Nombre de vues: 804
Sassou-Nguesso le vomi de la republique – YouTube
Chers compatriotes,
Suite à vos multiples vociférations, mauvaises interprétations sur le concept ,(O.CJ.) dont je suis le concepteur ,je m’engage ici et maintenant , à vous dire toute la vérité .
Chers compatriotes
A certaines périodes de la vie il faut avoir le courage de fixer la vérité en face et prendre ses responsabilités.
Dixit le vieux sage Korobo Matsouaniste.
De quelle vérité S’agit – il ?
Mon engagement ou mes prises de paroles posent problèmes depuis Mathusalem; pourquoi ainsi donc ?
Mes propos sont interprétés comme un canon à forte résonance ,parce que je considére que le droit au Congo est un instrument ou un dispositif servant à tuer , blesser un esprit éclairé ou réduire un ennemi au silence à titre d’illustration les cas du colonel Ntsourou, général MOKOKO et du ministre Okombi avec une parodie de procès sans précédent.
MI-FIGUE ,MI-RAISIN.
Or, le droit ne peut être une arme politique au service et dans les mains des gouvernants .
Il me sied de rappeler que l’opposition citoyenne de juxtaposition en sigle l’O.C.J , tire son essence sur certains paragraphes de la loi fondamentale du 25 OCTOBRE 2015, modifiée à certains égards .permettant certaines libertés en république du Congo , en l ‘occurrence la succession de ces articles.
Art.25. – Tout citoyen a le droit d’exprimer et de diffuser librement son opinion par la parole, l’écrit, l’image ou par tout autre moyen de communication. La liberté de l’information et de la communication est garantie. Elle s’exerce dans le respect de la loi.
La censure est prohibée.
L’accès aux sources d’information est libre et protégé dans les conditions déterminées par la loi.
Art.26.- Le secret des correspondances, des télécommunications ou de toute autre forme de communication ne peut être violé, sauf dans les cas et les conditions prévus par la loi.
Art.27.- L’état reconnaît et garantit, dans les conditions fixées par la loi, les libertés d’association, de réunion, de cortège et de manifestation.
Art.28.- Le droit à la culture et au respect de l’identité culturelle de chaque citoyen est garanti.
L’exercice de ce droit ne doit porter préjudice ni à l’ordre public, ni à autrui et à l’unité nationale.
Art.29.- L’Etat assure l’épanouissement de la jeunesse. A ce titre, il garantit notamment :
Art.30.- L ’Etat reconnaît à tous les citoyens le droit au travail et crée les conditions qui en rendent effective la jouissance.
Art.31.- Les personnes âgées et les personnes vivant avec handicap ont droit à des mesures de protection en rapport avec leurs besoins physiques, moraux ou autres, en vue de leur plein épanouissement dans les conditions déterminées par la loi.
L’ Etat a le devoir de promouvoir la présence de la personne vivant avec handicap au sein des institutions et administrations nationales et locales.
Art.32.- A l’exception des magistrats et des agents de la force publique, les libertés syndicales et le droit de grève sont garantis dans les conditions fixées par la loi.
Art.33.- Nul ne peut être astreint à un travail forcé, sauf dans le cas d’une peine privative de liberté prononcée par une juridiction légalement établie.
Nul ne peut être soumis à l’esclavage.
Chers compatriotes,
A la lecture de tous ces articles de la loi fondamentale cités ci-dessus, faites-vous la même interprétation que celle de monsieur Denis Sassou-nguesso , son pouvoir ou son clan , ainsi que leur partenaire le Rwanda.
l’O.C.J. parlons -en !
En effet comme son nom l’indique l’opposition citoyenne de juxtaposition est un mouvement de rassemblement pour apporter la contradiction politique qui manque dans notre pays .
Nul besoin de créer un parti politique de plus pour ceux qui pense que je dois créer un parti politique, l’O.C.J est tout simplement un mouvement hétéroclite , c’est à dire un mouvement qui a pour vocation de structurer le quotidien des congolais à travers un rassemblement permanent des différentes figures et intelligences venues de tous les sous territoires congolais avec pour un même socle, mécontentement, la mauvaise interprétation de la constitution, l’incompétence au sommet de l’État , la mauvaise foi dans la tiède tentative du vivre ensemble diluée dans un tribalisme avéré , et qui réclament une nouvelle gouvernance du Congo , donc le socle commun c’est celui-là.
C’est donc un ensemble hétéroclite qui rassemble en son sein cote à cote les congolaises et congolais venus d’horizons différents, mais qui ont en commun le sens de porter la voix sur la place publique pour dénoncer les choses et prêcher une nouvelle façon de gouverner , une nouvelle façon de faire les choses, il s’agit donc à travers ce mouvement qui n’est pas un parti politique d’exprimer la lassitude, toutes les personnes qui expriment leur lassitude et qui dénoncent une forme d’immobilisme à la fois du pouvoir et même de l’opposition et qui se retrouvent car, si l’opposition existe aujourd’hui au Congo , elle n’assure pas sa responsabilité parce que elle est tout simplement dans la contemplation, elle fait de la figuration .
Donc, au vue de ce statut quo il s’agit aujourd’hui d’être vent debout et de porter aut la voix .
Et ,pour cela ceux qui sont mécontents qui expriment leurs mécontentements ne peuvent pas s’enfermer dans les partis politiques sans ambition aucune .
il faut donc qu’ils trouvent une alternative permettant de mettre à nue, toutes les manœuvres dilatoires et politiciennes qui oppriment le peuple congolais , c’est pourquoi en ma qualité de coordonnateur de l’OCJ.
je propose aux congolais ces différentes couleurs appelées arc en ciel , pour éveiller la conscience et toutes énergies enfouies sous le poids de la mauvaise application de la loi fondamentale .
Il est de mon devoir de prendre en compte toutes les énergies positives s’exprimant ici et là
aussi bien par la rue que sur les antennes notamment , sur les réseaux sociaux autour desquels vont donc se greffer les abandonnés des responsables politiques véreux des partis politiques, les forces sociales qui sont donc les syndicats , les gens de la sociétés civiles ect, ect …
Il s’agit donc de canaliser tout ce mécontentement pour mettre en place une nouvelle architecture,occasionnant l’éclosion des nouvelles approches politiques en terme de gestion de la cité.
il s’agit donc de répondre à la constatation observée à tous les niveaux de la cité.
Aucun besoin de créer un parti politique ni maintenant, ni après, les congolais doivent le savoir.
Cependant , vu que penser est une liberté individuelle et fondamentale.
Je serai amené à solliciter le courage des autres compatriotes à faire pleinement usage de cette liberté fondamentale .
Contact:[email protected]
Armand Mandziono Butélezi le vindumuneur musi nzo congo.