LA SAPOLOGIE 3 : Nzo ba mou boula – YouTube
Madame, permettez qu’on puisse vous rappeler l’incompatibilité entre votre sublime beauté endiablée et l’image nauséabonde de la culture que vous propagez comme une bombe a fragmentation dont les conséquences vont engloutir des génération et des générations des jeunes congolais.
De prime à bord, nous vous invitons d’écouter et de réécouter 77×7, la chanson de Rapha BOUDZEKI dont le lien est ci-dessus incorporé pour comprendre a quel point votre cynisme n’a pas d’égal.
Sans rentrer dans les méandres des objectifs et missions du fameux mémorial dont vous avez la charge , il paraît de plus en plus clair et évident que les mérites qui vous sont vantés et reconnus ne sont que le corollaire de votre grande capacité de nuisance qui fait de vous un des piliers de cet édifice de destruction et d’abêtissement de la pépinière du Congo tel que conçu par votre maître de cérémonie dans ce temple maudit.
Nous ne nous appesantirons point sur cette dernière évocation, puisque l’objet de notre interpellation n’est point ce lourd sujet, dont les conséquences à venir sont méconnues du peuple congolais, et sont relatives à l’issue du procès opposant la famille de DE BRAZZA à l’État congolais dont le verdict condamne le Congo à la restitution de la dépouille de DE BRAZZA, auquel cas le Congo serait sous astreinte d’une somme de 8000 euros / mois et ce depuis 2014.
Madame, pourriez-vous nous édifier sur la relation de l’institution que vous représentez c’est à dire le mémorial de DE BRAZZA et le grand artiste qu’est Rapha BOUDZEKI, a qui vous venez de rendre soi-disant hommage, en invitant un groupe de déséquilibrés qui ont leur place ailleurs que dans un mémorial dédié à la gloire du colon, alors qu’aucun édifice aussi somptueux et grandiose n’a été bâtit et édifié pour célébrer et valoriser la production littéraire, scientifique, les arts, la culture et autres créations immatérielles du Congo des deux rives au lieu de détourner les jeunes des véritables enjeux qui les préoccupent.
Il sied de rappeler, pour la gouverne du plus grand nombre, que l’artiste Rapha BOUDZEKI a été victime de l’intolérance politique qui caractérise ce régime, car il était indomptable et abordait des thématiques dont la profondeur dépassait l’entendement des petits esprits.
Il faut ajouter, que ce grand monsieur qui s’est construit tout seul et à la force du poignet, n’a pas eu besoin de distribuer des tee-shirt, ni des billets de banque sortis frauduleusement du trésor public pour être populaire.
Rapha BOUDZEKI, a succombé des suites des chagrins relatifs à la spoliation de son patrimoine immobilier et foncier reparti entre Brazzaville et Pointe-Noire, par les services des grands travaux, soit disant pour expropriation d’utilité publique, alors qu’il méritait une compensation financière comme l’exigent les lois et règlements en vigueur.
Ou était donc, en ce moment là le Ministre de la Culture, qui est censé veuillez aux intérêts de ses ouailles et par ricochet cette bienfaitrice opportuniste, e qui au gré de sa visibilité outrepasse les prérogatives des missions qui sont les siennes, car monsieur Rapha BOUDZEKI a laissé une veuve et une progéniture qui doivent obligatoirement rentrer dans leurs droits afin que justice soit faite.
Arrêtez donc de marcher sur la tête.
YA LUBU NINI NWETA NWETA LE NZOÏSTE JUSTICIER.