Le diagnostic est cruel et sec mais juste. Il est plein de verité, de bon sens .
Pour pousser l’analyse plus loin, il n’ y a non seulement une bataille inter-ethnique (on assiste à des tirs croisés dans les réunions publiques pour descendre une position défendue par quelqu’un de l’ethnie opposée).
, Une véritable guerre larvée obsessionnelle, quand bien même l’idée est bonne et même parfois salutaire pour la bonne marche de la lutte.
On craint que la personne ne vous ravisse la vedette, car en vérité à travers cette intervention , c’est la tribu dite opposée qui semble prendre l’ascendant !
Toute intervention est appréhendée , par ailleurs s’y ajoutent des batailles intra-communautaires , faites d’égos de jalousie.
Ce dernier aspect des choses a souvent été déploré dans le milieu principalement lari .
Des crocs -en – jambes une autoflagellation, pourrait-on dire !
La diaspora aspire -t- elle devenir une boussole pour le pays , pour l’heure non c’est un panier à crabes.
Elle le deviendra et gagnera ses galons d’honorabilité quand elle aura exorcisée ses démons.
Elle apparaitra alors comme la locomotive .
Les médias alternatifs sont des canards boiteux qui confortent la diaspora dans ces errances.
Les militants désespérés et déboussolés se donnent comme des proies faciles aux appels de sirènes d’un pouvoir qui pourtant lui-même vit sous perfusion du FMI .
Aussi longtemps qu’on gratte le vernis on voit le visage du commanditaire au pouvoir.
Ces médias sont -t- ils alors au service du pouvoir ?
On ne saurait douter par le lot de présomption qui pèse sur ces médias.
Nul doute que ces médias sont des pêcheurs en eau trouble des tortues à doubles carapaces, ils leur revient d’apporter la preuve du contraire.
Nous osons espérer qu’il ne s’agit que d’une erreur de jugement de notre part, au quel cas nos portes leur restent grandement ouvertes , ainsi pourrions-nous leur louer une amitié inestimable.
YA LUBU NINI NWETA NWETA NA NWEEE LE NZOÏSTE.