« On a beau dissimuler les excréments au fond de l’eau, ils remontent toujours à la surface »
Les Scribouilleurs médiatiques et tous les autres larbins de la « Sassouland » sont de marbre devant cette guéguerre éhontée qui oppose le Colonel de la Milice Populaire Michel NGAKALA et le Vénérable « Scène Acteur » Pierre NGOLO. Il ne s’agit là que du reflet de l’agitation de leur Maître ; pour une fois ils n’arrivent plus à déposer leurs fientes sur les têtes des opposants : leur gloire a mauvaise mine.
« Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux »
Devons-nous être résignés face à ce qui n’est après tout qu’une bagarre des nains dans « l’Oyopétroland », le pays où règne « l’oyoconnerisme ».
ALLONS SEULEMENT !
Les monstres finissent toujours par s’auto-détruire. Les nôtres ont le goût de la marginalisation, la boulimie financière, l’exhibition de la fortune mal acquise, gestion clanique et incestueuse des affaires de l’état qui engendre les frustrés et les mécontents sera, à n’en point douter le plus sûr allié du peuple Congolais meurtri.
Un seul homme peut déclencher une guerre. Cependant, il faut être deux pour faire la paix. Présentement, nous assistons au déclenchement d’une guerre par les frères siamois, donc 1+1 = 1 et nous ne savons pas encore d’où viendront les deux personnes qui feront la paix.
« L’inhumation souhaitée de DSN » : les héritiers ont une langue et le propriétaire a des oreilles !
Quand deux héritiers se battent pour une succession pendant que le « propriétaire « ne dort pas encore », cela signifie qu’ils souhaitent sa disparition. NGOLLO et NGAKALA ont été guéris de la maladie du culte du chef et se battent pour le positionnement, sauf que nous assistons à une extrême infantilisation dans leur façon de faire. Ils savent ce que c’est perdre le pouvoir et vivre sans.
Denis SASSOU NGUESSO a été une fois mordu par le serpent appelé CNS (Conférence Nationale Souveraine) et aujourd’hui il a peur même d’une chenille qu’il a lui-même élevée. Nous ne cherchons pas surtout à autopsier son état d’esprit mais, nous imaginons qu’il dort très mal (comme il l’a d’ailleurs avoué) et reconnait la gâterie architecturale humaine construite sur ses ordres : chacun croit devenir fort au point de ne plus souhaiter l’obéir.
Ce qui m’interloque c’est le manque de réaction de Dengues face à ce qui se passe.
Serait-il conscient de l’Apocalypse qui se profile à l’horizon ?
Nous ne devrions pas nous modeler sur le sage mais sur l’enfant.
Quand un enfant ressent de la rage, il ressent de la rage simplement, puis il passe à autre chose, c’est une attitude plus saine que celle tenue par les véritables poissons d’eau trouble que sont NGOLLO et NGAKALA.
« Un sac vide ne peut se tenir debout »
Caïde de MPAKASSA le Nzoïste