Duo Mathias Dzon, claudine Munari: Un bouclier contre l’impunité.

  Savoir et comprendre les enjeux de la sphère politique congolaise doit être au , centre de l’esprit du souverain premier. Pour ne pas dire que le femme et la justice sont difficile à aimer dans un état qui n « a  pas de corps. Mais qui sont en réalité Mathias Dzon et Claudine Munari deux grandes figures politiques, qui ont rendu des bons et loyaux services à l’autre là inutiles de les énumérés.

Mais pourquoi leur dernière,  sortie politique suscite tant d’engouement ? C’est tout simplement, parce que les congolais détestent réfléchir, ils s’intéressent plus à la politique spectacle? dans la confusion totale d’une république de crapule.

Souvenons-nous de leurs passés respectifs ces vingt cinq dernières années et des résultats des politiques menées pendant ces années, dont les effets continuent à courir.

Mais a quoi jouent Mathias Dzon et Claudine Munari, si ce n’est pas deux réservistes de la majorité présidentielle, pour monter au créneau, lorsque le bateau tangue.

Cette attitude protectrice permet d’empêcher tout accès des nouvelles énergies d’émerger dans le combat politique de l’opposition congolaise.

Nul n’est censé ignorer que dans tout corps de métier on doit penser au renouvellement de génération or, dans le cas précis aucune nouvelle tête n’a pu émerger de leurs partis respectifs, bien pire comment expliquer lors des joutes électorales aucune autre candidature n’est présentée en dehors d’eux mêmes.

Ce qui prouve à suffisance qu’ils sont dans des stratégies individualistes car, pour postuler, il faut avoir de l’argent qui est le nerf de la guerre et pour avoir de l’argent, il faut avoir la signature dont ils sont   titulaires. en tant que cf de parti.

Curieusement ces partis sont dépourvus, des sections féministes et des jeunes pour mieux coller à l’image de la maison mère qui est le PCT qui, aujourd’hui elle même est essoufflé parce que depuis 2016, fonctionne au mépris de ces statuts, rejoignant ainsi ces échoppes politiques dirigées par ces pseudos leaders de l’opposition dont les partis n’ont jamais tenus des congrès de renouvellement des instances dirigeantes.

La banqueroute dont ils nous parlent n’est que la résultante des effets à consolider  des gouvernements  successifs, de ces vingt cinq dernières années, dans lesquels ils ont participé.

Comme quoi si fatwa il y devra ,s’appliquera à tous sans exception aucune.

Madame Munari qui, dernièrement a fait un clin d’œil à la diaspora, diaspora que connaît bien son colistier Mathias dzon pour y avoir entretenu des chapelles(Codicord,Congo ya sika,comité d’action  j en passe) et d’ailleurs qui ne fait plus signe de vie lorsque il s’y séjourne, n’ont jamais poser le problème de vote des congolais de l’étranger alors pourquoi s’adressent ils a des fantômes

Ces pauvres congolais qui n’ont plus que les réseaux sociaux, pour rappeler leur existence dans la citoyenneté congolaise souhaitent intégrer activement le jeux politique sur le terrain or, le fil conducteur entre la diaspora et les partis politiques  de l intérieurs demeurent inexistant.

Mais finalement à qui profite ce sauvons-nous nous mêmes de la majorité présidentielle ?

Armand Mandziono Mwana Nzo, le Nzoïste

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