LIBERATION MOKOKO OKOMBI CASUS BELLI OU PHOBIE DES MEMBRES DE L’IDC


Trop tirer rompt la corde dit le français et voilà nous y sommes. A L’IDC , à force de cultiver les réflexes de suspicion en lieu et place de la tolérance , la corde tant à se casser pendant que les opportunistes de la diaspora restent dans la débande,  par manque d’informations sur le contenu du dossier de ses deux prisonniers personnels les plus célèbres de SASSOU NGUESSO , dont l’un deux en la personne du General MOKOKO a été consacré figure emblématique et tutélaire du combat mené par les assises nationales du Congo.
Ma Grand- Mère me disait : tu dois comprendre que l’opportunisme, la médiocrité c’est pour les gens malheureux et puis quoi encore…

Maintenant , Il serait recommandable à tous ceux qui se considèrent comme des véritables opposants au Congo et dans la diaspora , pour en découdre avec le Sassounat de définir les critères d’opposants types  pour vaincre le tyran, car les sempiternelles suspicions des uns envers les autres dans ce genre d’entreprise ne peuvent présager que des résultats médiocres qui renforceraient le régime en place autrement la pérennisation du SASSOUÏSME .

Personne ne doit ignorer qu’un combat se gagne aussi avec des traîtres dans les rangs me disait un sage  Korbo  Matsouaniste .

Mais quelle est  alors, l’origine du grand malaise au sein de  L’IDC ?
Entre la proposition du president par intérim René Serge Blanchard OBA , qui propose d’ouvrir des négociations avec le pouvoir en vue d’obtenir la libération du Général MOKOKO et OKOMBI SALISSA , et le statu quo entretenu par ces compères de la CAAD,  préférant de scander les slogans de tous genres aux effets improbables, il ya là un  fossé qui conduit à la discorde.

.Que constatons-nous ?

La démarche de Serge Blanchard OBA qui prône la raison , la réflexion et la paix est rejetée par les va –t- en guerre du CAAD sous le prétexte de ses  liens de parentés avec le President Denis SASSOU-NGUESSO , alors que pour lui ces aspects auraient pu favoriser un climat d’écoute plus réceptif dans le but d’ infléchir  le verdict .

Ces détracteurs qui douteraient de sa sincérité du fait de sa pondérations n’ont pas attendu de le qualifier d’infiltré , jusqu’à imaginer son exclusion  lors de la cession inaugurale du conseil national dont il est pourtant l’initiateur,  pour en confier la coordination à Michel MAMPOUYA un autre ancien ministre de Sassou-Nguesso , et homme de confiance qui fut un proche du défunt President Bernard Kolela , dont il assumera l’intérim du parti, le MCDDI pendant son exil , sans que celui-ci lui en donna l’aval et d’ailleurs , en guise de réponse lui demanda à travers les ondes d’Africa numero 1 de créer son parti plutôt que de faire main basse sur le MCDDI. La suite est connu.

Suite à cette à ces turpitudes René Blanchard OBA fustige la prise en otage de la plateforme IDC, par les membres de la CAAD du Ministre OKOMBI SALISSA son fondateur , malgré cela il ne se laisse pas faire, il reste droit dans ses bottes , ne trébuche pas, et promet un grand déballage sur la situation , ce lundi 16 MARS dans le journal le patriote un quotidien politique de Brazzaville.

Au regard de tout ceci, on ne peut ignorer l’impact dans cet imbroglio  du comité de veille de J3M  l’aile dure des Katangais animé par Isaac Djoumali, SENGHAT…   qui par ailleurs porte une grande responsabilité au même titre que la ( CTE )commission technique électorale (ZACHARIE BOWAO, Clément MIERASSA) dans le cafouillis de l’interprétation de la situation politique qui prévaut actuellement au Congo.

En politique le mensonge est la vérité,  Rêne Blanchard OBA aura –t- il le courage de casser la baraque ce lundi 16 dans le quotidien le patriote ?

Armand MANDZIONO LE NZOÏSTE.

 

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