Un mensonge répété ne finira jamais par devenir une vérité car la vérité c’est comme l’huile dans l’eau (osmose) , le Général MOKOKO était-il le vainqueur des élections présidentielles de Mars 2016 ?
Cherchons la verité et la vérité nous délivrera.
Qui cherche trouve et qui trouve assume, au jour d’aujourd’hui nous attendons toujours les résultats de la CTE pour découvrir l’identité du vrai gagnant en dehors du président Sassou nguesso qui soit disant aurait gagné avec 8% devant un prétendant KOLELAS traumatisé et un troisième larron usurpateur le Général malchanceux.
On est obligé par manque de clarté et de transparence des uns et autres ,d’affirmer haut et fort devant le peuple souverain que le president de UDH YOUKI ,était bel et bien en tête, au sortir du premier tour de cette course aux pouvoir, dont il était contraint de prendre acte, au lieu de revendiquer sa victoire devant deux généraux en ébullition et prêt à en découdre, malgré le pacte bicéphale de tous les prétendants à la magistrature suprême( MOKOKO OKOMBI SALISSA MOUNARI KOLELAS ) qui stipulait de soutenir le candidat qui arriverait au deuxieme tour sans condition et de l’autre côté, le bloc structurant de la conservation du pouvoir au nord , géré par les deux puissances des deux rives de l’ Alima chantre de l’OBUMITRI ambiante.
D’où le grand silence de mort du professeur ZACHARIE BOWAO et le rétropédalage éclair du president GUY PARFAIT KOLELAS ,le hissant à la place du traître du peuple victorieux du Congo Brazzaville.
A la suite de tous ces cafouillages, maintenant nous demandons avec insistance auprès, de la commission technique électorale et de son président ZACHARIES BOWAO, Raphael BOBUTU la mise à disposition des procès-verbaux concernés en leur possession pour un devoir de mémoire , même ci le vin a été tiré, il est impérieux de revenir sur la réalité de ces chiffres, si ils ne sont pas élucidés constituerait toujours une source de conflit même, après le depart du régime .
On ne peut combattre le mensonge en instituant un autre mensonge, c’est en cela qu’on interpelle la conscience profonde et intérieure des membres composant cette CTE ,et plus particulièrement aux deux membres fondamentaux qui sont le professeur Zacharie Bowao et l’éminent statisticien Clément MIERESSA .
Le balayage d’ un revers de la main de ce contentieux larvé alimente les prémices d’une crise politique qui marquerai le départ d’un nouveau régime en remplacement de celui de sassou nguesso, lorsque celui-ci aura disparu .
D’ autant plus que avec l’annonce probable de la libération du General du peuple qui est passé de candidat élu pour le deuxieme tour à président élu, par une frange de politicien véreux en mal d’existence et à la recherche d’un nouveau dictateur , des voix commencent à s’élever ça et là s’imaginant prompt à remplacer le tyran actuel en phase de déclin irréversible.
Le risque qu’entourerait notre société , qui a nécessairement besoin de poursuivre son processus de démocratisation, c’est de se retrouver en proie ou en otage, par une recomposition d’esprits qui ont en commun la culture de la destruction, du mépris des lois et du non-respect de la dignité humaine.
D’ailleurs une chose continue à intriguer l’opinion ,qui est celle de l’identité politique de la personne du president du ( CTE )ZACHARIE BOWAO , qui après avoir conditionné son existence au sein du PCT par la décision ou pas de changer la constitution par le chef de l’Etat, qui malgré le cours des choses n’a jamais intégré un parti politique ou créer un parti politique au point de se demander si réellement il avait quitté le Titanic PCT , in fine il n’est pas encore trop tard pour que ce dernier, clarifie sa décision auprès de ce peuple à qui il doit beaucoup de comptes, pour avoir participé à beaucoup de flou pendant sa gestion du pouvoir, au risque d’être emporté comme l’eau et le bébé, lors de la chute imminente du tyran .
le peuple congolais n’est pas dupe car éveiller il vous garde à l’œil pour les prochaines échéances politiques
A bon entendeur salut !
ARMAND MANDZIONO LE NZOÏSTE
Il est temps que ce triste passé soit clairement élucidé pour les générations futures. L’histoire a tendance à bégayer si on ne prends pas garde. Bowao à beaucoup a livré aux Congolais depuis l’affaire du 4 mars jusqu’à l’élection de mars 2016.