LE DUALISME ENTRE LES RELATIONS INTERPERSONNELLES ET L’EFFET DES MASSES M’BOCHIS

La complicité de l’intellectuel congolais avec la médiocrité réside dans le manque de débat et dans la complaisance sur certains sujets dixit le vieux  sage  Korobo Matsouaniste.

Les comportements individuels des M’bochis , sont des comportements qui  ont toutes leurs sympathies dans les relations interpersonnelles avec les membres des autres ethnies du Congo, ce sont des relations amicales et saines.

Ce que on ne peut pas nier et pour preuve les mariages mixtes en sont la bonne illustration.  Mais  en sociologie c est  plutôt en terme de masse qu’ on,  appréhende la manière d’agir ,  vivre, évoluer  d’un groupe ethnique pour faire des projections.

Certes on ne peut pas extrapoler a partir d’un individu ou de trois individus , mais on tire des lois sur des masses, sur les observations concernant les grandeurs de masses , ce sont donc les agrégats de plusieurs  d’individus, cela permet de voir la tendance , de constater ce qui parait permanent, ce qui revient souvent la caractéristique dominante.

Nous avons certes des mariages mixtes  ,  mais ce n’est pas représentatif de l’ensemble de la communauté nationale, ce qui compte en sociologie politique ou en sociologie tout court, ce sont les masses ,  les grands ensembles pour avoir un échantillon de prédominance afin d’en dégager une lois de séries.

L’artiste Doudou Copa aurait-il  eu tort d’incarner le propos de l’idéologie  dominante du pouvoir pendant que cela est vérifiable dans les administrations et les chancelleries ?

Quand on sait que le pouvoir au Congo est déifier  en la personne de SASSOU-NGUESSO , donc le reflexe de colonisation ne peut que faire de sa langue une langue de pouvoir dés lors qu’il est serait   au-dessus de la loi humaine.

Continuerons nous à apprivoiser les serpents et faire semblant  à reconstruire la nation ?

YA LUBU NINI NWETA NWETA,IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.

NZO NI NZO KWUA.

 

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