ET SI VITAL KAMERHE ETAIT KIKI NGUESSO OU J.J. BOUYA ?

 

 

 

C’est une histoire qui se passe à 30 mn de Brazzaville plus précisément à Kinshasa et ne semble pas intéresser la presse Brazzavilloise ni les congolais.

Pour faire entendre raison à cela, il est tout à fait normal qu’ à l’heure ou la préoccupation première du peuple est de se mettre à l’abri de l’attaque du COVID 19. Avec tous les bouleversements qu’il engendre .

Cette affaire  commence avec un détournement de
15 000000$ et un cadeau en bijoux de 5000000$ offert de manière ostentatoire par Vital KAMERHE à SA femme AMIDA , ce geste n’était pas passer inaperçu dans la presse de la RDC qui avait tiré la sonnette pour que ce présent ne soit pas mis sous le boisseau afin qu’une enquête de justice soit diligenter pour clarifier cette histoire de gros sous .
Le NZOÏSME essai de s’y intéresser parce que la justice n’a pas de tribu d’ethnie ni de nationalité face aux inégalités contrairement au pays de SASSOU-NGUESSO où cette dernière est aux ordres.

Quand bien même les scandales sur la mauvaise gestion du pays sont légions et droit de cité à OYO.

En réalité de quoi s’agit-il ?

Il est question d’un détournement de fond public d’un programme d’infrastructure routière initier par le gouvernement sortant sur lequel est venu surfer l’équipe du nouveau locataire de la cité de l’OUA à N’SELE.

Ce programme intitulé 100 jours devrait servir de baromètre à l’imprégnation du president et son équipe aux vertus de la gestion orthodoxe de la gestion publique.

Projet qu’on peut comparer aux grands travaux gérer par le Ministre Bouya ou à la municipalisation accélérée qui ont accouché d’une souris.et sans que personne ne soit inquiété
Sans chercher à exhumer les dessous du partenariat politique de UDPS UNC encore appelé CACH ni de mettre ce feuilleton judiciaire dans un registre de règlement de compte politique à l’instar des chroniques de l’opinion qui exige une compassion de la part du President Felix TSISEKEDI qui avait promis restaurer l’Etat de droit en RDC et qui respecte sa parole contrairement à SASSOU qui avait promis n’épargner aucun menu ni gros fretin dans la lutte contre la corruption.

Quand on sait qu’en matière de détournement la responsabilité est individuelle.

Il Ya de quoi se poser la question suivante qui à abuser de la confiance de l’autre , lorsqu’on sait qu’a la fin de son mandat le president FATSHI aura des comptes à rendre à son peuple.
Cette arrestation est le début du commencement de la fin de l’impunité , des antivaleurs en RDC.

L’indépendance de la justice redore le mandat du président en exercice.
Il y a un temps pour tout , la justice doit faire son travail.

Le Congo Brazzaville peu se servir de cet expérience pour pouvoir s’exhorter de la malédiction qui la poursuit depuis l’apparition sur la scène politico- administrative des cadres rouges
Armand MANNDZIONO ,NZOÏSTE

 

 

 

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