QUELLE EST LA CO-RESPONSABILITE DES DESCENDANTS ENVERS LEURS ASCENDANTS, DES CONJOINTES ENVERS LEURS CONJOINTS ET VICE – VERSA DANS LA GESTION D’UN SYSTEME POLITIQUE ?

« « L’homme à un instinct sadique, et la femme un instinct masochiste, lesquels sont inconscients, donc incontrôlables Sigmund Freud » »
Pour tomber on se débrouille seul mais pour se relever la main d’un ami est nécessaire me disait un vieux sage Korobo MATSOUANISTE.

Le principe « œil pour œil » concerne l’amour du prochain. Jésus l’a amendé en mettant l’accent sur le pardon. Notez Son explication : « Vous avez appris qu’il a été dit : œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant.

Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre » (Matthieu 5 :38-39).

Jésus montre ici qu’un chrétien doit être prêt à supporter l’injustice. Mais la loi reste la base pour définir ce qui est bien et ce qui est mal. L’apôtre Paul a dit aux Corinthiens qu’il était préférable de souffrir de quelque injustice, ou de se laisser dépouiller, plutôt que de poursuivre un frère en Christ devant les tribunaux (1 Corinthiens 6 :1-8).

Paul a également enseigné que nous devrons être soumis à l’autorité d’un gouvernement, même lorsqu’elle est injuste (Romains 13 :1-7) – pour autant qu’elle ne nous fasse pas transgresser la loi divine. En souffrant patiemment pour la justice, le Christ a laissé aux chrétiens un exemple à suivre (1 Pierre 2 :19-21).

La vérité, c’est que le joug de l’esclavage est sur ceux qui commettent le péché (Jean 8 :34) – pas sur ceux qui gardent les commandements de Dieu.

Les lois divines sont saintes, justes et bonnes (Romains 7 :12).

Le Christ est venu pour amender la loi, qui est l’amour envers le prochain (Romains 13 :10). Pierre a déclaré en ce sens : « Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d’amour fraternel, de compassion, d’humilité. Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction »

(1 Pierre 3 :8-9). La loi de Dieu est toujours basée sur la justice, mais les chrétiens doivent l’appliquer avec compassion. Ceux qui fréquentent les Églises deviennent confus. Des milliers d’entre eux abandonnent leurs croyances. Plusieurs sondages et les récentes études montrent que l’Église – dans son ensemble – ne fournit pas les réponses aux questions essentielles de la vie.

On n’enseigne pas aux gens la vérité à propos du but de la vie, de ce qui arrive après la mort, même si quelques illuminés , érudits ou élus ont la connaissances de certaines vérités qu’ils conservent par égoïsme et si Dieu agit à dessein en laissant se déclarer des guerres comme au Congo jéremie1,14 des événements catastrophiques et des bouleversements nationaux, qui ont lieu de par le monde .

Et que dit finalement le droit congolais aux sujet de la Co -responsabilité des proches d’un système criminel comme celui de Sassou-Nguesso, quelle est leur mise en jeu de la responsabilité, culpabilité, participation par juxtaposition ?
Sont-ils complices des infractions, de leurs parents , conjoints ou conjointes qui commettent des faits incriminés, même quand ils sont couverts et protégés par la loi pénale qui stipule que la responsabilité est individuelle et non collective ?

Il y a –t-il une relation de cause à effet par ricochet entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur situation familiale, de leur appartenance ou leur non appartenance à une ethnie, religion ?

Pourquoi les descendants, les conjoints et les conjointes subissent intentionnellement la violence de la société ?

Actuellement Le droit congolais est un droit appliqué depuis l’accession à l’indépendance du Congo le 15 août 1960.
Ce droit s’est construit depuis plusieurs années non seulement en conservant une partie du droit français alors en vigueur à la date de l’indépendance, mais aussi par un effort constant de construction originale d’un droit congolais, notamment en matière de droit foncier. Il convient cependant de souligner l’apport particulier du droit OHADA ainsi que du droit communautaire issu de la CEMAC, ces deux derniers étant d’applicabilité directe en droit interne congolais.
En conclusion, quel Congo voulons-nous demain lorsque le vent du changement aura balayé SASOU-NGUESSO et son système qui plonge le Congo dans les ténèbres ,si nos regards restent figés sur les proches de ceux ou celles qui ont détruit le Congo ?

Armand MANDZIONO LE NZOÏSTE.

 

Partager :