The harder they come, the harder they fall one and all. (Mister MATSON KOROBO M’PISSA KONGO )
Nés tous avant la honte, il y a quelques années cette race de rapaces n’existait pas, mais la guerre du leadership des activistes politiques qui battaient le pavé sur la place de Paris a fait de telle sorte que ces charognards sortent de leurs écuries et intègrent le combat politique, chacun se rappellera de la noble idée d’un rassemblement élargie des congolais de l’étranger, prôné par le défunt visionnaire Mbiki de NANITELAMIO (paix à son âme) via le truchement d’un congrès de la diaspora torpillée par les congolais de Paris qui se reconnaîtront dans cette histoire.
Ce refus de soutenir cette vision d’organiser la diaspora , afin de rendre incontestablement le combat politique patriotique, efficace et d’en faire un sacerdoce , sera même le creuset de la création d’une panoplie des associations engagées ethno-tribales de cette dernière ouvrant largement la porte aux paysans endimanchés.
Cet acte que l’on qualifierai d’insouciance et de criminel de la part des activistes politiques de la place de Paris a fini par tuer, aujourd’hui la diaspora politique qui est devenu un conglomérat d’escrocs et d’arrivistes ,sans conviction aucune et sans scrupule très affamés prêt à vendre leurs âmes au diable.
La politique est maintenant le moyen idéal de racketter les rançonneurs claniques de l’état congolais, qui paupérisent et vouent le peuple au clientélisme et font subir la diaspora.
il est inutile de procéder à une radioscopie de cette diaspora car, il n y a qu’a jeter un œil au spectacle désolant que celle-ci offre dans les vidéos et les déclarations intempestives postées dans les réseaux sociaux , en s’auto proclamant opposant ou résistant voire combattant ,utilisant le même modus- operandi que les gangsters aux cols blancs qui font main basse sur les richesses du Congo.
Au regard de toutes ces aberrations , de cette inconscience, la mobilisation ou le rebondissement de la diaspora devient chimérique et problématique, vu la cacophonie à l’origine d’un ras le bol ambiant qui semble être irrémédiable , présage encore des beaux jours au paysage politique actuel au Congo .
De deux choses l’une , à défaut d’une décrispation politique dans la diaspora , un sauve qui peut sera inévitable.
Le problème Congolais ne relève pas quasiment de la politique, mais plutôt de l’anthropologie, car comment peut on comprendre que les activistes politiques de la diaspora soient les alter égos des voleurs, pilleurs, anti- sociaux locaux ?
Que les sociologues , psychologues, philosophes, psychanalystes, fassent leur job.
Sauvons-nous, nous-mêmes .
YA LUBU NWETA NWETA NZOÏSTE PANTOIS.