Six ans après les tragiques explosions de mpila, nous y voila encore mais, cette fois-ci par une disparition de ce qui est la pépinière de la nation, sans qu’on ait des explications crédibles.
Cette relève pour laquelle on a consacré beaucoup d’énergies avec notamment: La mise en place d’un fond des générations futures qui, elle aussi s’est évaporée, ne pouvait connaître un sort évidemment différent de ce qu’elle vit.
Comme dirait le principe chimique de Lavoisier; rien ne se perd rien ne se crée. Pour une énième fois le peuple congolais vient de vivre un drame dont les contours restent flou, mais dont les protagonistes et le lieu ressemblent à du déjà vu.
Une fois de plus Mpila, toujours Mpila ce quartier mythique d’où est parti la conception du triple assassinat de 1965(Matscota, Pouabou, Massouémé)
Mpila encore Mplla qui a servi de base de repli des tortionnaires de la république après le réajustement de la révolution du 31 juillet 1968. Par ces deux généraux résidents les plus célèbres de l’histoire politique .
Après expropriation des biens appartenant à la fois du CFCO et aux particuliers français lors, de la grande vague de nationalisation après, le début des années 70, des occupants anarchiques vers lesquels le ministre Mabiala devrait un peu plus, tourner afin qu’ils nous livrent les secrets de toutes les péripéties politiques, avant que leur jour du seigneur arrive.
Enfin , Mpila ou le 5 juin a été décidé le sort qui poursuit le peuple congolais jusqu’à ce jour, pour avoir déranger de son paisible sommeil le roi soleil.
C’est à dire que lorsque un événement se produit à mpila, il peu y avoir des conséquences incommensurables d’ailleurs, le ministre Zacharie Bowao en sait quelque chose qui, est devenu comme un mauvais sort qui, le poursuit au point de nuire même à la posture d’opposition qu’il incarne depuis cette affaire.
Parceque n’ayant pas pu apporter en sa qualité de ministre de la défense des éclairage pouvant édifier le grand public.
Cette- fois ci c’est l’affaire des disparus de chacona Mpila, il serait très difficile de contredire l’adage qui dit que l’assassin revient toujours sur les lieux du crime.
Le ministre Zéphirin Mboulou ne serait-il pas le criminel? Sinon comment expliqué en sa qualité de garant de l’ordre public à l’image des explosions du 4 mars 2012, il est toujours le dernier a être informer de la situation.
Montrant ainsi son impuissance face à ce gang de tueurs de la force public bien connu de ses services, allant jusqu’à régler la responsabilité aux responsables, qui relève de lui dont en réalité il n’a pas de contrôle au point de jouer les ponces pilâtes, devant un parlement dont la tension est sujets a caution.
D’autant plus qu’elle est démotivée faute d’indemnité, il ya de quoi se demander de la nécessité de celui-ci.
Entre temps la voix autorisée du gouvernement nous apportes un autre son de cloche dans l’explication de la situation, au point d’être en porte à faux avec le monsieur sécurité du gouvernement.
Peut- on dire alors dire who’s who dans ce gouvernement?
Est ce monsieur Thierry Moungala qui est le porte parole du vrai patron de la sécurité et de la défense ou monsieur Mboulou qui n’apparaît que le faire valoir du grand des tueurs de la force public.
Au regard de tout cet imbroglio, on peut se demander si monsieur Mboulou Zéphirin réussira encore à sauver sa peau comme la dernière fois ou monsieur Moungala rejoindra-t-il l’écurie de monsieur Zacharie Bowao avec son lots de malheurs ?
Armand Mandziono Mwana Nzo, le Nzoïste.