Renouvellement des instances à échéances dans les associations et les mouvements politiques congolais.
Il est un fait marquant dans la vie politique des congolais, c’est le respect des textes constitutifs cette tare qu’on pensait inhérente aux organisations du P.C.T. semble être finalement le modus vivendi dans l’espace politique congolais aussi bien à l’intérieur qu’a l’extérieur , hier à peine nous avons décrié le changement à la quatrième vitesse à la constitution de 2002 par celui que vous connaissez.
Ceci pouvait être comparé à un fait nouveau d’autan plus que il Ya quelque année sur la place de Paris le même fait se produisit, lors du renouvellement des instances du comité d’action pour les états généraux au Congo, à cette époque. La présidence du bureau exécutif incombe au sieur Goma Raphael, celui-ci après avoir épuisé son mandat de six mois non renouvelable refusa de remettre le tablier à une tiers personne sous le prétexte , qu’il était l’homme de la situation pour conduire la transition qui déboucherai sur le départ de celui que vous connaissez.
Suite à cela on a assisté à un spectacle désolant entre les structures qui répondaient finalement des obédiences différentes contrôlées depuis Brazzaville. Et ce qui finalement déboucha à la naissance des assises avec elle l’apparition d’une autre race des troublions. Les exemples sont légions . Au finish nous sommes-nous pas tous les enfants du P.C.T. ?
Aujourd’hui, encore après la mascarade de référendum constitutionnelle 2015 et de l’élection présidentielle de 2016.
Nous assistons à un éternel recommencement de ces mauvaises pratiques décriés haut et fort, par ceux là même au grand dam du bon sens et de l’éthique politique qui, se sont érigé en donneur de leçon de démocratie dans l’arène politique congolaise.
Dans le cas d’espèce, nous nous référons aux dernières intrigues qui se jouent pour la présidence du MRLC Mouvement Républicain de Libération du Congo, dont le titulaire sortant sans attendre la transmission du bâton avec son successeur, s’est évanoui dans la nature à l’image du président Haïtien le musicien Michel Martéli.
Comme toujours pour, réguler la situation les congolais devenus maître dans l’art de l’exception politique en faisant recours aux fameuses commission Ad Hoc qui, n’est qu’une matérialisation inavoués de l’échec.
Armand Mandziono