Violence culturelle.
Si tu ne sais pas, d’où tu viens, tu ne sauras pas ou tu vas, la meilleure solution c’est de repartir à la croisée de chemins.
La thématique de l’identité se situe non pas , à un croisement de plusieurs cultures.
Contrairement à la violence culturelle des gens du pouvoir qui, cherchent à annihiler l’identité de l’autre dont elle considère être supérieur pour, des raisons historiques post coloniales afin d’assoir leur concupuissance démesurée , gabegie comprador et masquer leur incapacité à gérer la chose publique.
Tout cela n’est qu’en fait une phobie, creuset d’un complexe vis-à-vis de la méritocratie, c’est aussi l’arbre qui cache la forêt de leur violence innée.
La peur de l’histoire est l’une des causes qui détériore le tissu patriotique , hier imposé au bout du fusil enveloppé dans un tissu en velours provoquant des parenthèses de sang à répétions (1970,1972,1977,1997,1998, 2015,2016 )jusqu’à nos jours.
Quand l’histoire d’un pays n’est pas enseigné à l’école ,c’est que ce pays à un gravissime problème identitaire qui ,ne peut être régler q’ autour d’un dialogue de tous ses filles et fils, agir autrement c’est appliqué un terrorisme d’état, comme nous le vivons actuellement.
L’histoire nous relates tous, sans anicroche aucune le bien et le mal des uns et des autres , cherché à mettre l’histoire d’un pays dans les poubelles de de l’histoire est criminel comme le sont les historiens congolais. L’histoire nous imposes inéluctablement un devoir de mémoire ,hors que constatons nous ?
Une fuite en avant des questions sérieuses, salvatrices qui permettrons de combattre l’obscurantisme, l’imbécilité ambiante du congolais par des personnes sensées apporter la lumière là ou les ténèbres ont atteint l’apologie.
Est il normal que certains, ceux du pouvoir communiquent librement dans leur patois dans l’administration, diffusent leur cultures villageoises dans les réseaux audio visuels publiques tout en se rassurant de l’ exclusion des valeurs des autres terroirs mais, quand il s’agit des autres ils crient et inventent un répertoire de isme comme Matouanisme, ethnocentrisme, tribalisme et bien d’autres néologismes ,a en qoui de se demander après le socialisme Bantu , scientifique sommes nous pas arrivé a l’ère du libéralisme khaniste(khanisme) ou du mwéniste (mwénisme).
Cette violence culturelle à pour but de contraindre les autres à un repli identitaire afin de mieux justifier la logique du pouvoir ou son crédo qui repose sur l’existence d’un d’ un ennemi permanent pour la pérennisation du pouvoir et sa transmission comme héritage aux ascendants .
Au point ou! Paradoxe ou ignorance les premières victimes de ces stratégie sont les ressortissants de ces espaces cultuelles parce que , ne pouvons recevoir les armes cultuelles et technologie nécessaires à la gestion des affaires contemporaines qui, elles exigent beaucoup d’ouverture d’esprit .
Quelle est l’identité culturelle du congolais face à l’insécurité de son intégration au travail, en politique et bien évidemment dans la culture..
Est-ce que le MUNUKU TUBA ET LE LINGALA représentent l’identité culturelle de tous les congolais ? Ou un piège ethnocentrique. Dés lors que la différence parcourt notre temps à titre illustratif la différence entre le chaudron de cultures et des codes régionaux font légions .
Le lavement des mains très sacré aux Kongo –Lari dans le règlement des problèmes épineux pour la verticalisation de l humanité , à la conférence nationale à été un morceau de bois jeté dans la mer et un attrape nigaud pour ceux –ci .Quand on sait que cinq ans après le cycle infernale de la cannibalisation s’est réinstallé au galop.
Né Mpungu Kongo