PEUPLE CONGOLAIS: NE NOUS TROMPONS PAS DE COMBAT

Cette parabole est une parabole donné par  jésus christ. La lumière chasse les ténèbres, elle éclaire le chemin, elle chasse les erreurs. Être la lumière ,éclairer la maison c’est œuvrer en suivant la fraternité afin de montrer la voie à suivre.

cette citation nous sert de tremplin pour expliquer ce que nous connaissons tous et , que nous semblons ignorer par de voir la réalité en face  depuis la nuit des temps.

L ‘heure est grave sommes nous  capables de tourner la page du pseudo général du peuple  , de Okombi salissa  le tout bouge des exactions dans le pool  et les autres usurpateurs . pour illustrer cela  nous apportons ces quelques repères sur lesquels tout individu doit se fonder pour faire un choix judicieux, éclairé afin de ne plus retomber dans les sempiternelles  travers du passé qui nous guête toujours au risque de penser à une forme de malédiction irréversible .

MOKOKO : OPPORTUNISTE OU GENERAL DU PEUPLE.

Cet enfant gâte de l APN qui a été de toutes les présidences du PCT porte comme une forme de tare dés lors , qu’il avait trahit ces deux ainés protecteurs – le général YHOMBI ET LE CAPITAINE PIERR ANGA- lors dés évènements du 5 février 1979 marquant l’avènement de Sassou-Nguesso au pouvoir , le Fidèle continuateur de l’œuvre de l’immortel camarade Marien Ngouabi,en exécutant  l’ordre machiavélique d’embastiller les deux personnes pré- cités.

Cet acte qui est resté en travers de la gorge de ces  parents Kouyou -Makoua est interprété comme une forme de trahison par les siens  , à la fois une forme d’allégeance au rival fraternel m’bochi, oublions que la vie est une roue qui tourne,  énivré par son ascension fulgurante dans la hiérarchie militaire et pour avoir été un digne accompagnateur  du chef de la junte dans ces crapuleries, il ne s’n’imaginait point  un jour être victime de son maître .

En effet après avoir échappé pour une première fois en 1988  à une tentative d’assassinat sous forme  de crash aérien , dans la localité de Mayama – comme par hasard fief du pasteur  Ntumi- qui fût perdre à l’armée congolaise son dernier aéronef du type dakota et qui coutére la vie entre autre au lieutenant colonel FIANTOU  originaire du pool , il y échappa par miracle du fait d’un changement de programme  de dernière minute un sort pareil  de là naissait la première crise entre le général et son maître .

N’ayant pas pu  tiré les enseignements du machiavélisme de celui-ci le pire arrivât avec la disparition de sa femme qui n’était autre qu’un énième coup monté contre sa personne, se sentant de plus en plus menacé il profita de l’opportunité de l’avènement du multipartisme suites aux exigences du sommet de la baule à travers les revendications de la classe politique syndicaliste   société civile exigeant la tenue d’une conference nationale souveraine.

c’est lors ,de ces péripéties qu’il   sauvera sa peau en se penchant du côté du peuple, par la sécurisation des conférenciers, n’eut été cela il aurait été aspiré par la pieuvre qui emporta le colonel François Xavier Katali, Oxance Ikonga  ,NICOLAS  M’VOUNZE,le professeur  en droit  MAVOUNIA sans oublier ceux qui agonisaient silencieux chez eux, en attendant le verdict fatal. Est ce de la bravoure ou autre chose a vous d’en juger?

N’oublions  pas après que le peuple congolais aient  adhéré aux conclusions de la conference nationale souveraine ,d’où sont  sortis  un premier ministre au pouvoir exceptionnel en la personne d’André Milogo et un president de parlement transitoire en la personne de mrg kombo , il signera le premier acte de rébellion contre les institution de la république ,sous l’ère de la démocratisation parce que refusant un aménagement du haut commandement militaire auquel il tenait tant comme son joujou, ce qui entrainera son coup d’état du 20 janvier 1992 marquant ainsi la fébrilisation du processus de démocratisation, dont les effets se font sentir encore aujourd’hui, après avoir vite oublié son serment de dévotion à l’état et au peuple.

Cet homme comme vous pouvez le constater est  un général  és opportunisme, un profito-situationniste. pour votre gouverne n’ayant pas accepter son remplacement  légitime par le president nouvellement élu en la personne du  president pascal lissouba, il se mit en position de victime, parceque ne pouvant se remettre en cause comme tout bon général qui s’imaginait finir à la tête de l’état  comme ces ainés prédécesseur du triumvirat.

Prétextant être pourchasser par le nouveau régime alors qu’on venait de trouver une très importante quantité de cocaïne dans son domicile de Diata quantité qu’on ne peu trouver que chez un gros bonnet et pour mieux se couvrir il s’exila en France et créa un parti politique sans conviction avec l’aide ses amis en sigle MRC mouvement pour la reconstruction du Congo. parti qui disparaitra dans la nature sans acte juridique après le coup d’etat de 1997 qu’il a soutenu pour finalement rejoindre à partir de  2005 son maître de tout les temps en qualité de conseiller pour la paix et la sécurité en Afrique , cette posture lui ouvrir des nouveaux horizons sur le plan international, toujours sous le contrôle de son maître, jusqu’à son poste de représentant spécial pour l union Africaine, d’où il lancera sa candidature aux élections biaisées après une démission furtive de ses deux mandats de conseiller et de représentant spécial.

D’où vient alors, cette appellation de général du peuple , lui qui n’a consulté aucune base populaire, pour présenter sa candidature après une fausse promesse de sauveur lors du referendum illégal de 2015 pour le changement de la constitution ,qui a coûté la vie a beaucoup des congolais qui ont eu fois en sa parole relayer sur les ondes de RFI .

Ou est passé la mémoire du peuple congolais ?

Okombi : De l’enfant terrible à l’ enfant banni ?

Ce natif de lékana dans les plateaux batékés arrivé à l’adolescence à Brazzaville dans le quartier de Moungali secteur st esprit, a fait ses études au lycée technique d’où il sortira avec un baccalauréat industriel en 1980. à cette période ou les jeunes s’illustraient dans surprise partie appelée Boum , ce dernier passa inaperçu dans la mémoire collective des brazzavillois, après un premier séjour d’études a Kinshasa qui tourna mal, pour étudier l’informatique le voici qui s’envola  l’année d’après  pour URSS , notamment en république d’Ukraine dans la ville de Donetsk pour étudier l’électrotechnique c’est pendant ce séjour qu’il se révéla en politique en tant que premier secrétaire de l’UJSC dans cette localité, après un bref séjour au Congo ou il fut intégré en 1986 dans la fonction publique en qualité d’informaticien au ministère du plan.

Sans avoir exprimer ses talents , il lui est conseiller de repartir en Ukraine  pour poursuivre des étude doctoral dans son domaine de prédilection. Ce voyage sera en réalité une mission politique de contrôle de l’intelligentsia congolaise en préparation de cette localité sur recommandation de lékoundzou , qui parla de lui aux chefs de l’état de l’époque comme un élément fiable, c’est de là qu’il fut adopté comme un fils spirituel par celui-ci, jusqu’à son retour au Congo dans les années 1990 où il participa à la conférence nationale dans le cadre associative.

C’est à partir de là qu’il commença  ses activités subversives, ce pendant tout le mandat du régime  du président Lissouba, jusque là, il n’est pas connu du public ,parceque n’ayant jamais été un jeune premier ,ni un dandy dans la ville de Brazzaville  ,dans ses années de jeunesse.

Quand éclata  l’hécatombe qui détruira, la ville de Brazzaville , l’homme se révéla au grand public et connaître une ascension tout azimut, au point de n’obéir à personne sauf au chef lui même faisant de lui un intouchable voire même un demi -Dieu, dans tous les ministères où il passa , il ne laissait que de la désolation pour marquer sa toute puissance, d’où l’appellation d’enfant térrible , au point ou il a cru devenir calife à la place du calife, contestant même le fils biologique du chef de l’état, lui aussi successeur putatif de son père.

Il ne faut pas oublier que cet homme, s’illustra par des fait macabres avec son écurie du front 400, dont les preuves abondent sur les réseaux sociaux. Comme tous les autres avant lui ayant connu l’apogée de la gloire il tomba dans le même piège du revers de la médaille.

Tout va débuté à l’issue des élections législatives de 2012 où, il sera évincé du gouvernement , pour ne garder que son strapontin de parlement comme député. Se prenant pour un homme surnaturel, il ne manqua  pas de s’illustrer lors de la passation de service avec son successeur au gouvernement, en se faisant accompagné par une foule d’obligés entasser dans une dizaine de bus cette démonstration de force déclenchera, la guerre de tranchée entre lui et son maître, en activant  un mouvement politique appelé CADDMJ. matrice de son nouveau combat  pour sa survie.

Puis vint le temps de son exil volontaire en France où , il a été dans l’incapacité d’être en symbiose avec la diaspora jusqu’à sa sortie publique à la veille de son retour fatal au Congo, comme un illuminé il cru son heure arrivée avec la contestation relative au referendum illégale constitutionnel de 2015, au point d’enfumer le peuple après avoir reçu des assurances de l’impérialisme yankee comme celui par lequel la solution doit passer.

Il rata le coach de ses engagements en se dérobant lors du meeting d’octobre 2015 au boulevard des armées et là commença le début son calvaire , qui l’emmènera  dans sa captivité sans statut judicaire jusqu’à ce jour. l’enfant chéri est devenu l’enfant banni.

Peuple qu’à tu fais de ta mémoire pour porter ton espoir sur ce type d’homme?

Quand autres usurpateurs d’espérance  point n’est besoin de s’éterniser sur la quintessence de leurs actions d’autant plus ce n’est qu’une meute d’éternelle suiveur prêt à manger à toutes les sauces au gré des humeurs et des alliances qu’on ne saurait qualifier.

Armand Mandziono ,  Mwana Nzo, le NzoÎste.