LE SU D IS M E ,  UN PIEGE POUR LA REHABILITATION DE LA REPUBLIQUE.

 

N’imitez rien ni personne, un lion qui copie un lion devient  un singe.(MÂ SON KOROBO)

D’entrée de jeu,  nous informons nos très  chers  compatriotes que le NZOÏSME est un organe de presse de  réflexions et non d’invectives, qui  n’  écrit pas  de poèmes, libre donc  à ceux  qui se sentent   cibler de recourir aux voies judiciaires  .

Depuis , la prise de pouvoir au Congo  par les militaires , qui ont crée un nouveau  type d’homme congolais à  qui ils ont inculqué  la peur, le mimétisme,  le  clientélisme ,la mythomanie ,  la démagogie ,pour mieux l’assujettir ,  faisant de lui le véritable  produit     d’  un Capitalisme d’Etat,  modèle politique  maquillé  par des slogan d’ idéologie Marxiste – Léniniste à l’époque , devenu social-démocratie  aujourd’hui , on ne sait par quel tour de prestidigitation   .

La république est arrivée au point où il faudrait  absolument  la réhabiliter , car  ce nouveau congolais à des repères qui ne cadrent plus avec la norme et l’éthique ,   d’autant plus   que la diaspora qui devrait être un modèle d’  exemplarité excelle , dans des comportements qui laissent  interrogateurs  , malgré sa chance  inouïe de  cohabiter avec d’autres cultures.

Oui , nous disons culture sans chercher à faire recours aux travaux  de l’anthropologue  et ethnologue Claude LEVI -STRAUSS , du philosophe  Emmanuel Levinas et du sociologue Pierre  Bourdieu,   pour ne citer que ces illustres personnages  qui ont exercé  une influence majeure à l’échelle internationale sur les sciences humaines et sociales dans la seconde moitié du XXe siècle.

Ceci dit , le problème congolais est –il politique   ou  ethno- anthropologique ?

Ce sur    quoi nous allons essayer de nous appesantir.

« Un peuple qui ne produit que des hommes endurcis n’est pas un peuple élu «  disait Armand  Brice MATA,   jeune pousse de la politique congolaise révélé lors de la C N S de 1991 parti trop tôt dans l’au-delà.

Pour renchérir   , nous disons que  les peuples Kongo du Sud qui    s’autoproclament  comme peuple élu du Congo,  ne  sont   en réalité  que des peuples frères   du peuple M’bochi du Nord , dont malheureusement  la chefferie est devenue le haut commandement militaire de l’armée sensée être républicaine dans ce Congo  que nous souhaitons tous  un et indivisible.

Diable ! Mais d’où sort encore  cette thèse du Sudisme aussi nauséabonde  que la tribalité ou la scission du Congo,   qui pollue les réseaux sociaux actuellement.et pourtant la sagesse demande de se taire quand on a rien à dire,  alors qu’on pensait tout ceci  était déjà  derriere nous,  après les deux dernières tentatives  d’isolationnisme qui ont connu un  flop .

Quels sont ces problèmes congolais qui ne peuvent pas trouver de solution depuis 1959 ?

Nous observons que depuis l’accession à la souveraineté nationale  ,le vivre ensemble  des populations congolaises  a facilité  les mariages mixtes qui ont établi les liens de parentés dans tous les coins du pays.

D’où sort,   finalement ses apôtres de l’ancien testament ?

Comment peut- on être au rendez- vous des temps modernes avec ces reflexes?

Cela peut paraître compréhensible,  car il  est  vrai que les différentes  populations congolaises  se sont souvent sentis frustrées par les politiques des régimes successifs  .

Est-ce pour autant une raison de plonger dans le fatalisme, car en politique il est toujours question de conquêtes,  de contradictions,  de réconciliations, de réhabilitations , qui ne sont que le reflet de la nature humaine face  aux enjeux de pouvoir et d’intérêts.

Chaque génération doit  inscrire son combat dans un contexte qui prenne en compte les aspects environnementaux et contextuels, aussi bien internes qu’externes.

Il ya de quoi  franchement se demander , si l’autre   là  qui nous  a traité de singe n’a pas raison , même-  ci  lui-même a été comparé à un porc par notre  sœur  ?

Pourquoi ces KONGO  de la diaspora se comportent – t-ils comme ces M’bochis qui déshonorent leur tribu et tout le pays, ne sommes    nous pas là dans un  problème qui relève de l’  anthropologie plutôt  que  de la politique ?

YA LUBU LUBU NWETA LE NZOÏSTE ANGOISSE .

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