QUELLE EST L’ UTILITE DE LA DIASPORA SUR LA SCENE POLITIQUE CONGOLAISE ?

Très souvent  le questionnement est le  début de la réponse sur une question posée.

S’agissant de la diaspora et la politique congolaise ,  le constat révélé et confirme  que cette dernière  , n’est que inutile au regard de l’agitation qu’ elle étale sur les réseaux sociaux , qui ne sert à rien et qui ne rapporte rien , sinon avilir et tirer le Congo vers le bas.

Une diaspora pour être utile ou peser  en politique devrait avoir au moins un  droit de vote , or ce n’est pas  le cas de celle du Congo,

qui  n’arrête pas de s’octroyer  seulement  le droit à l’injure , vis à vis des hommes politiques et leurs satellites.

En revanche les autorités congolaises  cachent leur incompétence par une manipulation maladive de cette diaspora ,   visant très souvent à régler leurs différents internes au sein du gouvernement en utilisant des brebis galeuses ,  qui à longueur de journées passent leur temps  à  injurier   des ministres de la république.

Alors qu’elle est réellement le rôle de cette diaspora politique ?

La diaspora dans son ensemble est privée de droit de vote alors que on se prétend être un pays démocratique .

Dans ce jeu de cache cache du gouvernement , la diaspora n’est que le dindon de la farce .

Il faut savoir distinguer la diaspora civile de la diaspora politique.

IL faut reprocher à cette dernière de jouer les funambules .

C’est à dire cet acrobate équilibriste qui nourrit les espoirs mais sans la nourrir.

Elle est dans un combat complétement destructuré lorsqu’elle n’excelle pas dans l’invective et dans les injures.

Croyant  gagné en respectabilité et en efficacité en charriant les injures tout azimut.

Elle manque totalement de culture politique et du militantisme.

Sans propension à verser dans l’injure à occulter les vraies débats.

Le combat est devenu la panache des véritables voyous de la république.

Les réseaux sociaux sont devenus leur lieux de prédilection , on verse dans l’injure comme si l’injure devenait  synonyme du combat.

Le portrait robot de la victime expiatoire reste Thierry MOUNGALLA .

Alors que ce n’est qu’un adversaire politique , et qu’ il n’existe pas d’ennemi dans la république.

Certains se cachent derrière leurs petits doigts sous anonymat.

On se croirait dans une pièce de Molière. Ou sont passés les combattants de premières heures ,  pour se voir ravir la place par les nouveaux mousquetaires.

Ceux-ci portent le masque de la honte pour les voire souvent déambuler dans les halls des grands hôtels parisiens, pour espérer ramasser quelques sous lâchés gracieusement par les notables du pouvoir de passage à Paris.

On voit désormais , les sources des conflits d’intérêts et des crocs en jambes qui jalonnent les réunions sur la place de Paris .

Ces sempiternels réunions qui n’ont  produit aucun résultat après tant d’années de labeur.

Les nouveaux maître chanteurs, ces nouvelles jeunes figures dites emblématiques de la diaspora ne sont que  l’illustration de la cigale ayant chanter tout l’été.

On les voit occuper les réseaux sociaux pèle- mêle.

Y a t il un fil conducteur dans le combat ?

Ya t il un discours idéologique cohérent ?

Tout ressemble à un naufragé hurlant au milieux des eaux et attrapant des branches ça et là  , mêmes mortes pour se sauver des eaux. Pitié!

Tandis que les anciens ténors de la diaspora font pâle figure. Ils ont été englouti par les nuages.

Ou sont ils ces leaders des Assises qui tenaient la dragée haute.

Ils ont été noyé dans le flot de l’océan.

Triste sort que celui d’un intelligentsia piégé par ses propres démons ethniques.

A défaut d’un sursaut  ,les funambules ont des beaux jours.

Les populations se couvrirons des larmes à attendre désespérément de cette diaspora.

YA LUBU NINI NWETA NWETA ,IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.

NZO NI NZO.

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