La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information (Albert Einstein).
Le jour à des yeux, la nuit des oreilles disait le vieux Korobo MATSOUANISTE.
La lutte politique extraterritoriale est devenue une bataille des illuminés sans projets et substances concrètes, la mutation des refugiés économiques en réfugiés politiques offre un tableau noir d’un combat virtuel, qui n’est autre qu’un défouloir de ces acteurs sur les réseaux sociaux , le constat est que , ça fait déjà 23 ans , que ça tourne en rond et que l’ombre a été transformée en lumière d’un idéal sans convictions, oubliant que notre société pardonne les criminels et non les rêveurs.
Tout est illisible, préjugé sans perspective, ni avenir aucune approche collective , pas d’agenda.
L e frein dans ce combat c’est le manque de debat constructif , tout est focalisé sur l’invective et le superflu , sur SASSOU-NGUESSO 8% dégage point barre(seul un gaz peu dégager dans l’atmosphère), aucune remise en question sur le pourquoi de la lutte qui n’avance pas?
pourquoi elle est quasiment inefficace, malgré cet état de lieu aucun effort ne se fait, pour élaborer des stratégies salvatrices , innovatrice afin d’ aboutir à la conception d’un plan d’unité qui rendra la lutte efficiente?
Certes tous congolais à le droit de décrier la mauvaise gestion des pouvoirs publics , qui par ricochet devient une épine même à ceux , qui ont choisi bon gré mal gré de vivre hors du Congo, c’est pour cela qu’un choix s’impose dans cacophonie , entre les consciences aliénées et non aliénées, entre les réfugiés économiques qui ont déjà trouvé leurs comptes à l’étranger , les refugiés qui se disent politiques et les activistes qui n’ont aucun grief particulier avec le régime de SASSOU- NGUESSO , sinon s’indigner de la démocrature ambiante qui sévit au Congo et qui fait la honte de ses derniers dans leurs pays d’adoption , il est temps de lever cette ambiguïté , pour permettre aux oiseaux d’un même plus plumage de voler ensemble .
En faisant se distinguo , on pourra espérer sortir de la grotte de Mabiala ma Nganga sans se faire carboniser par le négre de service, le contraire n’est que peine perdue et masturbation intellectuelle.
L’observateur avisé ne peut ne pas être insensible à la déconfiture des consciences pour le Congo de demain comme l’avait été le President Massamba-Débat.
MÂ -NDZION’OMÂ NZOÏSTE.