente des menaces que font peser leurs tribulations sur l’ensemble de la nation saura se ressaisir à l’instar du Général écrivain Benoît Moundélé-NGollo , l’homme qui a vaincu la vasière ,qui passe pour un homme vertueux dans un océan de médiocres.

Le Congo de demain se construira avec ceux- là, qu’il faille dénicher dans chaque NZO du Congo avec une torche, moi Armand Mandziono et l’ensemble du Nzoisme faisons foi de cet idéal de la construction de la nation c’est pour cela que je donne un coup de pied à quiconque qui n’est pas de ma catégorie de pensées.

Il ne s’agit pas seulement des Mbochis mais de tous les extrémistes d’ où qu’ils soient ,je pense à ce titre aux Nibolecks qui ont commis des atrocités pendant le régne de Lissouba voulant par là perpétuer ce qui a été décrié pendant la conférence nationale , ce moment historique creuset d’un nouveau départ expurgé de toutes formes de dérives ,

pendant que les des Vilis font preuves d’une hospitalité légendaire malgré les saccages et les profanations commis sur leur cosmogonie par certains envahisseurs qui ne reculent devant rien , pour imposer leur modus vivendi plutot que de le partager

Alors, que tous ceux qui pensent comme moi me rejoigne pour faire contrepoids à cette anomalie de l’histoire et reconstruire une autre histoire contemporaine équilibrée, respectueuse des valeurs humaines et aspirant aux bien être de tout un chacun Armand Mandziono Dianguenda Butélézi jean le Baptiste Buntsindi bua Butsiéleka bua vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika, Kulu tsia mbonga mu Nzo aaku Jamaïca wa ma zulu, Korobo dia butsiéléka

Partager :

Entre la proclamation en 1958 et le déclin en 2024 de la république que célébrerons les congolais?

https://www.youtube.com/watch?v=eJ5qxVt8ltk

Le Congo pourra-t-il organisé comme d’habitude plusieurs manifestations pour célébrer, la « proclamation de la République » intervenue le 28 novembre 1958, avant son indépendance obtenue en août 1960, au regard de l’indéniable déclin actuel constaté de nos jours par chaque citoyen : Absence de paiement de salaires, de pensions, de bourses, manque d’eau potables , manque d’électricité , abandon du domaine sanitaires , cherté de la vie … Né avant la honte les actuels autorités de Brazzaville n’hésiterons certainement pas à organiser , les cérémonies de célébration qui se dérouleront au Palais des Congrès et à Oyo, l’on pourra voir des banderoles sur lesquelles seront inscrits ceci : « 28 novembre 1958-28 novembre 2024: la République a 66 ans . Vive la République une et indivisible ». décoré dans ce cadre infatigable destructeur président Denis Sassou Nguesso qui comme d’ habitude   usera de sa langue de bois bien  connue du peuple , pour honorer ses prédécesseurs à la tête du pays sachant  pertinement que leurs visions ,projets et mémoires ont été rangé dans la poubelle de l’histoire: les défunts Fulbert Youlou (1960-1963), Alphonse Massamba-Débat (1963-1968) et Marien Ngouabi (1968 -1977) Jacques Joachim Yhomby Opango (1977-1979) et Pascal Lissouba (1992-1997)à titre posthume, ainsi que plusieurs autres personnalités.

Cette célébration sera forcément marquée par une parade militaire du peuple Mbochi sur l’esplanade du Palais des congrès pour l’honneur personnel de SASSOU -Nguesso et de tout son clan en présence des corps accrédités qu’il considère pour des naïfs or…

Au détriment des autres ethnies qui composent le Congo.

La République du Congo a été proclamée le 28 novembre 1958 par une délibération de l’Assemblée territoriale du Moyen-Congo, qui était auparavant le nom de ce territoire de l’Afrique équatoriale française (AEF) membre de la Communauté franco-africaine. Moins de deux ans plus tard, le 15 août 1960, c’est la proclamation de son indépendance.

Mais aujourd’hui La célébration de la proclamation de la République est problématique  suite au fonctionnement ethnico- clanique du peuple M’bochi,  qui laisse les autres peuples pour des laissés pour compte de cette république dite une et indivisible où le vivre ensemble est vidé de  sa quintessence

.Armand Mandziono Dianguenda Butélézi jean le Baptiste Butsindi bua Butiéléka bua Vindumuna ba Ngungu, Kulu tsia Bongo mu Nzo aku,Ngé ku Hâandiri ku ba kawula balembana bélo tsia nga, jamaïca a mazulu,Korobo dia matséléka

Partager :

 MODESTE BOUKADIA CONDUIT A LA POTENCE !

Tant que le peuple kongo ne prendra jamais conscience de l’hémogénie du peuple M’bochi bras armé de l’impérialisme français, ces filles et fils continueront à être marginalisés et resterons le dindon de la farce de cette république crée le 28 novembre 1958, et les laris ostracisés .

N’ayez point honte de regarder la nudité de celui qui ne se gêne pas à se dénuder ainsi que de celui qui préfére la viande humaine, le statut quo comme modèle de gestion du Congo à la place du dialogue, du débat, de la discussion inclusive.

En effet , après son passage sur Afrikili Tv ,Modeste Boukadia a par son franc-parler infligé un vrai camouflet au dicktat M’bochi , à propos de la langue lingala dont on oblige les Kongo à parler même dans leurs villages .

Cet impérialisme linguistique relève de l’irrespect totale d’un narcissisme dévergondé des nordistes traduisant un complexe d’infériorité atavique datant de la préhistoire .

Car vivre dans la forêt ce n’est pas pareil de vivre dans la brousse.

Les mentalités sont plus aérées dans un environnement ambiant  , ce qui explique l’antinomie entre le nord et le sud qui , ne cesse de donner le tournis aux loups qui se déguisent en agneaux dans la bergerie.

Il est devenue la proie des escadrons de la mort et d’un lynchage médiatique de la diaspora qui se réclame militante.

En poussant son coup de gueule Guy Motoki Mafimba , n’hésite pas à jouer au bossu qui ne voit pas sa bosse, il ne se gène pas de traiter monsieur Modeste Boukadia d’un leader politique qui à franchi le pas de l’ethnocentrisme assumé vers l’incitation à la haine tribale aux relents génocidaires.

Diantre !

Que dire de ce genre de réaction épidermique qui rappelle une phraséologie teintée d’une escroquerie politique .comme il a toujours été de coutume chez l’homme du nord Monsieur Modeste Boukadia n’a fait que réagir à une situation désopilante fort regrettable.

Sa réaction doit être mesurée à l’aune des méfaits produits par les hommes du nord. Il n’est pas ici le lieu d’exonérer l’homme  du sud de ses péchés ou de le blanchir, sinon plus fort est de constater que les méfaits produit par l’homme du nord va de l’échelle de 1à5 sinon plus . Peut- on seulement nous citer une seule tuerie de masse commise par les gens du sud dans les villages du nord.

Nous attendons là une réponse de Guy Mafimba.

L’histoire des tueries du nord dans le sud date de Marien Ngouabi avec les Andzimbas ce phénomène s’est amplifié avec la furie de sassou nguesso .

Pour autant on a pas vu les peuples du nord se désolidariser de sassou nguesso.

Lors du séjour de clément Mierassa à paris question lui fit posée en pleine salle pourquoi l’opposition congolaise ne parle que très peu de la situation du pool?

. Elle ne parle du pool que pour agrémenter son discours.

On avait vu la réaction d’un certain Guy Mafimba et de Joseph Ouabari ,Mafimba peut -il nous en dire davantage sur sa réaction d’hostilité à l’égard de l’intervenant ?

En parlant de scission Modeste Boukadia emboîte le pas à un certain Théophile Obenga , à qui d’ailleurs on a jamais fait de procès qui déclara après la guerre de juin 97 sans sourciller c’est la soumission ou la scission.

On voit que cet égyptologue n’est qu’une pale copie de son mentor Cheik Anta Diop , prêchant l’unité de l’Afrique, à la différence d’un Obenga recroquevillé sur son microcosme nordiste.

Les déclarations de Mafimba son hors de propos car ils sont en total rupture avec les actes .

Armand Mandziono Butélézi jean le Baptiste Butsiéléka bua Butsiéléka bua Vindumuna Ba Ngungu Wa Kala mu kuenda Nkukirira, Kulu tsia bongo mu Nzo aku, ngé ku hhâadiri ku bélo tsia nga, Jamaica wa mazulu Korobo dia Butsiéleka.

Partager :

TOTALIRISME MENTAL ET POLITIQUE PARADOXE D’UNE FRANGE DE LA DIASPORA JUSQU’AU BOUTISTE , PERDUE!

Le langage sur les armes a raisonné dans les rangs de la diaspora militante depuis 10 à 15 ans.

Nous sommes aujourd’hui dans dans la désespérance.

Les différents dialogues précédemment organisés nous ont fait avalé des couleuvres, alors faut- il s’en remettre a un autre dialogue dans les mêmes conditions ?

Le dialogue, outil structuré par des professionnels , permet de se rendre compte que reconnaître la souffrance ou les peurs de l’autre ne remettra pas en question la légitimité des souffrances et des peurs.

d’ ou proviendra la cohésion sociale ou la rédemption du Congo ?

Si à chaque fois que la question du dialogue est évoquée une injonction contradictoire de la diaspora intervienne « on ne dialogue pas avec un dictateur alors, vous dialoguerez avec vos fesses donc , permettez la boutade».

Tout en sachant que leur promesse de départ ne se réalise pas .

Nous aurions sans doute intérêt à cesser de débattre et à commencer un dialogue sincère déjà entre nous , au lieu de jouer à la sempiternelle comme dia d’ellarte.

Le problème du Congo ne se situe pas dans la volonté d’un groupe de clamer fort sa condamnation il se situe dans les jugements figés que nous avons construit les uns et les autres dans la détérioration de la relation patriotique et la relation tribale.

Apprenons à nous saisir des fenêtres des tirs qui s ouvrent à nous pour rendre le dialogue efficace .

sinon les uns vont contester pour contester et les autres vont parler pour parler ça ne sera que du vent.

La triste réalité c’est celle là mamba  matiya qu ‘ a mayoka lemle ko littéralement l’ eau chaude même très chaude ne brûlera jamais le linge .

Il faudrait que la diaspora tire les conséquences de son attitude c’est à dire se nourrir des ambitions dont il n’a pas les moyens. Ils parlent des armes alors qu’ils sont incapables de payer une moindre salle pour son propre fonctionnement autrement dit pour leur réunion de travail c’est une des raisons principales qui fait l’échec de cette diaspora dite militante que de s’ arquebouter , de se figer sur des chimères.

Matias DZON , Ndemba Ntelo… ont raison de parler du dialogue, sauf que ils se feront emporter par le courant des eaux, de l’Alima.

La résistance intérieure et la résistance extérieure doivent se mettre au même diapason sur la question du dialogue pour que le dialogue qui est si nécessaire ne tourne pas aux ridicule, et ne reste pas improductif.

Est ce que la Russie et l’Ukraine ne finiront ils pas au dialogue ?

Chers compatriotes à l’évidence oui.

Armand Mandziono Dianguenda Butélézi Jean le Baptiste Butsindi Bua Butsiéleka bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Kulu tia bonga mu Nzo aku, ngé ku Aâdiri ku bélo tsia nga,Jamaïca wa ma zulu, Korbo dia butsiéleka.

Partager :

LES PARADES PERSUASIVES DE LA MANIPULATION MÉDIATIQUE DE LA DIASPORA MILITANTE.

Cela fait prés de deux décades que des pieds nickelés pilotent par des diatribes virulentes et violentes les médiocres dirigeants du Congo ,sur les réseaux sociaux au vu et su de tout le monde au nom de la sacro- liberté d’expression revendiquée à tort et à travers .

Sans faire dans le débat utile donnant à l’ excès dans la diatribe dans la diffamation et dans la vulgarité la plus éhonté .

Car en publiant la nudité de Thierry Moungalla ,en insultant Jean Dominique  Okemba  ,de tous les noms d’oiseaux on se passe pour un bouffon soit même ,car la rigueur de l’esprit exige une forme de moralité et de décence du respect de soi même et d’autrui.

En versant de façon outrancière dans l’invective on livre sa propre personnalité, on se dénude.

On approche de l’animalité car l’animal n’a pas de limite, il n’est pas doté de raison humaine propre à Descartes , il vague au gré de ses instincts primitifs.

Et ,fait de lui un être sans valeur.

Car, il ne répond à aucun ordre social.

En, effet depuis que l’opportunisme est devenue la spirale idéologique de ces calculateurs  confondants business et gestion de la cité sans avoir une vision politique aucune, en dehors leur fond de commerce qui consiste à lancer des boules puantes pour tenir en chantage ce , dont ils attendent un retour en argent pour s’acheter la paix .

Cette obsession prend racine dans les vices obsessionnelles des dirigeants à plumer les caisses de l’ État ,donnant ainsi du grain à moudre à ces harpagons des temps modernes qui en s’improvisant objecteur de conscience ou militant zélé font plus que jamais du tord à la cause il n’est plus que , jamais temps de les chasser du jardin d’ Eden pour que le peuple souverain découvre enfin leur nudité , Il est temps que ceux qui leur font la promotion en leur offrant complaisamment une tribune de leur média se ressaisissent, pour ne pas à leur tour se rendre coupable d’une duperie qui n’a que trop longtemps duré le peuple profond vous à l’œil .

Il  est temps que vous repensiez votre modèle de fonctionnement , car les médias ne sont pas là pour porter la bêtise au firmament.

Armand Mandziono Dianguenda Butélézi Jean le Baptiste Bustindi Bua Butsiéléka Bua Vindumuna Ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Kulu Tia bongo Mu Nzo, Bakawula balembana ,Ngé ku Andiri ku bélo tia Nga,Jamaïca wa Mazulu.

Partager :