Victime au plan théorique des extrémistes de la diaspora congolaise politique dans toute sa globalité, qui transforme , en une méthode critique et un regard prophétique sur la concertation politique au Congo.
En un statut quo à l’avantage du chef de l‘Etat Denis SASSOU – NGUESSO , au regard des conclusions des précédents dialogues( Brazzaville 2009, ,Ewo2012, Sibiti 2014) qui n’ont jamais connu l’éffectivité de leurs applications.
A travers une avalanche de textes marginalisant les partisans d’un dialogue inclusif, qui explorent les mécanismes à l’œuvre dans un système clos, clanique et réducteur (le régime de Brazzaville.)
Après avoir compris , les limites et les impensés d’une diaspora disparate hostile au rassemblement dont le doyen M’BIKI DE NANITELAMIO est le chantre , les partisans d’un dialogue inclusif ouvrent la voie un nouvel avenir à la diaspora politique, cette diaspora qui n’a aucun droit de vote dans les élections majeures , de fait privé de sa citoyenneté, parce que ne pouvant faire le choix de sa destinée .
Cette situation bien que inconfortable sur le plan de la légitimité, de celui qui a la charge de L’ Etat fait de lui de fait le représentant et le responsables des engagements du Congo ,aussi bien à l’intérieur qu’a l’extérieur du pays , tout en sachant que cela durera tout le temps que nous resterons cramponner sur nos positions, aucun changement ne sera possible :
Le chien aboie la caravane passe .
D’ailleurs ,nous pouvons tous observer que, depuis l’adoption de cette contestée et contestable nouvelle république en 2015 , force est de constater , que nous sommes quasiment à mi-mandat présidentielle et à cette à allure, il est à craindre que nos vociférations, nos incantations interminables nous conduisent à l’échéance 2021 sans que rien ne se produise à notre faveur consolidant ou multipliant ainsi les malheurs de notre peuples .
Ces esprits retrogragrades, réfractaires, extrémistes de la diaspora se déploient et plongent éternellement tout le monde dans un abîme politique, non pour en tirer des solutions miracles, mais faire preuve d’une forme de solidarité dans la bêtise pour le maintien du statut quo.
Il est inadmissible, inconcevable de continuer à accepter les attaques sur cette problématique , au point de faire passer les autres pour des Traîtres, camouflant en réalité leur incapacité d’accepter un debat public sur le sujet du moment : La concertation politique , qui leur fait monter l’adrénaline jusqu’à en devenir hystérique , cette attitude n est pas digne des gens qui vivent au 21e siècles, pour un combat d’un Congo qui veut gagné.
Le devoir d’une diaspora c’est de rétablir , le dialogue inexistant entre les gouvernants et le souverain premier.
Dans chaque population il ya des générations qui s’entreposent ou se succèdent , comment alors les stratégies des unes peuvent empêcher et bloquer l’épanouissement des autres, sous le prétexte que les prédécesseurs ont tout essayé, au point de priver les générations futures de toutes initiatives dans ce sens .
A entendre la plupart d’entre -eux , il est n’est point question de négocier avec le diable jusqu’à son depart ou sa mort, au point de se demander , si ce sont des humains avec une durée de vie relativement moyenne , ou ce sont des dinosaures qui peuvent vivre des siècles et des siècles.
Cette attitude fait resurgir une forme d’égoïsme générationnelle ou encore un nombrilisme, qui cache en réalité une incapacité à reconnaître les limites et les échecs stratégiques d’une génération, au risque d’entraîner tous ceux plus jeunes qui sont avec eux ,dans leur suicide collectif .
Nous en appelons, à la lucidité, au recul ,à l’humilité , afin que le Congo puisse trouver sa voie pour le bien de tous
ARMAND MANDZIONO,Mwana Nzo , le Nzoïste
Le statut quo nous conduira nul part. Pour qu’un combat soit gagné, nous devons savoir où nous allons, avec qui nous allons et quelles sont les armes que nous disposons pour gagner. Ça n’a jamais été le cas de cette diaspora politique dont le leitmotiv est le départ de Sassou sans pourtant définir clairement comment ?
Même au temps de guerre, il y’a des périodes de trêve propices à des négociations pour une sortie de crise. Le dialogue ressemble à un cessez le feu pour ouvrir une page de négociation qui permettra à notre pays de retrouver sa splendeur d’antan.