La manière d’utiliser le mot « tribalisme » donne un sentiment d’outrepasser certains droits, de sortir d’une norme, d’une règle, et en particulier ,injustice ,acte répréhensible établis par l’habitude ou la coutume, excès tenter de réprimer des abus elle est devenue presque l’ élément de langage idéologique , des médiocres . La notion de tribalisme est quasiment dévoyée par ces derniers au point d’oublier le caractère qui le définit celui des phénomènes et des réalités si différents et si disparates du type de structure sociale qui semble la justifier (tribu) ou à un phénomène spécifique plus ou moins indépendant d’une formation sociale ou historique précise.
Au regard d’un nouveau tribalisme ambiant utilisé comme modèle idéologique et politique, essayons d’aborder et de scruter la nouvelle connotation de la carte mentale de ce paradigme pour la place du M’bochi après sassou ,celui qui ne soutien ni de prés ni de loin la folie meurtrière du Mbochi au pouvoir et toute son oligarchie.
En clair quelle sera la place de ce Mbochi qui n’ à jouer aucun rôle et n’a profité d’aucun avantage de la M’bochinie.
Cette question soulevée déjà par le General Nianga-Mbouala nécessite que les penseurs de l’après sassou s’y intéressent de prés car ,nos frères mbochis avec la gestion calamiteuse , désastreuse et une cohorte de morts occasionnés par l’unique général d’armée Sassou- Nguesso porte déjà préjudice d’une exclusion tacite de tous ceux de près ou de loin qui ont participé à ses affres. Mais que deviendra l’Eternel Mbochi pécheur cultivateur, qui n’a jamais pris part aux politiques destructrices du bâtisseur infatigable ?
A l’instar des autres enfants du nord comme Jacques Opangault et bien d’autres, qui ont contribué au renforcement de l’ unité nationale , il sied de reconnaître qu’il y a un réel problème personnel SASSOU-NGUESSO concernant son intégrité morale et psychiatrique…
L’homme a beau être originaire du nord il est à l’exemple des grands fauves politiques qui ont traumatisé leur peuple à l’image de Sani ABACHA , BEDEL BOKASSA, IDIAMIN ADADA au lieu de continuer de jeter l’opprobre aux pauvres M’bochi victimes des souffrances multiples imposés par SASSOU, ce qu’il nous faut, c’est une expertise psychiatrique de ce dernier car c’est dans son psyché cognitive que se trouvent toutes les monstruosités dont nous sommes victimes sans exceptions aucunes.
L’homme n’hésitât pas à éliminer son mentor Marien Ngouabi en créant le générique Ba KONGO ba BOMI NGOUABI, il évinça sans remous le Général Yhombi son confident , et que dire du grand retournement politique ,quand il signât l’accord URD PCT Apparenté alors que, personne ne s’attendait à ce mariage contre nature voila du mental sassou notre guide éclaire. Pas de gêne, pas de remords , pas de contrainte , pas de honte… allons seulement.
D’où nous pouvons résumer la complexité de cet être en une phrase : l’intérêt guide l’homme peu importe les obstacles.
Le M’bochis ordinaire ne saurait souffrir le martyr à la place d un dictateur.
Le Congo de demain nous appelles tous quelques soit son ethnie l essentiel, étant de respecter les lois et règlement de la république pour un meilleur vivre ensemble.
YA LUBU NWETA NWETA NZOÏSTE LANCEUR D’ALERTE.