Rodolphe ADADA,UN ESCROC LEGENDAIRE A LA TÊTE DE LA CHANCELLERIE DU CONGO.

 

 

A quelques mois d’un tournant de l’histoire politique du Congo, avec les Elections Présidentielles de Mars 2021 ,l’actualité  brûlante aurait été le vote des nationaux vivant à l’extérieur, d’autant plus  qu’ils contribuent à l’effort de construction nationale, avec entre autres actes, l’acquittement  des frais inhérents  à l’établissement  des actes administratifs et d’état civil auprès  des services consulaires de leur lieu de residence.

Qu’en est il réellement de leur situation  ?

Il est fondamental de rappeler à  la mémoire de plus d’un compatriote , que  non seulement les documents qui leur sont délivrés  sont sans effets juridiques, en plus de cela, les frais relatifs à leur établissement ne sont soumis à aucun contrôle dans leur processus de recouvrement de la part des autorités administratives compétentes

Comment cela a-t -il  été possible ?

En effet,  depuis l’arrivée de l’homme au nœud papillon, à la tête de l’Ambassade  du Congo en France , le commun des usagers avait cru à un changement des pratiques du fait de l’ancienneté de ce dernier dans les arcanes du pouvoir, ce qui paraissait comme un gage de crédibilité pour beaucoup, même pour les plus réticents.

Les premiers actes marquants cette révolution furent d’une part , la centralisation de toutes les signatures entre ses seules mains, qui cachait en réalité, un conflit  dont on ne connait les contours et détours, entre son excellence et le consul général, en la personne du colonel Pamphile AKOLI, ancien directeur de la PAF  à l’aéroport  Maya Maya de B/VILLE, dépêché à Paris pour faire face aux attaques répétées  de cette forteresse de la rue Paul Valéry dans le 16éme arrondissement  de Paris, venant des combattants de la diaspora à l’approche du référendum constitutionnel illégitime du 25 Octobre 2015.

D’autre part, viendra l’obligation de recourir , pour tout  paiement des actes consulaires ,à la souscription d’un moyen de paiement émis par les services de Banque Postale de France à savoir  le mandat cash.

Que cela cachait -il donc?

Il est important de rappeler aux usagers, que le mandat cash, qui est une formule de paiement  de certaines transactions, est opposé au mandat compte.

La différence entre les deux formules réside dans l’obligation  par le destinataire de détenir un compte bancaire à la  poste dans le second cas.

Or, l’obligation ne portera que sur le premier cas, c’est à dire, le mandat cash , qui permet au destinataire à partir d’une délégation de signature  par l’ambassadeur d’encaisser  le cash, donc l’argent  frais déposé par l’expéditeur,  l’usager comme dans un transfert de fonds  classique.

Ce qui signifie que les sommes payées  par les usagers des actes consulaires, auraient contribué, à l ‘insu de leur  plein gré ,à la constitution d’un trésor considérable  dont le bénéficiaire n’est autre que l’Homme au nœud papillon, dont la crédibilité de la présomption est corroborée par la lenteur du  traitement des dossiers de passeport , pour lesquels  la contrepartie financière échue n’est pas répertoriée dans les annales  comptables des services de l’immigration, quand on sait combien  chacun des responsables politico-administratifs  tient à ces recettes pour faire tourner sa bouilloire.

C’est alors que cette rupture de communication  entre la DGST  et la Chancellerie  de Paris,  a mis le  feu  au poudre  et pousser les services de la criminalité financière de cette administration de police  à enquêter  sur ce dossier.

pour dissimuler tous soupçons et preuves, ce nabab de Boundji, rentier  de la République, depuis son  entrée au gouvernement en janvier 1976  comme Délégué  Général  à la Recherche Scientifique   sous le commandant Marien NGOUABI,  pour dit-on redresser l’économie  nationale, mais qui  finalement    s’est avéré être qu’un rapace ordurier, va imaginer un stratagème retardateur, en exigeant l’utilisation de la carte bancaire comme seul moyen  de paiement  des actes consulaires , après plus de deux années  de flibusterie , en s’appuyant sur une plateforme électronique, dont les  administrateurs ne sont pas loin des yeux et  oreilles de l’appartement  situé sur l’avenue  de Ségur dans le 7éme arrondissement  de paris à quelques encablures du siège de l’UNESCO .

Ce menteur invétéré, qui n’a jamais  fait ses preuves  en matière de compétence et de dignité, présenté comme titulaire d’une agrégation  en mathématiques pures, capacité dont , seul lui même  détient la véracité , n’est pas à son premier coup de maître , d’autant plus  que toute sa carrière politique  ne peut servir d’exemple même à ses descendants.

Après les détournements pétroliers du plan  quinquennal  des années 80 , et l’affaire des Panama Peppers, voici aujourd’hui le scandale des passeports introuvables.

Chers compatriotes, n’attendons pas  de nous retrouver dans les situations qui n’arrivent qu’aux autres , prenons conscience et mettons -nous  en marche vers une révolution pour notre réintégration dans notre citoyenneté.

YA LUBU NINI NWETA NWETA  NZOÏSTE YA BUTSIELEKA.

 

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