De l’opposition extérieure à l’opposition interne les sempiternelles comédies d’exigence au départ de la dictature ne font que cacher une réelle insuffisance et incapacité d’assumer les hautes charges de l’Etat avec responsabilité
Il est de plus en plus clair que, le dictateur et sa compagnie, constituée des hommes et des femmes des quatre horizons du Congo toutes générations confondues, est arrivé à la fin de sa mission et de son parcours avec ses réussites et ses ratés.
Diantre ! Mais qui sommes-nous et que voulons –nous réellement ?
Dans chaque société l’homme naît, apprend, applique, transmet et va se reposer, mais au CONGO l’ordre de lecture des choses n’est pas aussi évidente.
Sinon, comment expliquer qu’ au moment où le Congo est internationalement déclaré en faillite avec la signature d’un ’Accord de Facilité de Crédit Elargie , signé le 11 juillet 2019 à Washington (USA) pour laquelle la diaspora a beaucoup contribué , qu’il y ait encore des personnes qui plutôt que de se présenter comme recours en apportant leurs contributions , continuent de s’arcbouter en opposant des préalables sur des sujets qui s’élimineraient automatiquement avec les recommandations issues du dialogue tant attendu et incontournable pour la relève du CONGO.
Mais que constatons-nous aujourd’hui ?
La situation du Congo ressemblerait à une fatalité au point de se demander si finalement le dictateur ne serait pas la personne idoine pour faire marcher ce pays. Il sied de rappeler que dans les écritures saintes il nous est dit…, malheur à celui qui glorifie le mal…,le CONGO subirait alors une espèce de malédictions dont les germes se trouveraient dans notre propre pensée, qui , elle-même est alimentée par la confusion, le mensonge , le traitrise, la calomnie, la délation , le manque d’humilité, la cupidité, l’avidité, l’insouciance…
Il est temps de se faire violence et de se situer conséquemment dans le contexte politique actuel qui, exige que chacun se détermine en fonction de ses convictions et de ses capacités, pour apporter plus de clarté au combat politique dont le seul vainqueur est le CONGO.
In fine ,il serait souhaitable que chacun soit à sa place dans la limite de l’énergie à apporter dans le renouveau du C ONGO .
ARMAND MANDZIONO,LE NZOÏSTE