GILDA ROSEMONDE MOUTSARA , LA BELLE S’EST EPRISE DE LA BÊTE.

La paix est le fruit de la justice et le résultat d’une  solidarité active ,  mais  n’est pas l’équilibre des cliquetis des armes prôné par Sassou-Nguesso.

La naïveté est le visage de la vérité disait Victor Hugo

le lange l’apporte , le linceul l’emportera.

La bonté en parole amène la confiance , et la bonté en  pensée la profondeur.

La bonté en donnant ,  amène l’amour (Lao-Tseu).

Pour le  du vieux sage Korobo Matsouaniste , si tu veux un ami soit un ami.

Celle qui  fut une révélation de l’année  2013  et   qui suscitât à la fois  beaucoup d’admiration et  beaucoup  d’espoir dans ce  pays où la femme est encore chosifiée par le parti au pouvoir (P CT), vient de commettre le crime de lèse – majesté en intégrant le gang des barbares  .

Pourfendeuse   acharnée des anti- valeurs  ,elle n’a  finalement  pas  échappée au fameux dicton des  amoureux disant «  qui  châtie bien ,  aime bien ».

Cette lumière , appelée Gilda Rosemonde  Moutsara  , qui éclata   aux yeux du  grand public ,  un jour de février 2013 , dans ce grand temple qui est le Palais des Congrès de Brazzaville , sous la protection  ténébreuse  de l’intellectuel Alain Mabanckou ,  lors du » festival  l’étonnant voyageur » , par un coup de gueule qui restera mémorable , est maintenant connectée aux forces du mal (DNS) ,  au point de devenir la première dame politique congolaise  amnésique.   .

Celle qui  , lors de l’élection présidentielle de 2016 ,  plaça sa candidature sous le sceaux  de la lutte contre l’inégalité , la pauvreté, l’injustice, la misère, la barbarie , …,   a retourné sa veste , ce qui devient d’ailleurs habituel au Congo.

Il faut   aussi rappeler,  que cette dame est   la deuxieme femme dans l’histoire du Congo à se présenter à une  élection présidentielle   après  Madame Angéle BANDOU  ,   qui fut malheureusement  assassinée par le pouvoir de Brazzaville quelques années plus tard .

celle qui apparut au grand public non pas seulement comme  une pépite de la littérature congolaise ,  se remarqua également dans d’autres  batailles comme   le   référendum inconstitutionnel d’octobre 2015.

De cette mise en orbite,   naîtra quelques temps plus tard  , un duo  de choc qu’on avait  cru révolutionner le paysage politique ,  du fait de sa mixité  avec le grand maître Wilfried  KiVOUVOU-WABELO , sous le label de » Conscience Libre » ,  même si cette même  conscience vient d’être corrompue et le colistier évanoui dans la nature.

Gilda MOUTSARA , aujourd’hui toute honte bue ,  a été confondue par le temps au point où ses défenseurs  d’hier  , qui l’avaient hissé au rang de passionaria congolaise pour les libertés au même titre que Kimpa- Mvita, n’en reviennent pas au point de dire que les paroles professées par le President Fulbert YOULOU  ont la peau très dur

Non seulement ,  qu’elle  vient de basculer  dans l’antre du diable ,  mais en plus, elle s’enorgueillit  avec un zélé sans comparaison ,  telle une femme qui vient de perdre sa virginité avec l’homme  dont elle  a tant rêvé,  à l’instar des Sassouïtes de la dernière heure comme Blaise Henry ZONZA le Yukiste défroqué,  et Louis Modeste Zoubabela le Koléliste non assumé.

A quoi   une femme de cette envergure et de cette génération peut-elle  encore attendre du Sassouïsme et du PCT, quand on sait que la promotion de la femme qui en réalité ,  ne fut qu’un discours de façade,  un slogan creux  camoufle vraisemblablement ,   l’émergence de la promotion canapé sans quoi aucun salut ne peut  être entrevu.

Madame Gilda MOUTSARA , qui à vue d’œil ,  se différencierait dArlette Nonault ,  ou de Inès Ingani ,  ne  se serait- elle pas trompée  de chapelle, ou serait  – elle peut être victime d’un envoutement motivé par des mobiles  dont ce gang de malfaiteurs a le secret ?

Il est possible que  nous étions  partis peut-être un peu  trop  vite en besogne ,  en voulant protéger cette dame de cœur éprise apparemment  de causes nobles.

Finalement , il semblerait  que ses précédents coups  de gueule n’étaient qu’un stratagème  , pour attirer  toutes les attentions sur elle   , afin d’atteindre des objectifs inavoués, dans une société où la femme peine à trouver ses repères ,  pour une meilleure répartition des responsabilités dans cet idéal de construction nationale.

Si c’ en est réellement  le cas ,  il serait déplorable pour  que  cette femme au teint d’ébène  ,  de  choisir ce chemin ou une telle démarche pour se réaliser dans un contexte de renouvellement généralisé des mœurs publiques.

Que le bon Dieu l’accompagne dans ses pérégrinations !

Bonne fête d’intronisation et bon  vent à vous Madame Gilda Rosemonde. MOUTSARA.

Aux grandes dames  la patrie reconnaissante.

YA LUBU NINI NWETA NWETA NZOÏSTE NTU KOMBO.

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