Diaspora: Toto ne veut rien comprendre.

Sassou aboma awa, sassou aboma kuna, tel est devenu le mode d’expression de nos fréres de la partie nord pour exprimer leur part de désarroi face, à la situation dans laquelle le Congo est plongé.

Cette prise de conscience de la partie nord, pourrait servir de courroie de transmission à l’union des deux parties de Brazzaville et symboliquement de tout le Congo, signe de rassemblement qui serait le facteur déclencheur d’un soulèvement à la burkinabé.

Ce rassemblement qui fait tant défaut à la diaspora, est le ferment d’une lutte efficace.

Plusieurs appels ont déjà  été lancé dans ce sens, notamment celui du doyen Mbiki boycotté en avril 2013 , par ceux qui  aujourd’hui s’en réclament .

Comme par enchantement l’idée resurgit, suite à l’appel fait par la présidente de la fédération de l’opposition congolaise en la personne de madame Munari, tendant la main à cette diaspora bien décimée  pour une meilleure synergie.

Une fois de plus cette consigne  n’a pas pu être observée par, les différentes tendances d’autant plus à la veille de ce moment fédérateur du 15 août , un appel réitéré a été lancé   pour l’union des forces par le doyen Mbiki de Nanitélamio

, Mais le constat est tel  que aucune démarche   n’a été entreprise par les initiateurs de la rencontre de GENNEVILLIER. le 15 août qui  semble -t-il avait reçu l’onction du collectif des 17 partis dont le cap est membre. Dans pareil cas , comment espérer atteindre des objectifs de qualités gage d’un combat salutaire ?

Armand Mandziono Mwana Nzo , le nzoîste.

 

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