LES ACCORDS DE PAIX AU POOL : LE GRAND BLUFF DU GOUVERNEMENT.

Le début de la décennie 2000 a été marqué par la signature des accords de paix et de cessations des hostilités dans le département du pool, la remilitarisation de cette contrée est contraire au retour à la vie normale des paisible concitoyens
Lorsque l’homme s’habitue à voir les autres porter des chaînes de l’esclave, c’est qu’il accepte lui-même un jour de les porter tout comme on peut tromper une partie du peuple ,tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps (Abraham Lincol-1809-1865)
Les accords de paix entre le révérend NTUMI et le gouvernement, est un véritable jeu de dupe , une partie de poker menteur ou les acteurs tirent leur profit au détriment des masses paysannes qui en payent  le lourd tribu .

Aucune des deux parties belligérante n’a jamais penser à solliciter officiellement l’implication d’un tiers dans ce conflit comme arbitrage à savoir :l’opposition, les confessions religieuses, la société civile ou la communauté internationale , tout se passe comme si c’était une malice du pompier pyromane, qui s’arrange à pérenniser le statut quo sur fond d’un revers des accords de paix dont découlent la guerre, l’humiliation et le déshonneur des populations.

Suite à cela le vieux sage Korobo disait toujours le diable est reconnu par ses griffes, la peau du léopard ne peut se débarrasser de ses taches.

Le modus operandi étant aujourd’hui connu de tous, il est impérieux que toutes les forces vives de la nation s’impliquent dans le règlement de cette machination politique .

Tous les élus du peuple doivent interpeller le gouvernement , le conseil national de sécurité, pour que cette situation devenue récurrente ne soit pas le prétexte fallacieux des irrégularités, de la fraude des élections présidentielles de 2021 ou d’un report de celle-ci .

Les positions de toutes les institutions de la république doivent être connues et claires la- dessus pour stopper la guerre qui pointe à l’horizon.

MÂ-NDZION-OMÂ.

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