Le problème des soins médicaux au Congo est un sujet qui semble être actuellement une préoccupation factuelle de Denis SASSOU –NGUESSO , avec l’apparition du C o vi d 19 .
Au grand dam des cœurs tant blessés et brisés au Congo , qui ne peuvent être convaincus de ce qui parait être une bonne volonté politique et une nouvelle posture du president metteur en scène du martyr congolais , garant d’une une insécurité permanente qui a fini par l’élever au rang de pyromane de tous les soubresauts politico-militaires, qui ont émaillé l’histoire politique du Congo , depuis le crapuleux et odieux assassinat du camarade Marien NGOUABI.
Cet homme est toujours resté dans la théorie du chaos « après moi, le déluge … »
S’agissant de la santé publique qui pose de gros soucis actuellement au régime sanguinaire de Brazzaville, celui-ci n’est – il pas devant un fait accompli illustré dans un texte de la cigale et la fourmi de Jean de LA FONTAINE ?
Des mauvaises politiques de santé publique qu’il à appliqué pendant plus de 4O années durant , qui n’ont jamais intégré , le monde rural car, quand on entend parler tous les acteurs qui s’impliquent dans la gestion de cette pandémie , le volet de l’arrière -pays n’est évoqué par personnes, comme-ci les populations exposées ne sont que celles qui se trouvent dans des grandes agglomérations du Congo.
Certes Le coronavirus tue, mais le peuple doit savoir qu’il ya longtemps , très longtemps que ce monstre et ses affidés ont introduit le coronavirus au Congo, en tribalisant tout l’appareil étatique .
Alors , que les larmes de crocodile de SASSOU-NGUESSO ne trompent personne .
Tous les congolais morts sous le coup des tortures , des sévices physiques, par manque de soins de première nécessité appropriés sont aussi des morts du coronavirus.
Le peuple doit se prendre en main et ne doit point se leurrer par ce bonimenteur professionnel qui n’a jamais respecté sa parole.
Armand MANDZIONO LE NZOÏSTE .