Après avoir fait une grosse connerie , le chat grimpe dans l’arbre, et le fonctionnaire, dans la hiérarchie selon Bruno Masure mais le vieux sage Korobo MASTOUANISTE, renchérit pour être aimé il faut aimer , trouver l’énigme.
Aujourd’hui pour donner une impulsion à notre lutte pour la restauration d’une véritable démocratie, les acteurs politiques quels qu’ils soient ne doivent ignorer les effets porteurs des activités de lobbying , auprès des instances internationales de décisions comme le Quai d’Orsay, l’Union Européenne ou le Département d’Etat Américain. Ils doivent également s’appuyer sur un socle populaire comme substrat de leur rayonnement à l’échelle nationale et internationale.
Sans assise populaire, l’acteur politique ressemble à une poutre morte , alors que lorsque elle est bien confortée , son aura lui permet de rayonner au-delà des limites insoupçonnées , jusque dans les instances internationales précitées. Telle est donc la délicate situation dans laquelle se trouve l’élite politique de la Diaspora congolaise qui cherche vainement à triompher de la dictature la plus féroce de SASSOU –NGUESSO, en Afrique centrale . Au lieu de chanter la même rengaine sur la dictature du Congo Brazzaville, l’acteur politique en accord avec ce qui vient d’être énoncer , ci dessus à la boite à outils nécessaire pour se constituer une dimension à la hauteur de la dictature que connait le Congo. L’union européenne , le Quai d’Orsay , le département d’état Américain, ne peuvent entreprendre quoi se soit , à celui qui ne dispose de base politique clairement établie et non fictive. Chers compatriotes , arrêtez donc d’être des acteurs de cinéma , prenez votre courage et donnez-vous des attributs des hommes politiques, ensuite frappez aux bonnes portes , car c’est une exigence formulée dans les normes de la science politique, ceci pour envisager une coopération internationale sur le cas précis du Congo Brazzaville. |