IL est temps qu’on se le dise, car la comédie à trop durée dans la pseudo -sphère politique de la Diaspora.
En effet, tous ces Congolais qui constituent cette fameuse Diaspora politique peuvent-ils avoir le courage de décliner leur véritable corpus, pour qu’on les connaisse mieux ou davantage ?
D’où viennent-ils ?
Qu’est-ce qu’ils sont venus faire en France ?
Que font-ils en France pour qu’aujourd’hui ils deviennent des durs à cuire politique ?
En répondant à ces questions, l’on comprendra mieux ce qui les anime , et tout le monde sera édifier sur les discours ambivalent qu’ils tiennent .
C’est ce sur quoi le NZOÏSME s’appesantira dans la suite de cet article.
Pour une première fois depuis le retour à la dictature du 5 juin 1997, toutes les démarches initiées à la demande de l’opposition ou unilatéralement par le pouvoir intègrent, la reconnaissance de la Diaspora comme une ressource nécessaire et indispensable à la réhabilitation de notre cher et beau pays le Congo.
L’actualité aujourd’hui c’est la tenue d’une concertation politique sous l’égide du CONSEIL NATIONAL DU DIALOGUE, organe certes institutionnel mais qui souffre encore de la contestation de toute part, même de ceux qui l’on enfanté, c’est – à-dire la majorité présidentielle avec comme chef de file le PCT, ce qui prouve à suffisance que la classe politique congolaise peut être d’accord sur un désaccord quand elle le souhaite.
La Diaspora congolaise dans sa diversité et celle de France en particulier qui a joué un rôle fondamental dans le blocage de la machine destructive du régime actuel par la mise en évidence de façon publique et pédagogique du fonctionnement de ce système ravageur qui n’a épargné aucune génération et aucune catégorie sociale, curieusement se distingue de manière infantile et irresponsable lorsque ce grand malade le CONGO l’appelle à son chevet en évoquant, toutes les raisons du monde et tous les subterfuges possibles, pour être aux abonnés absent à ce rendez-vous qui devient de plus en plus plausible.
Hier encore ce qui était une rumeur ou une mauvaise blague se matérialise part la série des discussions initiées par le CONSEIL NATIONAL DU DIALOGUE avec les structures politiques locales reconnues au point d’annoncer officiellement sa venue prochaine et imminente en terre Parisienne capitale de la contestation irréductible et sans limite , pour recueillir l’opinion de ces congolais de cette partie extraterritoriale qui a toujours été méconnue et négligée , dans l’élaboration et la prise des grandes décisions nationales mais qui malheureusement , leur incombent malgré eux.
Cette démarche du régime qui peut être interpréter comme un aveu de reconnaissance et de faiblesse, envers la Diaspora du fait de la pertinence de la formulation de sa contestation .devrait être accueillie positivement et sans aucuns préjugés, car c’est le moment idéal pour les membres de cette diaspora d’apporter leur contribution réelle à cette nécessité réparatrice.
Au regard de tout ce qui vient d’être relaté, quelle appréciation peut-on faire de ces compatriotes apparemment volontaristes et qui se distinguent toujours par une soif insatiable de concevoir indéfiniment des solutions à la fois impossible, irréalisable, chimérique, fictionnesque…, comme des éternels enfants rêveurs qui croient habiter dans le monde merveilleux que leur propose le Père Noël qui par, ailleurs serait la pire des ordures…
Nous ne nous priverons pas d’en citer quelques-uns pour ne pas faire preuve d’hypocrisie, et mieux identifier les dictateurs de cette Diaspora , qui empêchent les esprits libres et novateurs de se mouvoir mais qui entrainent derriere eux certains esprits fragiles et limités comme un troupeau en guise de monnaie d’échanges spéculative pour leur imaginaire légitimité (1).
Comme dirait un adage, science sans conscience n’est que ruine de l’âme, on pourrait dire une idéologie sans expérimentions relèverait d’une masturbation intellectuelle.
(1)Benjamin TOUNGAMANI ; Alexis MIAYOUKOU, Freddy MINGWA-BIANGO ; Maurille LOUZALA ; Alexis de PASSY ; Calixte BANIAFOUNA ; Nicodème NGANGA ; Antoine Page KIHOULOU, Maître Amédée NGANGA ; Charles MADEDE ; Levy Roland NITOU ; Elie MOUTSOMPA ; John Bénith DZABA; Djess de MOUGOUASSI ;
Gertrude MALALOU-KOUMBA ; Robert POATY- PANGOU ; Marcel MAKOME ; OUBARARI Joseph ; Ciceron MASSAMBA ; Francis NTSILA (Anaïs Polo la Rwandaise) ; Bienvenu MABILEMONO; Patrick ALOUNA ; Jean Claude BERRI ; Marc –MAPINGOU- MITOUMBI ; Faye Monama ; Donald de MANGOUMBI ; La MAMA AFRICA Grâce LOEMBA ; Sanellie et Zoia TAMBA -TAMBA, Kovalin TCHINBINDA ; Justin BALONGA ; Adrien OUABALOUKOU ; Alphonsine MIKUIZA, Christian BIANGO …
Armand MANDZIONO ,le NZOÏSTE.