Au regard de leurs attitudes xénophobes dans leurs pays respectifs, méprisantes de la déclaration et le programme d’action de vienne admis par l’assemblée générale des nations unies en 1993, , qui stipule à son Art 15 » le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales sans distinction aucune est une règle élémentaire du droit international en la matière .Eliminer rapidement et intégralement toutes les formes de racisme et de discrimination raciale, ainsi que de xénophobie, et de l’intolérance dont elles s’accompagnent, est pour la communauté internationale une tâche prioritaire. Les gouvernements devraient prendre des mesures efficaces pour les empêcher et les combattre. Les groupes, les institutions, organisations intergouvernementales et non gouvernementales et les particuliers sont instamment priés de redoubler d’efforts pour lutter contre ces fléaux en coopérant et coordonnant les activités qu’ils déploient à cette fin »
Il relève que , les gouvernements (Afrique du Sud , Congo/B) ne prennent aucunes mesures efficaces pour prévenir et combattrent ces maux .
A titre illustratif, l’Afrique du sud s’est illustrée dans la xénophobie pendant les années 2010 ,contre les immigrés venus de Mozambique, Somalie, qui avait atteint un paroxysme , donnant lieu à des violences , le Roi Goodwill Zwelithini KaBhekuzulu demandait alors, notamment aux étrangers de faires leurs bagages , récemment sous la mandature de Cyril Ramaphosa cela s’est encore répété.
Pour le Congo ,le cas de l’endogroupe kongo-laris du pool , qui subi sempiternellement des massacres couverts sous le sceau des machinations politiques est assez édifiant et clair comme l’eau de source , pour ne pas s’ y appesantir, sans oublier l’opération Mbata ya ba Kolo.
Alors , qui de ces deux bossus peut se permettre de donner des leçon à Donald Trump ?
MA-NDZION-OMÂ, NZOÏSTE.