QUAND LA FRANCE TUE LES CONGOLAIS:POINTE-NOIRE VILLE PETROLIERE PLUS SALE DU MONDE

Mieux comprendre son pays, pour mieux s’en occuper.

A force d’exploiter le pétrole la compagnie pétrolière française  total crée de la pollution par ses activités.

Le Congo n’a pas des agences fiables de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.

Notre objectif n’est pas de parler des déchets des usines, le Congo n’a pas d’usines.

Par contre nous nous intéressons des marées noires qui laissent indiffèrent , les responsables congolais.

Quand le pétrole se répand dans la mer, cela cause une marée noire qui pollue les côtes et c’est bien cela qui se passe à pointe noire , la ville pétrolière  la plus sale du monde qui puisse exister.

La flore et la faune sont touchées par la pollution:

La pollution de l’eau n’est pas un secret de polichinelle, le cas du village de ndjeno est une illustration de la pollution de l’eau, de l’air des sols, des effets  de la pollution sur la santé des populations.

En 2011 le village de Ndjeno a été pollué par une nappe d’hydrocarbures, tous les villageois  étaient sommés de quitter leurs espaces vitaux sans aucunes indemnisations.

Ce village ne bénéficie d’aucun plan de prévention.

Les populations  du village de Ndjeno sont victimes à ce jour des forts taux des maladies respiratoires à cause du terminal pétrolier.

Les oléoducs d’évacuation du pétrole sont la chasse gardée de la France, une fois de plus comment peut on parler du droit de l’autodétermination du peuple congolais ?

A oyo proche de la residence du fils des colonies sous préfet de la France ,pays de droit de l’homme et des libertés fondamentales, jouxte la villa résidentielle du PDG  de la compagnie pétrolière française Total  avec héliport et yatch.

Une fois encore la collision est patente, nous congolais jouissons -nous de notre auto-détermination ?

Quand toutes la sous traîtance  pétrolière est aux mains du clan de l’autre l’autre.

Qu’attendons-nous pour remettre les pendules à l’heure ?

Armand Mandziono Mwana Nzo, Nzoïste.

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