L’exercice indigeste de la secte du PCT.
Tous ayant trahit l’idéal d’une démocratie populaire promit au peuple qui, ne comprend même plus la chronologie de l’histoire qui devait être son éveil. Se lancent dans des efforts qui n’en valent pas la peine.
Le singe qui ne voit pas son derrière se moque des autres singes ce qui signifie on voit la paille dans l’œil du voisin, mais pas la poutre dans la nôtre par ,contre La puissance narrative de l’histoire du Congo ne peut être point le droit de ces seuls hypocrites fossoyeurs de la société congolaise , idem pour la dénonciation des maux qui mine cette société dont , ils ont contribués à abrutir en appliquant des politiques sans logiques.
Notre liberté commence là où s’arrête celle de l’autre,
Au chef il faut des hommes et aux hommes, un chef exemplaire , un miroir du peuple dans la vie, il faut savoir accepter certaines choses même si elles sont désagréables.
La fourmi aussi sait donner des conseils à l’éléphant. Inutile de tergiverser alors qu’on a des solutions dans les mains.
Qui flatte le crocodile peut se baigner tranquille. Quel que soit la beauté d’un cadavre, on l’enterre quand même.
Pourquoi la secte PCT ne se remet jamais en cause , n’accepte pas la critique elle, qui a emmené le socialisme de dire à la place de celui de faire, dans la société congolaise.
Est-ce par ignorance ou par la ruse sur fond de violence ?
Etant donné que la plupart d’entre eux maintenant, ont presque un statut de victime par la ruse de leur corégionaire mais, ils continuent à conserver l’esprit tordu de (lédia,Lénwua, Lésiba).
Plus têtu que eux on en trouve nulle part, ils sont tous liés par le pacte de (L’OBOMUTRI).
Cela explique bien l’escroquerie politique commencée en 1963 accentuée le 31 07 1968 cannibalisée par les soubresauts des mouvement du 23 Mars 1970, 22 février 1972 pour atteindre le point culminant le 18 Mars 1977 et ses corolaires .
Kimbaluka mbaluka