Une corde au cou pour Sassou-Nguesso, sa famille biologique et sa famille politique : pour une pendaison symbolique.

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Denis Sassou-Nguesso est devenu complètement fou ! Il a pété les plombs, pour usiter  le langage trivial et très adapté à la névrose de cet homme, dont la pathologie relève sans doute de la psychiatrie.

Les propos tenus par cet homme, lors de ses meetings et conférences de campagne électorale, ont choqué plusieurs congolais, au point où d’aucuns pensent qu’il serait atteint de démence et qu’il n’aurait plus toute sa tête.
Dans une de ses élucubrations préélectorales, il dit, je paraphrase : « Dans un pays comme le nôtre, on ne devrait même pas se plaindre du prix du manioc ». Et d’ajouter :  » Pour 5 millions d’habitants que nous sommes, on ne devrait pas parler du panier de la ménagère, mais plutôt poser le problème en terme de production. Et de conclure : « nous devrions tous avoir honte. »

Monsieur le président, mais de qui se moque-t-on ?

Qui devrait avoir honte ?

Vous, votre famille biologique et politique, qui en croquent sans vergogne depuis que vous êtes au pouvoir, ou le peuple que vous avez privés de tout pouvoir d’achat ?

Oui, monsieur le président vous êtes devenu fou, parce que si le problème du panier de la ménagère se pose de manière inextricable, c’est à cause de votre gestion opaque des richesses de ce pays que vous ne voulez plus lâcher.

Comment voulez-vous que les prix des produits de première nécessité, ne soient pas à la hausse, quand les salaires payés sporadiquement constituent un exploit pour vos gouvernements successifs, quand les retraités ne perçoivent plus leurs pensions et quand l’étudiant congolais n’a plus droit à une simple bourse ?

Monsieur le président, avec tout le respect qui vous est dû, et au vu de la noble fonction qui est la vôtre, permettez à ma modeste personne de vous faire une petite piqûre de rappel, concernant les ABC de l’économie.
En économie, cher président, lorsque les revenus sont absents ou ne progressent pas dans le même temps, cela entraîne une augmentation générale et soutenue des prix du marché, et donc un phénomène inflationniste, que vous décriez implicitement, mais sans avouer au grand public que c’est vous et votre rationnement oligarchique qui en êtes responsables.

Monsieur le président, après avoir sucé le Congo jusqu’à la moelle, vidé les caisses de l’Etat, planqué l’argent des congolais dans les paradis fiscaux, et après s’être approprié tous les puits de pétrole du Congo, en les léguant à vos enfants et neveux, vous avez l’outrecuidance d’associer tous les congolais à votre banqueroute !

Non monsieur le président, c’est vous, vos amis et vos fanatiques qui devriez avoir honte, et non le congolais lambda que vous avez rendu vulnérable et mendiant.

On sait que vous allez encore tricher, comme à l’accoutumée, à l’issue de ce scrutin, car tricher est votre marque de fabrique. Et nous avons aussi compris que ces élections n’auront rien d’un scrutin transparent, car les modalités électorales édictées par tous ceux qui vous soutiennent, sont pour le moins douteuses.

En effet, votre police et votre armée, censées être républicaines, sont prêts à entraver et à faire entorse à la démocratie proprement dite.
Oui, Parfait Kolélas est interdit de battre compagne dans la cuvette, pendant que Mathias Dzon a connu un refus de la police en interdisant son meeting populaire à Ouesso.
Pourtant, tout congolais avisé a reconnu votre main noire à travers ces actes de barbarie, main noire que vous essayez de blanchir en vous décapant la peau, du haut de vos 80 ans, sinon plus.

Alors monsieur le président, au lieu d’écumer les plateaux télé voués à votre cause, par le déni et le mensonge, vous feriez mieux de vous mettre la corde au cou et d’aller vous faire pendre, car vous êtes celui par qui tous les scandales du Congo sont arrivés.

YA COPA NA BONGO  ZA NGA ZA  TÊMO ,NZOÏSTE APÔTRE DE LA VERITE ET DE LA JUSTICE

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