DÉLATION, TRAÎTRISE ET INFILTRATION DANS LES MILIEUX CONGOLAIS : TENTACULES ET MAILLES NOCIFS AU SERVICE DU POUVOIR FUNESTE DE BRAZZAVILLE.

 

Moucharder, espionner, surveiller en vue de dénoncer ou de rapporter des informations compromettantes auprès des services de renseignement congolais; tel est le leitmotiv ou la rengaine observée chez certains mouchards congolais, friands de ce type de besognes.

Ces derniers sont basés au Congo-Brazzaville pour certains, mais pour la plupart à l’étranger, et sont infiltrés dans un univers diasporique où la suspicion et l’espionnite obsessionnelles ne relèvent nullement de la paranoïa, mais de la pure réalité.
À regarder de très près, il appert que ces agents méphitiques (infectes) forment un microcosme très composite par nature, et sont à l’affût de toutes critiques visant à remettre en question le pouvoir légendaire de Brazzaville.

Ils ont un statut hybride pour beaucoup d’entre eux, ils sont payés au lance-pierres, et donc pas suffisamment assez pour justifier de tels labeurs.
Ce sont des hommes et des femmes majoritairement originaires des quartiers nord de Brazzaville (Ouenzé,Talangaï, Mikalou etc…); très tôt déscolarisés ou diplômés pour certains, au service d’un régime criminogène.

À ce titre, ils ont donc reçu la mission de contribuer à l’extension de la dictature et à la propagation de la criminalité, en soutenant un régime aux pratiques arbitraires avérées.

Partis dans une proportion importante du Congo-Brazzaville, après la guerre du 5 juin 1997, en ayant bénéficié des facilités de visas courts-séjours; ils ont investi certains milieux de la diaspora congolaise en occident, ils sont présents dans diverses associations, et très actifs sur les groupes de réseaux sociaux, dans le but de balancer toute personne se montrant critique vis-à-vis du pouvoir intouchable de Denis Sassou-Nguesso.

Ceci dit, ils procèdent par l’usage des fiches de renseignements, à partir des enregistrements audio, des captures d’écrans en rapport avec les messages publiés sur Facebook, WhatsApp, Messenger, Tweeter, Instagram, etc, messages jugés préjudiciables, voire attentatoires à leur goût.

Ces adeptes du crime sont réfractaires à la nuance, ne supportent pas toutes formes de contradiction, et peuvent devenir très violents jusqu’à en venir aux mains à la moindre incartade.

Après une approche socio-cognitive, il s’avère que ce phénomène flico-social vieux comme le monde, mis en place par le régime de Brazzaville, et déjà présent au Congo à l’époque de la Sécurité d’État, est donc rendu viable par certains congolais de petites vertus, devenus des opportunistes à deux sous, et prêts à toutes besognes susceptibles de leur garantir quelques billets de banque, d’avion et des séjours dans des hôtels aux ambiances feutrées de Brazzaville.

Cela va sans dire que ces agents du mal, au nom de quelques deniers, ont fait allégeance à Satan, au détriment de la majorité des congolais qui a perdu goût à la vie, peine à vivre décemment et qui s’est résigné à l’idée de vivre à présent, les métaphores d’un futur à jamais compromis par ses bourreaux sempiternels.

Hasta la victoria siempre !

YA LUBU NINI NWETA NWETA NZO NI NZO KWUA.

 

 

 

 

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