A(trois) mois des élections présidentielles de mars 2021,Denis Sassou Nguesso a procédé à certaines nominations au sein de la force publique pour préparer son passage à force en 2021. Sentant la menace d’un référendum anti-sassou et le PCT se profilant à l’horizon, l’état major mafieux du PCT commence à mettre en place sa stratégie de répression contre les populations Congolaises.
Après avoir entériné sa stratégie de tricherie à grande échelle avec le vote par anticipation de la force publique à Madingou, le PCT est passé à la vitesse supérieure en mettant en place une vraie machine criminelle de répression.
Avec un bilan médiocre, catastrophique, Denis Sassou Nguesso a peur d’un débat contradictoire au premier tour des élections présidentielles avec ses challengers. D’ailleurs son état major de la tricherie commence à évoquer la pandémie du #COVID19 pour l’empêcher de battre campagne et de débattre vue ses déboires et son incapacité à convaincre.
Les Congolais savent pertinent que ces nominations ne sont pas anodines et nonobstant le rôle de la force publique comme la constitution du 25 octobre 2015 le défini : article 205 :La Force publique est apolitique. Elle est soumise aux lois et règlements de la République. Elle
est instituée dans l’intérêt général. Nul ne doit l’utiliser à des fins personnelles.
La Force publique est subordonnée à l’autorité civile. Elle n’agit que dans le cadre des lois et
règlements. Les conditions de sa mise en oeuvre sont fixées par la loi.
Les Congolais exigent de la stricte impartialité de la part de la force publique pendant les élections présidentielles, en cas de répression des populations civiles qui sont décidées à chasser Sassou Nguesso et le PCT en 2021, toutes ces personnes qui sont nommées par le pouvoir iront tous à la Cour Pénale Internationale (CPI).
En cas de tricherie du PCT, les Congolais sont très déterminés à contester massivement la victoire dès le premier tour de Sassou Nguesso qui est rejeté partout. Aucun citoyen Congolais avisé ne croit au PCT ni à la gestion désastreuse et chaotique de Denis Sassou Nguesso. Le renouvellement du personnel dans la force publique s’impose inéluctablement au sein de la force publique. La violation de la constitution du pays par le pouvoir en faisant élire la force publique ne peut nous laisser indifférent sur la mascarade annoncée à Madingou.
Le sang des Congolais a beaucoup coulé ces derniers temps dans ce pays, Sassou Nguesso et le PCT s’apprêtent à tuer à nouveau les Congolais à faire un bain de sang pour valider sa forfaiture. La machine de la répression est maintenant en place, nous attirons l’attention de la Communauté internationale et tous les partenaires multi et bilatéraux du Congo sur l’attitude néfaste de Sassou Nguesso et du PCT.
En cas de victoire du PCT dès le premier tour, une grande contestation nationale sera lancée dans tout le pays et dans la diaspora, une contestation sans précédente dans l’histoire du Congo, comme tous les projecteurs seront braqués sur notre actualité, cette répression du PCT sera diffusée partout pour montrer la barbarie de ceux qui veulent tricher aux élections présidentielles.
« Quand on verse le sang, On glisse sur ce sang. »
Evrard NANGHO
Président national du Modec