QUAND LE GENERAL TSIBA Florent ASSASSINE LE PRESIDENT Alphonse MASSAMBA – DEBAT POUR LA DEUXIEME FOIS.

« Il n’y a qu’au Congo où par manque de chien ,le chasseur met  des grelots au chat pour le remplacer »
Monsieur TSIBA  mon Général , ! votre mensonge donne des fleurs mais pas de fruits. Comme par hasard et par coup de chance, c’est vous de qui le peuple attend les éléments d’éclaircissement sur les assassinats perpétrés depuis le 18 mars 1977, simplement parce que vous étiez le directeur de Cabinet du puissant ministre de la défense et de la sécurité , à savoir,  Denis SASSOU – NGUESSO , pour ne pas le citer , qui détenez la lettre du président MASSAMBA-DEBAT assassiné devant  yeux,  adressée au Président Marien NGOUABI.

Qui peut oublier que le brillant orateur, amuseur et diplômé de la distraction des masses né TSIBA Florent ,nous donne ici ses beaux récits d’évasion, de la culpabilité de leur extrême barbarie sur la personne u Président MASSAMBA-DEBAT en nous présentant une lettre écrite en TEKE de Lékana avec une date imaginaire. Nous attendons la suite que le président Marien NGOUABI avait donnée à cette lettre.

De toutes les façons, vous êtes dans une prison de conscience dont  vous n’allez jamais vous échapper.
Monsieur le revenu Directeur de Cabinet de monsieur SASSOU NGUESSO, périodiquement dans le flot incessant des informations qui nous parviennent, vous avez réellement à nous dire ; c’est vrai, en l’espace de plusieurs années avec la disparition de vos complices vous avez creusé un impressionnant tunnel pour vous évader.

Non monsieur, arrêtez de cracher sur la dignité d’un fils du Congo qui est resté très grand même après sa disparition. De la terreur rouge de 1977 vous donnez après 42 ans la place à la terreur blanche, vous vous attribuez tous les qualificatifs louangeurs , vous pouvez arriver à Boko , les populations seront soumises à vous applaudir,  mais ayez toujours à l’esprit que personne ne vous aime , du fait que vous soyez celui que vous êtes, qui avait fait ce que vous aviez fait.

L’on se souvient encore, vous au CMP,  alors nommé commissaire ou je ne sais quel machin de poste crée pour diriger la région de la Bouenza, vous étiez venu à Madingou et  comme moyen de déplacement   ,  vous aviez  trouvez  utile de vous accaparez la voiture  de Monsieur Tanpis , qui ne devait rien dire à cela,  en plus de se  retrouver  entre les mains  de  la police, comme  pour prouver votre autorité  sans oublier  les intimidations y relatives . Au regard de ceci de vous rien ne nous étonne : « quand on suit quelqu’un de bon, on apprend à devenir bon ;quand on suit un tigre, on apprend à mordre ».

On peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant . Voyez-vous monsieur , ce spectacle qui n’est autre qu’une provocation est une  moquerie trop  pour tout un peuple en général , qui de génération à génération reconnait la grandeur du Président Massamba-Débat . Vous souffrez de la maladie du culte de votre Dieu Sassou , qui finalement vous met dans une bulle d’infantilisation.

Vous êtes au royaume de ceux qui ont le talent du mensonge facile, mais le peuple congolais prend acte et sait qu’à chaque régime son apocalypse.
Vous financez vos complices , qui créent des églises pour faire comme si le Congo aspirait à l’Angélisme,  alors qu’il est devenu plus satanique qu’il l’a été.

A ce jour , les choses s’agitent autour de vous, elles échappent à votre contrôle et ne dépendent plus de vous ; alors la peur commence à vous envahir.

Vous avez des comptes à rendre même à votre Lékana natal ; vous n’êtes pas grand en ce moment et même après votre disparition,  votre  nom n’en sera jamais.

Rappelez -vous  votre parcours avec ce monsieur, votre mentor , celui-là même qui vous a intégré dans l’armée , en vous envoyant à Cuba en 1971 , pour service rendu , en tant que étudiant infiltré et agitateur des masses , en contribuant à apporter de l’eau au moulin de la révolution , lorsque vous participiez à la grève générale des étudiants et scolaires , qui ébranlèrent Brazzaville et Pointe-Noire.

Mouvement à l’issu duquel beaucoup , d’entre -vous furent repérés et exfiltrés pour servir de pépinière au commandant Denis-SASSOU NGUESSO  d’alors, en sa qualité de Commissaire politique Générale  à  l’armée, afin de servir de rampe de lancement pour sa prise de pouvoir qui débutera en 1977 pour se terminer en 1979.

Malgré votre soutien aveugle à son égard, et votre contribution à sa fortification mystique et physique comme féticheur et Karatéka, vous n’avez pas été épargné vous aussi par le sort  réservé à beaucoup d’autres compagnons de route, lorsque vous fûtes piégé par les agents des services secrets, qui vous découvrit nu  comme un vers terre allongé à même le sol, encerclé de bougies dans un rituel , dont seul vous même connaissiez le  secret . Ceci se terminera d’ailleurs par votre mis à l »écart entre 1986 à 1989, trois années durant lesquelles vous aviez appris et intégré , que monsieur SASSOU restera à jamais votre maître et vous son esclave.

Merci d’avoir mis votre cœur et votre corps dans le choix de la barbarie contre une partie du peuple.

Dites monsieur Florent Tsiba, quand vous avez été nommé directeur de cabinet du président Commandant  Sassou Dénis en 1975 , auriez-vous imaginé revenir 42  ans après au même poste en 2017 ?

Voyez-vous une boucle doit être bouclée en avez vous conscience ?

Vous savez mon général, « les assassins reviennent toujours sur l’endroit de leurs crimes ».
1979- 2019, réfléchissez-y !

CAÏDE DE MPAKASSA,SILURE DE MER, NZOÏSTES

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