FACE A L’AUTISME DES OPPOSITIONS JJS YHOMBY – OPANGO SERAIT-IL L’UNIFICATEUR DES OPPOSITIONS CONGOLAISES ?


La profondeur et la quintessence des propositions du président du RDD , demeurent jusqu’à ce jour des propositions farfelues aux yeux des deux factions de l’opposition : opposition constitutionnelle et opposition radicale.

Grande est la stupéfaction de l’observateur avisé des échéances présidentielles au Congo, lorsqu’on sait que tout à été essayé pour battre l’infatigable tricheur , mais rien ne marche sous le soleil jusqu’à présent, pour mettre hors-jeu l’homme qui dicte sa volonté au DIEU tout puissant.

Il est à relever que les deux oppositions constitutionnelle et radicale persistent dans leur turpitude caractérisée par leur égo surdimensionné, creuset de fraude électorale qui permet le maintien au pouvoir de Denis SASSOU NGUESSO sans aucune contestation.

L’attitude de ces deux oppositions ne semble pas favorable a l’appel d’une table ronde pour une autocritique, qui permettra de trouver l’alternative principale de l’opposition directement liée au changement radical auquel aspire depuis des années le peuple congolais.

En posant, clairement le problème de l’union de l’opposition et l’organisation d’une table ronde, autour de toutes propositions confondues de ses pairs de l’opposition Jean Jacques Serge Yhombi OPANGO prend la posture de l’unificateur qui a tant manqué à l’opposition congolaise, pour incontestablement la victoire des échéances présidentielles de 2021.

Il est temps que les opposants se ressaisissent, car aucun d’entre eux ne pourra gagner ces échéances sans l’apport des autres .
C’est sans doute que la valeur d’un jugement dépend plus de la science que du nombre de juges.

Aujourd’hui donc, nous devons chercher d’abord s’il est quelqu’un au sein de l’opposition , qui soit compétent pour porter le flambeau du peuple, car l’enjeu de l’opposition et du régime au pouvoir est très important pour la survie des oubliés.

L’autocritique de l’opposition ne porte pas sur le combat en armes , mais , sur l’utilité d’une victoire pour le bien- être du peuple congolais.
Quand on délibère sur un remède pour les yeux et qu’on se demande, s’ils ont besoins d’un onguent ou non, est-ce sur le remède ou sur les yeux que porte la délibération ?
A vous de répondre.
De même, quand on se demande s’il faut mettre un fer à un cheval et à quel moment, n’est-ce pas le cheval, et non le frein, qui est l’objet de la recherche ?
A vous de repondre.
Ainsi, d’une manière générale, quand on discute en vue d’une fin, c’est la fin qui est l’objet de la discussion, et non le moyen, subordonné à cette fin.
Armand MANDZIONO, Le NZOÏSTE

 

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