Biens mal acquis

Biens mal acquis
Serait – il faire preuve d’un sentiment de mauvaise foi à, s’intéresser sur la démarche ambigüe des associations transparency international, sherpa au sujet des biens mal acquis des dictateurs du pré-carré Français en Afrique ?
Force est de constater que ces associations ne s’acharnent qu’aux lionceaux ce qui permet aux lions d’avoir la paix dans leurs âmes face à la justice française.
En agissant de la sorte, transparency international, sherpa font preuves de deux poids deux mesures dans ce dossier , qui devrait aussi épingler les banques françaises dans le rôle qu’elles jouent pour le blanchissement d’argent qui facilite l’acquisition de ces fameux biens par nos dictateurs bien aimés .
En effet, jeudi 23 novembre 2017 , s’est tenue à paris à l’assemblée nationale française, une conférence sur les biens mal acquis par, le célébrissime William Bourdon.
L’absence remarqué des associations suivantes : La FCD , la PPCI dont l’antériorité est incontestable et restera incontesté dans l’affaire des biens mal acquis attire l’attention de plus d’un congolais.
Par contre , curieusement le MRLC nouveau venu dans l’arène politique de la diaspora congolaise y a été convié en tant que partie civile selon les propos de son secrétaire général et les indignés 242 qui contribuent à la vulgarisation et matérialisation de ce dossier à caractère typiquement sensationnel n’y ont pas été convié.
L’on se demande si se porter partie civile dans une affaire , se décrète par une simple participation à une conférence tenue par un avocat célèbre ou ,relève de la compétence d’un juge chargé de l’instruction de celle-ci.
Un éclaircissement s’impose de la part du MRLC au risque de faire du Sassou sans Sassou.
L’ambiguïté dans les procès des biens mal acquis est que , une fois le verdict prononcé est en défaveur du dictateur détenteur de ces biens aucune disposition ne permet la restitution des biens aux ayants droits , c’est-à-dire au peuple souverain.
Dans cette imbroglio il est impérieux d’ éclairer la lanterne de la vox populi à propos du spectacle qu’enclenche ,le faux espoir de récupérer ces biens mal acquis. Quand on sait que les biens mal acquis de l’empereur BOKASSA n’ont jamais été restituer au peuple centrafricain .
A qui profite la manœuvre ?
Ta Bibata wa Buaka Meso

 

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