Au Congo le fédéralisme s’avéré être l’alibi des hommes politiques désespérés pour se mouvoir.
Ce n’est pas dans l’inaction qu’on soulage le désespoir d’un opprimé.
le fédéralisme est un mode d’ organisation qui est une bonne chose. mais encore Faut il se donner les moyens de se fédérer.
A cette question la reponse est mieux un pluralisme sélectif car, entre l’injustice le désespoir, le chagrin, il est préférable de choisir l’injustice qu’on finit par réparer.
Pourquoi parle -t- on du fédéralisme aujourd’hui?
Est ce que les régimes présidentielles ou semi-présidentielle au Congo ont il échoué in fine.
ou c’est tout simplement parceque nous nous trouvons face à un dilemme de la nature des hommes qui interprètent mal les textes de la république. En créant un état de complaisance gangrener de démagogie?
Ou encore est ce que c’est l’arbre qui cache la forêt de la scission du Congo?
Comment peut on parler du fédéralisme dans pays ou l’aspect des groupes ethniques est éparses. Ce n’est pas une quelconque organisation de l’état qui pose problème, c’est plutôt la nature des dirigeants.
Le rapport sociologique des gouvernants et des gouvernés dans différent groupes ethniques . Téké ,kongo, échira et les déportés qui ont peuplé la partie septentrionale .
Au vue de cet aspect sociologique, nous sommes en droit de se poser la question de savoir sur quelle base allons nous construire le fédéralisme .
Est-ce sur la base des groupes ethniques ou sur la base du découpage administrative ?
Armand Mandziono Nzoïste.