ROBERT POATY PANGOU PRIS LA MAIN DANS LE SAC.


On ne peut pas reprocher au soleil d’éclairer la nuit.

(Proverbe GEORGIEN).
De Blaise Pascal, nous avons appris , que dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux, à ceux qui la disent parce qu’ils se font haïr .
C’est une maladie naturelle à l’homme de croire qu’il possédé la verité , et enfin la vérité est si obscurcie en ces temps ,et le mensonge si établi qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaitre.
On peut voir trois principaux objets dans l’étude de la vérité : l’un, de la découvrir, quand on la cherche, de la démontrer, quand on la possède, le dernier, de la discerner d’avec le faux quand on l’examine.
C’est ce que nous allons faire suite aux propos malveillants tenus par le père du concept nauséabond de la scission du Congo qui relevé plus du pathos que du logos.
« « Mes Amis
, Nsimu, ni mayela. Jean Jacques Yhombi. C’est bien le fils d’un Premier Ministre qui demanda au Président Pascal LISSOUBA l’Ordre de faire rentrer les Chars dans Bacongo et Makelekele ? Alors il y aurait-il une différence entre Denis Christel SASSOU NGUESSO et Jean Jacques YHOMBI ?
Mais ayons un peu de mémoire !
PROPOS DE ROBERT POATY PANGOU. » »

Oui monsieur, Robert POATY PANGOU votre adage est bien pertinent mais cela n’empêche pas de revisiter les faits et notre mémoire pour replacer les choses dans leurs contexte, afin d’édifier le public et d’établir les responsabilités respectives.
Il vrai que cela paraît très facile d’imputer à un fils les actes de son père, parce qu’il en a reçu un héritage, mais en matière de politique la loi est claire et indique , que chaque personne qui pose un acte doit en repondre individuellement.
Le Général YHOMBY –OPANGO a occupé des fonctions politiques dont il portera à jamais les responsabilités, mais cela ne devrait pas pour autant, enchaîner toute sa progéniture au point de la condamner par avance, surtout si elle n’a pas encore assumé une quelconque charge politique officielle.

L’éruption au-devant de la scène politico-médiatique de JJS YHOMBY-OPANGO , fusse-t-il fils de son père ne devait pas irriter notre conscience, alors que la teneur des idées qu’il véhicule est d’une pertinence évidente.

Sans lui donner un blanc-seing , il serait convenable d’accorder à sa démarche un bénéfice du doute, sans quoi la vie au Congo ne serait qu’un espace d’incantations chimériques propice à un désenchantement irrémédiable, il est vrai que le climat politique actuel au Congo , justifie ce genre d’inquiétudes, mais cela ne devait pas pour autant servir d’alibi à toutes formes de vindications et de négations
Oui monsieur, Robert POATY PANGOU on veut bien comprendre tes réticences, mais seulement pourriez-vous éclairer l’opinion sur vos réels capacités à conduire le Congo vers cette destination (scission ) ,qui finalement ne semble être qu’ une hérésie ,alors que toute l’énergie que vous y avez consacré , pourrait être inversement bénéfique à la reconstruction d’une utopie positive .
Cela fait au moins une décennie que ça dure et tout ce temps est suffisant pour se rendre compte de l’impasse dans laquelle vous vous engouffrez.
allant de l’avant !
Pout votre gouverne , les attaques des quartiers BACONGO ET MAKELEKELE en 92- 93,  qui sont condamnables en tout point, ont longtemps souffert d’un manque d’éclairage ,sur ses véritables auteurs , occasionnant du coup des spéculations de tout ordre jusqu’à l’aveuglement des esprits.
Ces faits , qui ont certes, étaient commis sous la responsabilité du gouvernement YHOMBY –OPANGO , et qui en a directement porter le chapeau , ont été rattrapé par le temps,  qui a fini par nous indiquer , que celles-ci ont été l’œuvre de la garde présidentielle de l’époque , dont le commandement était assuré par le Colonel Ferdinand MBAOU ,  qui avait agi sans l’autorisation expresse de sa hiérarchie et contrairement aux us et coutumes.
les archives existent et le debat est ouvert.

Armand MANDZIONO,LE NZOÏSTE.

 

Partager :