QUI VEUT TUER LIBERTE OGNAMY ?

Réponse à alias « fils de MBondzo de la Likouala » (T. MBe..)

La sagesse aurait voulu que je réponde par le silence à cette lettre anonyme. Elle ne l’est plus, car j’ai reconnu l’auteur de ce torchon, par les références aux échanges que nous avions eu, lui et moi sur le sujet  » Boukadia », il y a quelques jours.
Le silence est d’or certes, mais il devient lâcheté ou complicité, si l’on reste sans réaction, devant les ramassis d’ordures, que l’on jette sur vos pieds.

D’entrée de jeu, je signale qu’il n’est pas honnête, voire débile, d’utiliser un pseudonyme à relent tribal lorsque l’on veut attaquer un adversaire que l’on qualifie de tribaliste. »le fils Mbondzo de la Likouala ». Kié kié kié !!?

MDR.
Il y a aussi cette série de mensonges débités sur mon compte,et auxquels il m’est très facile de répondre.
Je n’ai pas de parti ( d’où sort cette affirmation ? J’ai appartenu à des partis politiques, exemple le PARI, ou l’UPADS. Mais aujourd’hui je suis libre, et pense être porteur d’un courant de pensées, que j’ai intitulé  » Mouvement du Juste Combat ».  Celui que l’on mène pour l’intérêt général.
Les preuves des miettes que je suis sensé recevoir de Sassou?
Je les attends avec d’autant plus de sérénité, qu’aujourd’hui avec les fakenews,et autres distorsions de l’information, n’importe quel quidam, si ce n’était la justice, peut vous apporter les preuves aptes à vous faire couper la tête !
Faites donc, tous les montages, et autres falsifications,  mon histoire, et ma conscience, vont tous les démonter.  Je n’ai jamais voulu céder à la quête de l’argent facile, soutenu par mes convictions. Ce n’est pas faute d’avoir été tenté, notamment dans les épisodes de la chloroquine, ou des propositions pour faire les campagnes de promotion du PCT.

Mon fameux « fils de Mbondzo de la Likouala, » indique aussi sur ses lancées mensongères que je serai un infiltré !!?? Diantre, mais je suis un Congolais, libre, de fréquenter qui je veux, où je veux, n’importe quel compatriote sans tenir compte de ses origines régionales.

     Suis je un infiltré dans ma famille ?mon ménage?
Auprès de mes amis  d’enfance ?politiques ?
Mes fréquentations professionnelles ?
Plus de précisions. Car ils sont de toutes origines, Nord, Est, Sud, Ouest du Congo et d’ailleurs.. Il s’agit vraiment là d’une insinuations péjorative et ringarde, à l’heure de la mondialisation. Elle traduit l’âge intellectuel et culturel de ceux qui l’utilise.

Venons en à mes parents qui seraient à de hauts postes « sans  niveau Scolaire ».

A qui fait on allusion ?
S’agirait il de Mr Rodolphe Adada? Il est de notoriété publique que l’ambassadeur de la République du Congo en France est bien de Boundji, comme mon père ,ce qui sous entend une parenté !Mais son niveau scolaire est il contestable ? Agrégé en mathématiques ? Par contre vos nombreuses fréquentations dans ses bureaux démontrent vos diverses affinités selon les dires du « fils Mbondzo de la Likouala » et de « Mitsotso »!
Sur le thème familial, je vous remercie de la parenté que vous m’attribuez avec Sassou et Nianga Mbouala,  mais vous êtes seul responsable de vos élucubrations.
Ironie ou pas  cette filiation douteuse, me permet cependant d’affirmer que les liens familiaux sont différents des liens politiques.
Mon histoire a démontré que je suis avant tout Congolais et que je me suis toujours battu pour l’intérêt général. Et je n’ai pas hésité à marquer une différence avec les mauvais gestionnaires, ou politiciens, fussent ils de ma famille. ( Références cas Afrimédia en 1990.)

Je trouve curieux ce transfert que vous me faites de ce que je vous reproche. Je ne suis pas sécessionniste, j’ai toujours dénoncé Ntoumi comme étant le complice et le bras armé de Sassou. J’ai protesté contre la falsification de l’histoire faite par les partisans de la sécession du Congo au motif que Jacques Opangault avait refusé l’indépendance du Congo en  1958, là où il s’agissait du refus d’une indépendance tronquée.

Il est vrai que je m’insurge contre les éditoriaux, et autre écrits, qui vilipendent les Mbochis en général, mais également toute autre tribu, sur les crimes commis par Sassou. Je rappelle simplement qu’il y a une différence entre la responsabilité collective et la responsabilité individuelle.
Il est également paradoxal de retrouver dans les fausses homélies de paix, des allusions, des accusations, du chantage, des rappels sur des vengeances eventuelles  aux tribus fautives.  Dérives que ne s’étaient jamais permis le patriarche Bernard Kolélas.

La politique je ne la fais pas par commodité,  ni par sentiment, ni par intérêt tribal, ni par  engagement mystique ou philosophique,  ni dévouement familial, mais pour l’intérêt général.

Ceci revient à dire que aucune manœuvre ne pourra m’intimider, ni m’arrêter. Je continuerai mon combat coûte que coûte. Si chez le « fils Mbondzo de la Likouala et ses amis du PCT, la liberté côtoie la mort,  chez moi à côté de la liberté , il y a la vie.

Pour reprendre l’engagement  du révolutionnaire Emiliano Zapata :  « il vaut mieux mourir debout que de vivre une vie à genoux. »

Toutes mes pensées à l’universaliste Georges Mpassy, le Che Africain. Le métis de peau, de cœur et de combat.

Wilfrid Prosper Liberté Ognamy Président du mouvement – Le Juste Combat –

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