SERVICE CONSULAIRE DU CONGO EN FRANCE COMITE D’ASSUJETTISSEMENT DE LA DIASPORA : MÊME LES CHIENS ONT DES DROITS

En guise d’introduction de nos propos  nous invitons nos lecteurs de prendre connaissance de ce préambule de la  DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’ANIMAL pour mieux comprendre l’attitude méprisante  des autorités congolaises sur l’attribution  ou renouvellement des passeports  envers leurs compatriotes qui ont fait  le choix  de vivre hors du Congo  malgré eux tout en conservant leur nationalité d’origine  pour des raisons que personne n’ignore . Afin de comprendre que SASSOU-NGUESSO et ses obligés n’  accordent aucune valeur humaine à ces derniers   .

«  » La Déclaration Universelle des Droits de l’animal a été proclamée solennellement le 15 octobre 1978 à la Maison de l’UNESCO à Paris.

Elle constitue une prise de position philosophique sur les rapports qui doivent désormais s’instaurer entre l’espèce humaine et les autres espèces animales. Cette philosophie, qui s’appuie sur les connaissances scientifiques les plus récentes, exprime l’égalité des espèces face à la Vie.

Elle propose à l’humanité les règles d’une éthique biologique. L’idée d’un égalitarisme universel n’est pas nouvelle: on la reconnaît dans des civilisations bien plus anciennes que la civilisation occidentale, et dans des religions bien différentes des religions judéo-chrétiennes.

Mais cette éthique devait être exprimée avec clarté et fermeté dans le monde actuel, déjà trop perturbé, menacé de destruction, et où violence et cruauté explosent à chaque instant. Si l’homme a pu établir peu à peu un code de droits pour sa propre espèce, il ne dispose cependant d’aucun droit particulier en regard de l’univers.

Il n’est en effet que l’une des espèces animales de la planète, et l’une des plus récemment apparues. La Vie n’appartient pas à l’espèce humaine; l’homme n’en est ni le créateur, ni le détenteur exclusif; elle appartient tout autant au poisson, à l’insecte, au mammifère, comme aux végétaux. L’homme a créé dans le monde vivant une hiérarchie arbitraire qui n’existe pas naturellement, en ne prenant en compte que son usage propre.

Cette hiérarchie anthropocentrique a conduit au spécisme, lequel consiste à adopter une attitude différente selon les espèce, à détruire les unes en protégeant les autres, à déclarer certaines “utiles” et d’autres “nuisibles” ou “féroces”, à réserver “l’intelligence” à l’homme pour n’accorder à l’animal que “l’instinct”. C’est le spécisme qui a conduit l’homme à penser que l’animal ne souffre pas comme lui-même, alors que tout ce que l’on sait actuellement démontre au contraire qu’il souffre physiquement comme nous, et que sa pensée, liée à la présence d’un système nerveux centralisé, est bien plus élaborée que les neurosciences ne le laissent encore entrevoir, ce qui l’amène à souffrir aussi psychiquement.

Ces aptitudes confèrent aux animaux des droits particuliers, par rapport aux végétaux. La Déclaration Universelle des Droits de l’Animal doit aider l’humanité à se retrouver en harmonie avec l’univers. Elle n’a pas pour but de lui faire retrouver le mode de vie des tribus primitives. Elle constitue une étape visant à amener l’homme au respect de la Vie sous toutes ses formes pour le bien de toute la communauté biologique à laquelle il appartient, et dont il dépend. Elle n’a nullement pour objet, et ne doit pas avoir pour conséquence, de faire oublier la lutte contre la misère humaine, contre la souffrance morale ou physique, contre l’égoïsme forcené, les internements politiques, les tortures.

Au contraire, il s’avère que veiller au respect des Droits de l’Animal, c’est nécessairement veiller aussi au respect des Droits de l’Homme, car les uns sont inséparables des autres. C’est donc bien une philosophie, une éthique biologique, une conduite morale que la Déclaration Universelle propose à l’humanité, en conduisant celle-ci, par une réflexion et une  . » »

Pourquoi l’obtention du  passeport continu à poser tant de problèmes , alors que son utilité est d’une importance vitale auprès des congolais de l’étranger ?

Le passeport est un document de voyage, qui permet à tout un chacun d’entrée et de sortir dans tous les pays  il peut aussi servir de pièce d’identité

Au regard de cette  définition comment pourrions-nous  qualifier l’attitude des autorités du consulat congolais  en France qui œuvre à  bloquer  à dessein    les démarches administratives des congolais de l’étranger dans leurs pays d’accueil   ?

A cette allure ,Il ne serait pas étrange que le consulat du Congo   en France se transforme en un lieu de violence malgré la présence fortement visible des gendarmes venus prêter main forte à la sécurité des fonctionnaires qui y travaillent

YA LUBU NWETA NWETA LE NZOÏSTE  LANCEUR D’ALERTE.

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