LISSOUBA UN AVENTURIER POLITIQUE : L UP A DS A LA BARRE.

 

Une nation se construit dans la vérité , a toujours dit le vieux sage Korobo Matsouaniste.

Au regard des affirmations de ASIE DOMINIQUE DE MARSEILLE au cours de cet entretient , il serait judicieux  que les membres de L’ UPADS ,  parti qui prît le President LISSOUBA en otage ,  puissent éclairer la lanterne des uns et des autres , sur les  aspects positifs et négatifs  de leur mentor sur  toute son histoire politique ,  et de façon plus marquante de  son passage à la magistrature suprême , car ne  rien lui reconnaître serait exagérer même, s’ il avait  sciée la branche sur laquelle   il était assis.

Qu’est ce que les générations futures peuvent -elles ,  retenir de son excellence le Professeur-President  Pascal Lissouba ?

Il faut  relever que l’homme était un vassal   à l’instar de Sassou-nguesso,  venu servir ses maîtres.

Pascal Lissouba  a totalement failli , élu pour defendre la constitution , sa première œuvre fut ,  de violer cette même constitution, acte  qui s’apparenterait à un coup d’état  contre la logique démocratique  qui l’avait installé au pouvoir , en créant  des milices au détriment de la Force Publique .

C’etait Barrabas en personne  ,un grand  irresponsable ,  qui  a travaillé pour le compte de ses maitres , d’ailleurs à peine arrivé , il s’est empressé d’acquérir un appartement de sept pièces dans le triangle d’or du 17ème arrondissement de Paris , pour mieux marquer son affiliation à son statut d’évolué de la colonisation .

LISSOUBA   tout imbu qu’il était de sa personne et en fidèle héritier de KIKOUNGA NGOT, à qui il cédera son strapontin à la mairie de Dol i s i e,   a fini par avoir maille à partir avec les Bembes , ceux -la même   qui se  sont  distingués aux premières  heures,   comme les fervents défenseurs de ce pouvoir, avant de  basculer vers  la grande  famille TEKE,  grande bénéficière avec  la bénédiction du Patriarche OMAR BONGO-ONDIMBA pendant que les Bembés s’attendaient à occuper la primature en guise de récompense.

Aujourd’hui ,malheureusement  il est  plus proche de la poubelle   de l’histoire que des  lauriers de la gloire,  lui qui promît au peuple de faire du Congo   une petite Suisse, là encore une usurpation d’une citation du President Fulbert  Youlou, pourtant après son depart  la nature a vite reprit le dessus en nous rappelant   sa   médiocrité  du fait de son  alliance avec le pct ,qui n’était qu’une diversion car le PCT = UPADS, UPADS=PCT .

Ce n’est pas un hasard si les deux partis  politiques  se réclament  de la social- démocratie armée et virtuelle .

En tant que  scientifique , ce n’était qu’ un braillard qui n’a laissé aucune  réalisation probante  ,  d’ailleurs il a le mérite d’avoir participé à la destruction de la seule Cité Scientifique Française  en Afrique ,  où logeait  l’Ecole supérieure des Sciences du CESB dont il prendra la direction  sous l’appellation de faculté des Sciences de l’Université de B/ville à partir du 4 décembre 1971   , institution qui fera de lui professeur en grade  à l’initiative du Commandant Marien Ngouabi,  qui deviendra par la suite son étudiant bien que n’ayant pas le niveau minimum requis,  jusqu’à lui permettre de soutenir un mémoire  de DEA , diplôme n’étant pas reconnu dans la nomenclature des niveaux de l’Université de B/ville à cette époque .

Cette faveur à aussi profité en passant à monsieur Anaclet TSOMAMBET , qui deviendra lui aussi  professeur en grade,  pour avoir servi de précepteur au Camarade -Président pour réaliser son fantasme.

Ce qui cloche en l’ espace de 30ans ,  entre19 63 -1992  Le president LISSOUBA ,qui s’est retrouvé à la tête des institutions sensibles du Congo à deux reprises ,se distinguera par la violence dans sa démarche   politique  , comme son alter égo Sassou-Nguesso, car   Il reproduira les mêmes actes avec quasiment les mêmes acteurs et pour le même flou .

S’agirait – il là d’une coïncidence ou d’une malédiction?

Il ne s’agit pas là d’une attaque systématique contre la personne ,mais il est question d’une revisitation  de notre histoire ,afin de permettre aux jeunes générations d’etre édifiées ,et  de leur permettre de s’affranchir de certaines pesanteurs pouvant obérer leurs appréciations pour de meilleures perspectives .

Partant de là, il y a de quoi se poser la question de savoir, comment sa directrice de cabinet madame Claudine  M UNARI ainsi que  son ministre de l’intérieur Martin M’BERI  ont pu passer   du coq à l’âne pour se retrouver avec Sassou  ?

Durant son mandat,  malgré  les clés de la maison Congo que le peuple lui avait confié de façon régulière   , il a eu le génie de créer un précèdent en balayant d’un revers de la  main les résultats des élections  locales et  municipales, dans lesquels il n’y trouvait pas son compte, en  créant des municipalités de plein et de moyen exercices , astuce sur  laquelle surfe depuis 1997 son alter égo Denis SASSOU-NGUESSO, pour justifier toute l’incongruité de sa gestion des affaires publiques   .

L’ U P A D S  DOIT RECONNAÎTRE SA PART DE RESPONSABILITE DANS LA DECHEANCE DU CONGO ,CAR TANT   QU’ IL NE LE FERA PAS LE CONGO N’AVANCERA POINT.

Elu pour defendre la constitution, il a préféré détourner les deniers publics pour ses caprices de prince, sinon comment pourrait-on justifier l’existence des comptes bloqués    dans des paradis fiscaux à l’instar des   150 millions de dollars déposés dans une banque allemande Bayerissche Landsbank au Luxembourg, filiale d’un groupe financier allemand) .

In fine le President LISSOUBA n’a été qu’un  fossoyeur de la concorde nationale .

YA LUBU NWETA NWETA BUTSIELEKA WA BA WUNA WE NA MESO.

 

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