Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal , mais par ceux qui les regardent sans rien faire et le cinquième transporteur du tipoye gêne plus qu’elle n’aide disait le vieux sage Korobo MATSOUANISTE.
Sommes- nous venus sur la terre pour partager et accompagner la haine ?
La tragi- comédie que subit le peuple n’a-t-elle pas encore atteint le summum de la dimension pour combattre le règne de l’ infime minorité des idiots qui assujettissent ce dernier?
La fracture sociale n’ est – elle pas assez béante pour continuer à caresser le mal dans le sens du poil ?
les signes suffisamment ostentatoires d’une opulence ne suffisent- ils pas aussi , pour inciter un combat farouche contre cette oligarchie M’bochi et aboutir à une dialectique, dès lors qu’elle est incapable de lier la parole à la pratique?
Tenir de tel propos n’est pas machiavélique, ce n’est que rappeler à la victime, qu’elle n’a pas droit de pardonner son bourreau pour son devenir.
Dans le cas du Congo qui demeure encore un pays moyenâgeux en plein 21émes siècles , le plus grand nombre de défavorisés se trouve dans la populace, alors quelle est cette façon d’accepter la servitude volontairement , de voir des congolais accompagner via les réseaux sociaux l’insoutenable ignominie des indésirables qui leurs accordent une vie et demie condamnant les uns et les autres à mourir à l’étranger.
Le paradoxe congolais est que , même ceux qui ont eu la chance d’échapper aux affres de cette chefferies Mbochi, qui peuvent s’organiser via ces réseaux sociaux interpellent les regards des psychanalystes sur leur syndrome de Stockholm.
Quitte à faire retournez Stephan Hessel dans sa tombe , indignez –vous !
Bande des mintourias .
MAN-NDZIOMANO-NZOÏSTE.