Nelson Mandela modèle politique souvent cité par les africains en général et par les congolais en particulier, en son temps s’était tenu à un seul mandat malgré les pressions diverses.
Comment expliquer que ceux qui dénoncent , critiquent , interpellent Denis SASSOU NGUESSO , s’inquiètent de voir les règles constitutionnelles constamment violées dans le pays; comme l’a dénoncé dernièrement Clément Mierassa , en portant plainte auprès de la cour constitutionnelle sur la violation des règles démocratiques, soient eux- même des grands démagogues.
A titre illustratif, nous ferons référence à ce fait très flagrant qui n’a jamais attiré l’attention de la majorité des cadres politiques congolais ,où dans une interview accordé dans les colonnes du journal le nouveau Regard parut sous le N° 248 le 08 septembre 2020, Clément MIERASSA relève ce qui suit :
« Selon la Constitution du 25 octobre 2015, le Président de la République ne peut pas être Président du Parti Congolais du Travail.
… L’élection du Président de la République à la Présidence du Comité Central du PCT en violation de la Constitution .
J’ai constaté que :
- la Cour constitutionnelle s’est déclarée incompétente pour statuer sur ce dossier ;
- celle-ci a tenu à notifier sa décision entr’ autres au président de la République, au président du Sénat, au président de l’Assemblée nationale, au Premier ministre, chef du gouvernement, aux ministres chargés de l’Intérieur et de la Décentralisation et de la Justice ;
- toutes ces personnalités sont bien informées de cette situation grave et préoccupante.
Des voix s’élèvent ici et là pour chercher la polémique en déclarant que je suis de mauvaise foi.
En ce qui me concerne, je suis serein et je n’utiliserai pas les injures. Je dis tout simplement que nous sommes dans le droit et là, on n’utilise pas la langue de bois.
Le dossier que j’ai présenté est solide. Je conseille à ceux qui en doutent de se le procurer et de le lire,
sinon de se rapprocher de la Cour constitutionnelle pour en discuter.
Je persiste et signe : par rapport aux dispositions de l’article 80 de la Constitution du Congo , qui dispose en son alinéa 2 que :
Le mandat de Président est également incompatible avec toute responsabilité au sein d’un parti politique ,
Le Président de la République ne peut pas être Président du Comité Central, en fait Président du Parti Congolais du Travail(PCT).
Il s’agit là d’un cas de flagrance de violation des lois et règlements de la République ;
Cela place bien sûr les gouvernants dans une situation inconfortable et met à nu le fait que ;
Depuis plus de dix(10) ans, il y a la violation dans l’impunité totale des lois et règlements de la République. Ce n’est d’ailleurs pas la première violation.
L’autre constat à faire est que les gouvernants doivent éviter de faire de leur volonté : la loi.
Le gouvernement doit tirer les conséquences qui s’imposent… »
Cette indignation et cette interpellation est une preuve accablante qui corrobore bien ce que le NZOÏSME décrie dans la sphère politique associative de la diaspora.
Ce n’est plus un secret de polichinelle, car toutes les structures politiques de la diaspora présentent les mêmes germes de blocage du fonctionnement équitable et objectif d’une organisation réglementée , à l’exception de l’association ORIS où siège Marcus KiSSA.
Cette exception permet de relever ce déficit notoire de culture démocratique dans cette catégorie du paysage politique congolais , qui n’augure pas des lendemains enchanteurs, pour cette restauration des valeurs républicaines qui font défaut à notre nation en construction,
Sans donner de bons ou de mauvais points, il sied toutes fois de révéler publiquement ces groupements , afin de les inciter à une remise en cause pour un meilleur épanouissement
On peut citer sans trop se tromper :
Codicord(Raphaël GOMA,) Congo ya Sika(Eugéne Fernand Loubélo) PLC plus CNLC cumul de mandats( Ambassadeur Marcel MAKOME),CNT(Godefroy KARANDA)MUR(Noël MABIALA) les vrais faux jumeaux MRLC(Francis MOUKETO, Colonel LONGUY) Kimpwaza (President déserteur SIYAYOS)CAP(VICTOR TAMBA-TAMBA) Comité de veille J3M (Isaac DJOUMALI) ,IDC-Frocad France (Ministre Joseph Ouabari , parti sans transmettre le témoin) Indigné 242(Levy Roland NITOU) Apic (president Christophe volatilisé dans la nature après avoir fait des sorties fracassantes) MPC (direction en vacance… ) RPC (Nkounkou Malanda Baudry) CRC( Colonel MOUSSOUNDA initiateur du soulèvement populaire tant attendu…)Cercle de la rupture( Maître Brice Nzamba disparu des écrans radars) MRC(Modeste BOUKADIA)
PPCI (Bejamin TOUNGAMANI) N’TSIMOU ni MAYELA – Devoir de MEMOIRE (Samba dia KOUMBI) , UMOJA (Dr EBOUNDIT) Comité d’action plus DABANNYL cumul de mandats (Gertrude MALALOU KOUMBA), MASSENGO TIASSE (FDTRH).
Après avoir passé en revue le symbolisme des associations , qui prétendent animées le corpus politique de la diaspora, nous pouvons nous demander pourquoi autant d’acteurs majeurs ,pour un si petit espace, alors que les objectifs poursuivis sont quasiment identiques a savoir la restauration et la promotion des valeurs d’éthique ?
YA LUBU NWETA NWETA L’ACCUSATEUR.