Pendant longtemps on avait cru que la diaspora pouvait être utile à l’éveil de conscience du peuple ce n’était que peine perdue, un leurre .
En réalité la dualité politique entre la diaspora et les politicards du SASSOUISME, ne représentent que les deux faces d’une même pièce.
Comment comprendre une diaspora qui combat soit disant une dictature , persister dans les divisions ethniques, tribales , excellant dans des comportements de donneurs de leçons à leurs jumeaux et exacerbant le statut quo.
Toutes propositions qui émanent d’un membre du clan opposé est systématiquement contré , donc combattu.
C’est dire combien la diaspora est cloisonnée.
la diaspora se livre un combat d’autoflagellation . La bataille pour le leadership a conduit à donner des coups sans discernement.
Quand bien même l’idée prêchée est bonne.
On assiste à une guerre des ayatollahs , chacun prêchant en sa chapelle. Les tentatives de rassemblement se sont terminés en eau de boudin.
Chacun tirant dans la patte de l’autre. Dans cette guéguerre on ne veut pas voire émerger une figure sauf celle de son ethnie.
Les Assises en ont donné une parfaite illustration. sans stratégie et sans esprit de rassemblement .Dans cette guerre de tranchée la victime expiatoire est le peuple congolais qui nourrit désespérément ses espoirs sur cette dernière.
NSOMBE ZA KELA MBAKU , Littéralement cela veut dire , c’est le chacal planté devant un palmier attendant désespérément que le palmier lui fournisse les vers à croquer , pauvres de nous !
Le régime à encore des beaux jours !
Curieusement , certains n’hésitent pas de lancer des actions de solidarité sans pour autant chercher à œuvrer à un rapprochement avec les autres , drôle d’initiative.
YA LUBU NINI NWETA NWETA ,IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.
NZO NI NZO KWUA.