LA DIASPORA EST DEVENUE LA FORCE SUPPLETIVE DU POUVOIR DE SASSOU-NGUESSO.

 

Plus de temps à perdre avec cette diaspora.

La puissance et la force du diable c’est de te faire croire qu’il n’existe pas , disait le vieux sage korobo Matsouaniste.

Devenue ivre de son irresponsabilité, sa désorganisation  fait d’elle   une véritable partenaire fidèle et privilégiée de la dictature , qu’elle feint de critiquer urbi et orbi dans les réseaux sociaux.

Cette dernière se trouve dans un tourbillon qui laisse entrevoir , que  bon nombre des congolais faisandés , ne sont que des villageois au sens péjoratif du mot , qui profitent de se mettre à la lumière et estampiller diaboliquement les esprits habités par le Congo , pour s’en rendre compte suivez attentivement les vidéos de ces ploucs, ces yaka noki noki , sur les réseaux sociaux et découvrir en même temps leur rôle et leur bassesse ,qui n’honore  ni la diaspora, ni le Congo .

Dans l’ ensemble se sont  des véritables Bimpetchis bia Buaka Taku, qui n’ont leur place que dans des parcs zoologiques à l’instar de l’exposition universelle en Belgique où fut exhibé la sud Africaine HOttentot.

La diaspora paie les frais de son inorganisation ,de son moi qui a favorisé les perturbateurs , provocateurs introduit par le pouvoir en son sein.

Toute l’intelligentsia qui croyait avoir la science infuse au temps de l’AGECA, et que la politique était une affaire facile se retrouve la queue entre les jambes.

Elle souffre maintenant d’une sécheresse intellectuelle inouïe.

Elle a cédée libre cours à cette vermine financée par ceux qu’on connaît tous .

Elle est devenue le principal allié des fossoyeurs de la république, faute d’organisation depuis l’arrivée de Bana Ouenzé et Bana Potal ,qui ont trouvé la belle stratégie d’utiliser le combat politique pour régler des comptes à leurs parents et proches amis qui gouvernent au Congo, avec une incompétence sans nom.

L’artiste nous avez déjà prévenu,  quand tout est noir il n’y a plus d’espoir.

YA LUBU NINI NWETA NWETA NGE WA MPACHI  KOTA MU NZO.

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