De la violation des libertés publiques Aux crimes contre l’humanité.

Le Congo patauge dans un océan d’indifférence de meurtres. Les évènements survenus au, commissariat chacona de mpila ne sont que l’aboutissement d’un processus engagé depuis, la guerre coup d’état du 5 juin 1997.

A l’instant même ou sassou nguesso s’emparait de la magistrature suprême, par la voix des armes.

Des le début de sa présidence, le destructeur infatigable de la société congolaise s’est comporté en , effet comme-ci le fait d’avoir prit le pouvoir par des moyens anti- constitutionnels, lui conférait non seulement le droit de tous les pouvoirs mais, encore un droit de vie et de mort sur  ces concitoyens devenus ses sujets.

Cela se traduit par une escalade continue dans la négation de l’état de droit sur lequel, pourtant, les forces sociales et religieuses du pays n’arrêtent de tirer la sonnette.

La liste exhaustive des atteintes portées depuis 1997 à nos jours, aux libertés fondamentales individuelle ou collective est connue de tous.

Il sied de rappeler les violations des plus flagrantes perpétrées par le gouvernement congolais durant plus de vingt un an de pouvoir de sassou (affaire de mpila 4mars 2012,arrestation de ntsourou, affaire ntumi.)

Pour prendre la mesure des crimes odieux commis pendant tout le règne de sassou en toute impunité, et sans que la communauté internationale s’en émeuve, dans la démocratie très particulière que les nouvelles autorités congolaises adoubés par la France prétendaient restaurer au Congo qu’ils ont transformé   tragi-comédies.

Armand Mandziono,Mwana Nzo, le Nzoïste.

 

Partager :