Les vidéos du president MATHIAS DZON avec la diaspora , archivées sur YouTube sont des légendes, qui permettront d’aider certain d’entre- nous de comprendre nos propos .car les hommes passent mais les archives restent.
Ce clin d’œil a MATHIAS DZON , l’homme qui a donné à la diaspora congolaise ses lettres de noblesses en politique est une vérité qui blesse, mais cela n’est pas la faute de la vérité.
Cet homme vilipendé aujourd’hui est le seul politique , qui à eu des rapports étroits avec ses compatriotes de la place de Paris via le CODICORD à l’époque ou le régime de SASSOU NGUESSO, respectait et avait peur de la diaspora congolaise, avant qu’elle ne sombre dans le Poto – Poto actuel qui annihile haut combien le remarquable travail de MATHIAS DZON, pour sortir la diaspora de l’ornière et la mettre en lumière, ceci n’est pas un rétropédalage de l’histoire concrète vécue, par les congolais à cette époque , car le risque de disparation des congolais de l’étranger de la blogosphère politique devient criard.
Nier cette évidence incontestable relève de la pire démagogie idéologique des tortues à double carapace.
Pourquoi les congolais sont-ils des adeptes de la culture de l’éternel recommencement, du quitte là que je mis mette , je ferai mieux que toi , alors qu’ in fine , ils s’embourbent dans un labyrinthe d’imbroglio politique , et ne feront pas mieux que leurs prédécesseurs?
A titre d’illustration l’arrivée de MARIEN NGOUABI, pour le réajustement de la Révolution le 31 juillet 1968 est le prélude , qui nous édifie sur tous les maux dont souffrent le Congo aujourd’hui , comment comprendre que le Roi MAKOKO, ANDRE GRENARD MATSOUA et ses acolytes, bien pire MABIALA MA NGANGA , BOUETA BONGO, MA NGOUNGA et les autres qu’on ne sauraient citer , soient mis dans les tiroirs de l’histoire, ne soient pas reconnus comme étant des grands personnages qui ont fait l’histoire du Congo .
En politique, certes la politesse cède sa place à l’impolitesse , ne pas attendre qu’ on te fasse une place au soleil qui ne viendra jamais, mais cela empêche -t- il aux uns et aux autres de reconnaître les bienfaits , la véritable histoire politique de ces prédécesseurs , même si la politique est le creuset de l’ingratitude absolue, les cas de Jacques Opango et de l’Abbé Fulbert YOULOU premier President de la République du Congo sont très éloquents disait le vieux Korobo MATSOUANISTE .
Parfois notre lumière s’ éteint, puis elle est rallumée par un autre humain. Chacun de nous doit de sincères remerciements à ceux qui ont ravivé leur flamme (Albert Schwietzer),
En effet la lumière de la diaspora fut rallumée par MATHIAS DZON,
Y’a-t- il quelqu’un qui peut le contredire ?
Mais que s’est il passé depuis que le President du Collectif des Partis de l’Opposition qualifiât la diaspora comme étant éparse dans les colonnes de la revue Afrique éducation, plus personne ne parle de sa belle idylle avec cette dernière , le Codicord qui était son principal allié à pris du plomb dans l’aile , plus rien ne marche dans la diaspora , qui a fait place à la médiocrité.
En revisitant l’histoire, tout en tenant compte de ses égarements, MATHIAS DZON reste le seul homme politique congolais ,qui avait de la considération envers celle-ci ,la rencontrait 2ou3 fois par an avant de se raviser.
En revanche lors des élections présidentielle de Mars 2016 ,la diaspora congolaise soutiendra Parfait KOLELA , le général Mokoko, OKOMBI SALISSA, des candidats qui ont un vrai mépris , et qui n’ont jamais entretenu des liens avec la diaspora, est-ce parce que celle-ci était devenue orpheline?
Au regard de l’incivisme et du changement de comportement notoire actuel de cette dernière , l’observateur avisé ne peut que se posé la question suivante : MATHIAS DZON ne s’est –t- il pas rendu compte de l’immaturité politique avérée de la diaspora congolaise, pour ne plus l’ insuffler des idées novatrices ?
Rendons à césar ce qui est à césar ainsi va la vie.
MÂ-DZION’OMÂ