« Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas à deja perdu disait Bertolt brecht » à l’instar du traître TSATY MABIALA, cet homme au ventre plein qui sonne bien auprès de son maître Denis SASSOU-NGUESSO , que le ventre creux du peuple qui sonne mieux dixit le vieux sage Korobo MATSOUANISTE.
En 1977, après un élogieux discours devant les femmes de l’URFC le 8 mars en attendant le prochain congrès du PCT , où il était question du grand déballage qui exposerait tous les cadres pestiférés de la ligne droitière et liquidationiste , stratagème dont le grand manitou Sassou-Nguesso fut le manipulateur .
Le Commandant – President Marien NGOUABI , qui trouvât tragiquement la mort aux environs de 14h30mn de cette maudite journée , n’a toujours pas de sommeil éternel apaisé , car ces lâches assassins qui en réalité se trouvaient dans sa cour , n’ont toujours pas été débusqués par les deux sécurocrates encore vivants que sont , Florent NTSIBA et Denis SASSOU-NGUESSO.
Ces deux personnages , qui continuent de hanter le paysage politique congolais avec leurs lots de malheurs , se retrouvent encore quarante quatre ans après , dans une troublante , sombre et dramatique affaire de meurtre prémédité, maquillé en mort naturel dont ils ont le secret.
Ces deux metteurs en scène de fiction politique , dont les prouesses rappelleraient le grand Hitchcock , sembleraient s’être trompées de vocation au regard des scénarios hollywoodiens qui caractérisent tous les crimes politiques , qui ont marqué et qui marquent encore leur parcours macabre sur la scène publique.
Voilà qu’en 2021 , un autre mois de mars , l’histoire se répète, Parfait KOLELAS , dans ces manières imprévisibles semblait mettre en déroute son ancien allié d’hier Denis SASSOU -NGUESSO, dans ce qui aurait pu apparaître comme une formalité, mais c’etait sans prendre du recul sur la vraie nature de l’homme , qui peut changer d’attitude en fonction de ses intérêts.
C’est ainsi que surgira ce trublion porte parole , un certain Firmin AYESSA GOEBBLES du Führer NTSAFOU-EBEMBE, pour lancer une fatwa contre ce concurrent pré- cité, pour soit – disant non respect au pacte consenti , sachant en réalité leur incapacité à accepter et à respecter la différence .
Mon vieux , quel ressemblance avec l’assassinat du Commandant Marien NGOUABI, dans lequel le personnage central mis en cause est toujours le même , comme quoi il faut la résurrection de l’inspecteur Colombo pour nous révéler les véritables acteurs de ces rocambolesques assassinats.
Si pour Marien NGOUABI , SASSOU-NGUESSO et Florent NTSIBA, n’osent pas avouer leur responsabilité alors , qu’ils étaient chargés de sa sécurité pour Parfait KOLELAS, les choses paraissent claires et accablent le duo SASSOU – AYESSA , et dans une moindre mesure ses parrains français.
Les propos de AYESSA- GOEBBLES , sont sans équivoques et le mettent directement responsable de la mort de Parfait KOLELAS, car explicitement indicatifs.
Sinon pourquoi, aurait- -il tenu ce genre de propos dont la suite a produit des manifestations que nous connaissons.?
Comment nier une telle coïncidence ?
A tout point de vue , les conclusions du professeure Francine NTOUMI, qui a été recommandée par l’ambassade de France au Congo , pour effectuer les tests du Covid 19 sur la victime , qui du reste se sont révélés positifs, laissant pantois plus d’un observateur sur la suite qui a été réservée à la dépouille en arrivant sur le territoire Français où le règlement interdit toute autopsie dans ce genre de cas.
Quel est ce Covid 19 , qui ne cible qu’une seule personne de l’ entourage ?
Encore une fois , le tandem SASSOU – NTSIBA devenu un triumvirat élargit à AYESSA , vient d’assassiner lâchement Parfait KOLELAS, comme ils avaient fait auparavant pour Marien NGOUABI en mars 1977, qui lui aussi s’était débattu en mourant l’arme à la main , arme avec lequel il fut enterré pour continuer à traquer ses bourreaux dans l’au- delà.
De même ,Parfait KOLELAS a fait montre la même pugnacité avant de rendre l’âme , à travers ses phrases qui résonnent encore dans l’esprit des congolais meurtris par cet énième crime de sang -froid , qui caractérise le recul du respect de l’humanité dans cette partie de l’Afrique qui est le Congo , repoussant plus encore les limites de l’espérance de la justice et de l’équité.
Si hier , les congolais pensaient que le Congo est un pays souverain, au regard de cet ignoble assassinat dont la complicité de la France est bien établie , ils doivent maintenant savoir que le Congo jouit d’une souveraineté de façade gérée par le barbouze Denis SASSOU-NGUESSO , garant de la sécurité et de l’intégrité territoriale pour le compte de la France, fille ainée de l’église catholique.
YA LUBU NINI NWETA NWETA , LE NZOÏSTE GARANT DE L’HISTOIRE POLITIQUE CONGOLAISE CONTEMPORAINE.